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Rubrique : Notre Vie par rapport au Maarif et au Lien
Notre Vie au Maarif,
Pour notre site www.copains-maarif.com, nous aimerions, que vous puissiez nous écrire vos sentiments, vos témoignages, vos émotions, que vous aviez au contact du quartier du Maarif (Messe, Prêtres, Patronage, Colonie, JOC, Ecoles, etc…)
Ceci afin de faire connaître autour de vous, vos souvenirs et ce que vous faites actuellement pour les autres.
Au départ, je suis parti de tous vos écrits au site. Bien sûr, vous pouvez les compléter.
Merci de votre amitié au Maarif.
Et comme dit Manu Muñoz :
"Alors moi, j'aimerais faire un récit de ce que j'ai encore en mémoire de notre enfance au Maarif, nos jeux, nos bouquins etc...et le mettre sur le LIEN et cela permettrait à plusieurs de réveiller, du moins j'espère, des neurones endormies depuis ces années.
Et à moi de divulguer ce que j'ai en tête, avant que je commence à avoir des fuites, moi aussi et là au moins, on pourra avoir une garantie de le relire quand on veut de manière à ce que cela reste toujours frais dans notre mémoire ..."

L'ordre, sera l'ordre alphabétique des noms.

Maguy De Armas, née Abad

Mercedes et Antoine Accordo

Nom et Prénom : GOMEZ épouse ACCARDO Mercédès Née au Maarif (1943) et j'habitais rue du marché.. .
Ma Famille :mon mari Antoine né à Aïn Seebaa (1941) . 3 enfants (1 garçon et 2 filles). 3 petits enfants (1 fille et 2
garçons) et un 4ème (une fille) au mois de mai 2008.
Mes parents sont décédés. J'ai trois frères et une soeur. Dominique (1930) dcd. Françoise (1933). Antoine (1940). Jean-Pierre (1945).
Mon lien avec le M.A.S. : Enfant de Marie, J.O.C.F. et Propagandiste.
Ma vie actuelle : Mari à la retraite, nous faisons pas mal d'activités (randonnées, gymnastique, informatique, country etc...)
Mes remarques : Merci de nous faire revivre notre jeunesse au Maarif (qu'on ne peut oublier).
Je profite pour vous présenter à tous mes Meilleurs Voeux pour 2008.

Eliane Acedo ép Posada

Agnelo Pascal et Michele

André Agosta

Naissance : 20/12/1949

Ma Famille : je suis le frère de Nicole Ruglio et Claudette Agosta. Mon adresse au Maarif 142 rue du Canigou
Mon lien avec le M.A.S. :
Ma vie actuelle : j'ai quitté le Maroc en 1966 pour la France
Mes remarques : Un grand bonjour au Padre et mille fois merci pour toutes nos merveilleuses années passées ensemble au Patronage rue du Jura.

Agosta Nicole ép Ruglio

Iréne Aguilar - Lopez

Aguillo-Ponce Marie-Thérése et Dorian

Alarcon Hernie et Edoaurd

Jésus Alba

Bonsoir Pierre,
Je suis un ancien de Casa et j´ai su par une ancienne de Casa (Cécile Floro) que tu as un site que j´aimerai bien visiter.
Elle m´a dit de te dire mon nom (Jésus Alba), où j´habitais à Casa (118 rue du Jura, Maarif)
Je me souviens même du nº de téléphone alors que nous quitâmes le Maarif en 70 (592-71) )
Cécile m'a dit que tu me répondrai.
Depuis j´habite en Espagne à Malaga.
Comme preuve de ce que je dis, je t´envoie une photo de la rue du Jura, avec le collège Ibn Toffail au fond.
Alors voila qui est fait...
En attendant ta réponse
amicalement
Jésus.

Alcantara Antoine et Thérèse

Jojo Albérola

PL : N'ayant pas la photo de Joseph, fils, je mets la photo des parents : Marie-Louise et Joseph Alberola :

Ma famille : les enfants Albérola : José-louis Albérola (1947), un frère Paul (1948)et une soeur Marie-Juliette (Minouche) (1953), Papa Joseph et Maman Marie-Louise. Nous habitions Bd Raphaël au 39 , je crois devenu bd Zerktouni. Mon père était transporteur, ma mère laborantine au service d'hygiène. Mon lien avec le M.A.S. : J''allais à St Dominique Savio, ainsi que mon frère Paul (paulo). Nous faisions parti du patronage au Maarif. Les noms de nos amis et je vais sans doute en oublier : Colombani, Agostini, Robles, Zurfluh, Larcher, Serrantino, Shearer, Garcia, Scadutto, Heredia, Morrachini, Susini, Schneider, de Gouveîa, Fontan, Palomares...
Nous allions à la plage à Pont Blondin où nous avions un cabanon
Toujours très attiré par l'"eau" j'ai également été scout marin, la base marine se trouvait au port, épi Jean Bart.
Ma vie actuelle : Mon parcours? Prof d'EPS, marié à une Institutrice, 4 garçons, grd père et grd mère depuis 4 ans...en à la fin du mois en retraite...d'où un premier retour sur ma terre natale fin avril !
Mes remarques : Sur "ton site" j'ai éprouvé bcp d'émotions et de nostalgie... Ton visage est resté profondément gravé dans ma mémoire bien qu'elle soit parfois très défaillante. Mes parents ne sont malheureusement plus de ce monde...Ils auraient été heureux de retrouver des amis, de la famille comme nous pouvons le faire grâce à Internet... Le progrès a du bon aussi!

Olga Alessandra ép Alvarez

Gisèle Alcamo ep Martinez et Jean-Claude

GISELE ALCAMO, 1941 , 36 rue d'Auvergne jusqu'en 1961

Ma famille
Mon père François né en 1908 à Tunis. Décédé en 1980
Ma mère Gonzalez Françoise né en 1906 à Misserghin Algérie décédée en 1971.
Mes sœurs, Josette 1930/1989 mariée à Jean Naïmi, Yvette 1936/1987.
Mes voisins et amis : les Escobar, les Pérez, Les Gibilaro. , Guy Fabrizio Les Rodriguez dont le père tenait l'épicerie, Lopez Lucien rue de l'Esterel, Denise Perez rue du Canigou

Je suis mariée à Jean-Claude MARTINEZ 1938,7 rue du Perche, frère de Maguy, Josette et Jacky.
Son père Joseph était policier, sa mère Elvire tenait la caisse au cinéma Familia
Nous avons eu 2 garçons, Thierry 1962 et Eric 1964 et 4 petits enfants Johanna 1989, Margaux 1991, Yoan 1993 et Thibaud 1994.
Nous habitons tous une commune de 2500 habitants, en Seine et Marne.

Mon lien avec le MAS
Toute ma scolarité s'est faite chez les sœurs de la Présentation, j'ai été âme vaillante, propagandiste, comme mes sœurs. Jean-Claude était lutteur au MAS.

Ma vie actuelle :
Je me suis investie dans les associations bénévolement dès 1978, centre de loisirs, centre artisanal pour adultes, puis j'ai été élue en tant que maire adjoint dans ma commune actuelle pendant 18 ans, et j'ai eu le privilège de marier l'un de mes fils.
J'ai créée une école de musique, une chorale, et actuellement je gère encore ces associations, je fais partie également de la commission d'animations, dont une fête médiévale tous les deux ans. Mes loisirs la Gym, le chant, la danse Country, la généalogie, je pianote de temps en temps, mais plus souvent sur l'ordinateur qu'au piano.

Michelle Alibarndi ép De Fuentes

Josseyne Allou

Voici quelques explications sur ma vie.
Je suis née à Marrakech en 1948. j'ai vécu 2 ans aux Roches Noires,(1966-67) chez des amis, (la famille ROTA,) pour poursuivre des études sur Casa. Cécilia ROTA, mon amie, fréquentait des jeunes au Maarif ; c'est par ce biais que j'ai connu le Père Lucien Aubert et une bande de copains au Maarif.
Plus tard (1968-69) , à mon arrivée sur Montpellier, j'ai pu à nouveau rencontrer le Père Aubert à la Paroisse Don Bosco. ex avenue du Pont Juvenal.
Je suis Maman de 3 grands garçons, et grand-mère de 2 petites filles, dont l'aînée à déjà 10 ans.
Comme je l'ai dit, mon mari et moi-même sommes revenus sur Marrakech après la retraite. Mais nous rentrons régulièrement sur la Corse, qui est notre résidence en France.
Bien cordialement
Josselyne ALLOU
PS : Cécilia ROTA vit toujours à Casablanca

Denise Almodovar ép Encinas

Annick Almonsni

Jocelyne Almosni Née Perrin

Sam Amosni

Jeannine Alonso

André Alvarez

Bonjour je suis le frère de Marcel ALVAREZ, mon nom est André ALVAREZ
J'ai habité le Maarif pendant trente ans,mon domicile 4 rue du Mont Blanc.
J'ai quitté le Maarif en 1972 pour rentrer dans la police en FRANCE.
J'écrit ces quelques mots car j'ai l'ordinateur que depuis peu de temps et bien sur mon frère m'a enregistré le Lien.
En le parcourant j'ai retrouvé plein de mes copains,pour cela que j'aimerai avoir leur mail. S' il y a une inscription dite-le moi. Les copains savent qui je suis et d'autres aussi car je tenais la salle de musculation rue du Canigou au Maarif. Merci d'avance. J'habite à Olonne en Vendée.

Jean-Marcel Alvarez

Naissance : 3 0ctobre 1941, Rue du Mont Blanc

Ma Famille : Marié à Olga ALESSANDRA née le 13 juillet 1946 au Maârif , rue Morvan et Annam.
Mon lien avec le M.A.S. :
Ma vie actuelle : Entré en France après 60 ans de Maroc

Jacqueline Alvernhe ép Isnard

Dany Anania

Ange Sylvie et Yves

Yves Angé

Angé Yves né le 23 09 1943
Ma famille :
Mes parents : François né le 30 10 1914 à Beauvoir (50) et dcd en 1994 et Augustine Angé L'Hermite née en 1921 à st Etienne en Cogles (35) et dcd en 2006
Mes frères et sœurs :
Jean François né le 20 01 1946
Marie Thérèse le 17 11 1947 et Maryvonne née à Casablanca le 03 02 1951
Mon lien avec le M.A.S. :
Mon père François a décidé de changer de vie et celle de sa petite famille en partant avec une promesse de travail dans une exploitation agricole à Mazagan en 1948
Le voyage s'effectua sur un vieux paquebot " le Marrakech ".
C'est ainsi que la famille Angé découvre surprise et émerveillée un nouveau monde inondé de soleil : le maroc.
Premier contraste en arrivant à terre, la vieille médina et le quartier moderne de la place de France, ma mère jette un regard inquiet sur ses 3 enfants, quel avenir vont ils avoir sur ce continent ?
Mon père est chauffeur de car à la CTM (compagnie des transports marocains).
Nous habitions au 41 rue de l'Esterel dans le quartier du Maarif .
Mes amis : Paul Delaune, Daniel Sanchez, Anita et Anne marie des voisines de ma rue.
Le petit Jean Charles Gamacourta, les familles Sanchez, Gaudin, Moissesson (la maman avait des dons de guérisseuse),Sami Ohayon
Sœur Françoise l'infimière.
Les colos à Immouzer.
Le patronage
Les cinés du quartier :le Familia, Rex, Mondial, Monte-Carlo
Ma vie actuelle :
Retraité et grand père de 13 petits enfants, j'adore me rendre utile pour des travaux de bricolage maison, ancien salarié EDF.
Je me passionne également pour le foot, ancien entraîneur des jeunes.
Je pratique aussi la randonnée pédestre en compagnie de ma femme Sylvie et mes amis
Le plus souvent possible au bord de la mer, j'adore la mer.
J'aime aussi l'informatique et la photo.
Et bien sûr les voyages.
Mes remarques :
Grâce au lien j'ai retrouvé ma jeunesse, d'anciens amis et amis de mes parents, entre autres Mr et Mme Vezien Marc retirés à la Rochelle que j'ai eu le plaisir de revoir
Ainsi que mon amie d'enfance Micheline épouse de Georges Gonzales de Trets 13 .
Nos réunions chaque année qui nous permettent de fraterniser et de se retrouver pour notre plus grand plaisir en compagnie du Padre .encore merci à tous ceux et celles qui participe à ce lien pour le bonheur de tous .

Gaby Arellano

Marielo Arnal - Jimenez

Marie-José Arrano ép Leal

Hélène Aubert

Henri Aubert

Ma famille : Mon frère est le Padre, Lucien Aubert - J'ai une sœur Simone
Mon lien avec le M.A.S. : Nous étions à Kenitra - en visitant régulièrement le merveilleux site du MAS, où viennent régulièrement certaines personnes dont je me souviens (Bernard Paris, Jackie Gardey, Michel Lacroix...). J'ai bien apprécié du reste le trombinoscope et c'est avec plaisir que j'ai revu des visages que j'avais connu en 1958 comme celui de Magguy Servera et d' Heredia etc... Charly Soler.
Ma vie actuelle : Remarques : Gestion du site des anciens de Kenitra (Port Lyautey) via : gharbaoui@free.fr

Lucien Aubert, Notre Padre

Notre Padre est né le 06/01/1928
Il nous a quitté le 2/7/2010

Père Ed Klenck : Biographie du Padre, lue pendant l'enterrement de Lucien :

Lucien AUBERT
1928 - 2010

Le Père Lucien AUBERT vient de nous quitter, après une courte maladie qui l'avait amené à l'hôpital au début du mois de juin. Il y était entré pour une intervention apparemment bénigne, mais les examens allaient révéler un mal beaucoup plus sévère en pleine progression, de sorte que son état s'est détérioré rapidement. Il est décédé vendredi dernier dans l'après-midi, (le 2 Juillet 2010) assisté par sa sœur Simone, son frère Henri et son épouse.
Je voudrais au début de cette célébration évoquer rapidement son parcours de prêtre et de salésien.
Lucien est né à TANGER le 6 janvier 1928, en la fête de l'Epiphanie. Son père HENRI était employé à la Régie des Tabacs du Maroc ; sa maman Andrée DOUBLE consacrait l'essentiel de son temps et de sa peine à élever ses cinq enfants, quatre garçons et une fille, tout en rendant des services à la bibliothèque paroissiale de KENITRA (Port Lyautey) où la famille était venue s'établir.
Très tôt Lucien prit contact avec la paroisse salésienne de Port Lyautey (Kenitra) qui avait ouvert un patronage. Celui-ci exerçait à l'époque un grand attrait sur les jeunes en leur offrant des loisirs, du sport, des jeux et activités diverses. C'est le P. Sylvestre SANTONJA qui un jour lui posa la question de la vocation…. Un appel qui allait cheminer et l'amènera au Petit Séminaire de RABAT-SOUISSI, Au terme de ses études secondaires, Lucien ne se sentait pas prêt d'entrer au Grand Séminaire. C'est le P. André GEBEL qui l'orienta finalement vers la vie religieuse salésienne. Après un an de postulat, il fut admis au noviciat de LA GUERCHE en Bretagne en septembre 1948. Il fait ses premiers vœux au terme de cette année, le 02 septembre 1949, des vœux qui seront interrompus par son service militaire qu'il a accompli au Maroc durant les années 50 et 51.
Après son service il intègre la communauté salésienne de Port Lyautey pour les trois années de stage prescrites par nos Constitutions. Après quoi il entame le cycle des études philosophiques et théologiques qui le mèneront jusqu'à la prêtrise : deux année d'études philosophiques à VILLIERS le BEL et quatre années de théologie à LYON - FONTANIERE. C'est là que j'ai fait la connaissance. Quatre années de vie d'étudiant, mais aussi de préparation intellectuelle et spirituelle au sacerdoce. Quatre année où les liens scellés par nos vœux religieux se sont approfondis et sont devenus aussi des liens d'amitié profonde. Au milieu de notre groupe Lucien apparaissait comme un confrère disponible, toujours prêt à rendre service, attentif à chacun, ouvert aux autres, soucieux d'entente et d'unité, des qualités qui allaient devenir par la suite les atouts majeurs de son apostolat. Le 14 avril 1957 il fut ordonné prêtre à LYON - FONTANIERE ;
Le voilà prêt pour la mission que le Seigneur allait lui confiée. Sa première obédience le renvoie au Maroc, à CASABLANCA, comme vicaire de la paroisse confiée aux Salésiens. Il y restera 8 ans, jusqu'en 1965.
PL : C'est pendant ces 8 ans, que le MAARIF a accueilli, notre Padre, notre Lucien, à l'Eglise Saint Antoine de Padoue : Notre façon de vivre a été façonnée par nos prêtres salésiens et par nos Bonnes Sœurs de la Présentation.
Après un bref passage à la paroisse de N.D. du Bon Secours à LYON, il est envoyé à MONTPELLIER où il est nommé aumônier du Lycée Technique proche de la paroisse salésienne. Il assurera ce service durant 6 années. Son influence sur les jeunes se vérifiera par les contacts qui ont bravé le temps puisque, périodiquement et jusqu'à une date récente, Lucien se rendait à MONTPELLIER pour rencontrer ses anciens et anciennes du lycée.
Après MONTPELLIER, Lucien est nommé curé de la paroisse N.D. Auxiliatrice de NICE. Il aura le souci de contacter les jeunes, de les intéresser à la vie paroissiale. Il met en place une animation liturgique où les jeunes tiennent la première place, soulignant ainsi les grandes fêtes de l'année liturgique. La paroisse accueille aussi les élèves de l'établissement scolaire, professionnel et technique Don Bosco qui fait partie du même ensemble immobilier que les locaux paroissiaux.
Huit années de service à NICE ont donné à la paroisse une assise solide et un rayonnement qui s'exerçait au-delà de ses limites, notamment pour la grande fête de ND Auxiliatrice le 24 mai qui rassemblait une foule venue de toute la ville.
En 1981 Lucien est rappelé à MONTPELLIER où on lui confie la responsabilité de la paroisse et de l'œuvre salésienne attenante. Il y retrouvera d'anciennes connaissances et rapidement la paroisse Don Bosco deviendra un centre dynamique où se rencontrent paroissiens, mais aussi amis, collaborateurs et jeunes du lycée technique, constituant un vivier où Lucien puisera pour lancer des animateurs pastoraux laïcs.

Dans les années qui ont suivi le concile Vatican II et les chapitres généraux de rénovation de nouveaux chantiers s'ouvrent pour la mise en place des réformes. Un de ces chantiers est la réorganisation des différentes branches de la Famille salésienne. En 1984 Lucien accepte la charge de responsable de la famille salésienne au niveau provincial. Il s'attachera à la mise en œuvre des nouveaux statuts auprès des Anciens, des Coopérateurs et des VDB (Volontaires de Don Bosco). Il sera notamment à l'origine des nouveaux coopérateurs dans la Province de Lyon en suscitant des groupes importants à Nice, Marseille, Montpellier, Lyon. Il mettra en place des structures de concertation et de participation qui redonneront aux coopérateurs un nouveau souffle et leur feront découvrir l'originalité de leur vocation. Il consacrera 10 années à ces tâches, de 1984 à 1994. C'est durant cette période aussi que Lucien organisa tout le groupe d'anciens paroissiens, élèves et amis des œuvres salésiennes du Maroc, qui, à la suite de l'accession de ce pays à l'indépendance avaient rejoint la métropole. Dispersés sur tout le territoire, Lucien s'évertua à les repérer et à tisser patiemment des liens entre eux. Ainsi naquit le MAS. (Au départ : Maarif Association Sportive, puis Maghreb Association Salésienne, puis Maroc Association Salésienne)
Des années denses, actives et bien remplies, comme on le voit, mais qui laissèrent chez lui quelques traces de fatigue. Ses supérieurs décidèrent de le remplacer et lui laissant seulement le soin de poursuivre son action dans le cadre du MAS.
En 1994 il rejoignit la communauté des Salésiens de Bon Accueil à TOULON et c'est de là qu'il continua à tisser ce réseau du MAS à travers la France, l'Espagne, le Maroc, avec des antennes aux Baléares et en Amérique du Nord et Latine.
Un travail méthodique d'organisation, de recherche, de classement, de constitution et de tenue à jour d'un fichier qui grossissait d'année en année ; Il créa aussi un bulletin d'information le " LIEN " qui permettait un échange de nouvelles entre les anciens du Maroc.
Tout ce travail administratif était au service de la pastorale. Celle-ci était son souci principal. Tout au long de l'année, il organisait des rencontres, des récollections, des sessions, visitait les divers groupes qu'il avait constitués autour de quelques centres, s'intéressait à la vie de chacun, préparait des mariages, baptisait, et accompagnait beaucoup à leur dernière demeure. Il avait créé une paroisse, sociologique bien entendu, à l'échelle internationale.
La maladie l'a surpris en pleine activité. Il est entré à l'hôpital, sans décommander un pèlerinage à Lourdes prévu pour la semaine suivante, pensant que son séjour en clinique serait bref et qu'il serait de nouveau prêt à honorer ses rendez-vous..
Il n'en a pas été ainsi, hélas…..et nous restons pensifs devant le déroulement d'une vie dont le fil a été brusquement coupé. Mais sans doute le Seigneur a-t-il ses vues qui ne coïncident pas nécessairement avec les nôtres.
Tous ceux qui ont visité Lucien à l'hôpital ont eu le sentiment qu'il était entré très consciemment dans une obéissance filiale à son Seigneur et Maître, qu'il s'était délibérément soumis à la volonté divine, qu'il considérait qu'il avait accompli la tâche qui lui avait été confiée et qu'il pouvait donc s'en aller en paix. C'est dans la paix qu'il s'est endormi vendredi dernier, entouré des siens.

Simone Aubert

Jo Avival

Yvette Aznard

Francis Badalucco

Helebe Balesta, ép Gonzales

Guy Barbara

Jean-Pierre Barbat

Marie Celeste Barbat , née Correia

Jean-Claude et Concita Barisien

Marie Jeanne Barrachina ép Muñoz

Jacques Barrachina

s :

Marie-France Barreau et Jean Dijeaux

Marie france BARREAU, née le 22 juin 1944 à Nantes
mon concubin Jean DIJEAUX né le 13 septembre 1945 à Toulouse
j'ai 3 enfants Philippe né en 1965, Bruno (décédé) né en 1968 et Brigitte née en 1969 leur nom de famille GILARDI puisque j'ai divorcé de leur père en 1977.
Je suis domiciliée à Toulouse depuis 1976, et ai refait ma vie en 1980.
Actuellement à la retraite et souvent en voyages au Maroc à Agadir.
J'ai vécu au Maroc de l'âge de 8 ans à 20 ans, Ain Sebaa, Safi, Marrakech, Khouribga et Casablanca
Amicalement France BARREAU

Robert et Caroline Basciano

Elisabeth Basciano ép Garcia

Françoise Bascaino

Caroline et Robert Basciano

Christine Bastide ép Purpura

Thérèse Begara ép Bertomeu

Marie Bellavia ép Bologna

Joséphine Bellido ép Iglesias

Nelly Bello, ép Jimenez

Huguette Belmonte ép Lopez

André Belviso

Ghislaine Belviso née Salerno

Anita Benazeraf

Eddy Benazeraf

Maurice Benazeraf

Ma Famille : Je suis né a Casablanca et vécu au Maarif pendant plusieurs années. J'ai connue ma femme, Martine Bonnin, à Casa et nous nous somme mariés et après la naissance de notre premier garçon, Eric, nous avons d'emménager à Agadir et de las, aux États- Unis.
Mon frère, Simon, qui habite Nice avec sa famille m'a appelé aujourd'hui'hui et m'a introduit à votre site. Très intéressant et bien sûr, beaucoup de souvenir.
Mais la chose choquante est d'avoir vue une photo de notre jeune frère, Albert avec son groupe lorsqu'il faisait de la music a Casa. Mon fils, Eric a été baptisé à l'Église du Maarif en 1968
Ma vie actuelle : J'habite aux États-Unis depuis 1972. Nous habitons le Texas, Corpus Christi (Le Corp du Christ) une petite ville (300.000) sur le Golf du Mexique.

Simon Benazeraf et Gilberte née Quiros

Ma Famille : J'ai habité le Maarif jusqu'en 1979 , date à laquelle je suis rentré en France à Nice. Ma femme s'appelle Gilberte QUIROS. Mon frère Albert (EDDY) était le chanteur de l'orchestre LES DIAVOLOS, dans lequel jouaient également Robert LO CICERO , les frères PROVENZANO et RICKY. J'ai également un frère (MAURICE ) et une soeur (LILIANE) qui habitent les Etats Unis
Mon lien avec le M.A.S. :
Ma vie actuelle : Mes amis Jean Claude BARISIEN et Henri COSTA ,sont également dans ma région.
Remarques : Merci pour tous ceux qui souhaiteront me contacter

Marcel Benigno et Marthe, Née Perez

Michele Beranguez ép Agnello

Delia Bentivegna née Galiana

Né le 31 Mars 1947, au Maarif 

Ma Famille : d'abord j'habite le jardin public et j'allais à l'Église ST BONAVENTURE ensuite nous avons habite au quartier Burger, la rue Maréchal des Logis. Ma mère travaillait au Maarif, elle était caissière du cinéma Monte Carlo, rue du Jura.
Mon lien avec le M.A.S. : J'allais à l'école des Soeurs de la Présentation et j'ai fait ma communion à l'Église de St Antoine de Padou . Monseigneur Le Fevre m'a donné la confirmation.
Ma vie actuelle : Je suis mariée avec un Maarifien, Charles Bentivegna. J'ai 4 enfants, 3 filles et un garçon et actuellement j'habite Alicante (Elda).

André Berenguer

Ma Famille :
Mon lien avec le M.A.S. : J'ai vécu au Maarif de 1955 à 1967 et j'ai fait mes études primaires à l'école Dominique Savio de 1955 à 1960,mon frère Jean m'y ayant succédé de 1960 à notre départ du Maroc en 1967.Je me souviens du père Renaud,du père Richet, du père Derouet ayant enseigné à cette école à cette époque.
Nous avons dû nous croiser des centaines de fois dans la cour et devant Ibn Toumert ! J'ai fait ma 6ème en 1960-1961, ma 5ème en 61-62, ma 4ème en 62-63 et ma 3ème en 63-64, avant de passer au lycée Lyautey. J'ai gardé trace de la plupart des noms de nos profs de cette époque. Le proviseur était en effet un Corse M. Mattei. Il y avait comme profs de Français la charmante Rose-Marie Nicolai et M. Lescure ; en Anglais Mme Haxaire et m. Ifrah ; en arabe M. El Kazi ; en espagnol Mme. Guyader ; en histoire-géo Mme. Oury, M. Ermelin et M. Salasca ; en maths M. Alberto et M. Franco ; en sciences nat Mme. Carcassonne, M. Madon et Mme. Agel (que l'on surnommait tata Rachel !) ; en dessin l'odieux M. Ceccaldi (un sadique qui nous malmenait) et la séduisante Mme. Bouvier ; enfin en musique la loufoque Mme. Heurtaux. Certains noms réveilleront peut-être des souvenirs chez toi. J'ai découvert Le Lien par une collègue dont les parents étaient là bas aussi. Je possède de nombreuses photos de classe,du Maarif,de l'église,du collège Ibn Toumert, du lycée Lyautey,etc. Comment les placer dans ce site ? Il me semble avoir reconnu sur celles qui s'y trouvent des garçons et des filles qui étaient avec moi à Dominique Savio (Jean-Pierre Losilla) ou au lycée Lyautey (Maguy Abad en classe d'Espagnol je crois vers 1966-1967), c'est très émouvant.
Ma vie actuelle :

Ma famille a vécu au Maarif de 1955 à 1967,date de notre départ pour Toulouse,d'abord au 97 rue du Jura (un immeuble en face de l'église ou est né mon frère Jean en 1956),puis 7 rue du Morvan et enfin 22 rue du Pelvoux. Mon père,Ange,travaillait à l'ONA (à France autos,puis à la SAMPA).Ma mère, Isabel, était femme au foyer. J'ai effectué mes études primaires à l'école Dominique Savio de 1955 à 1960 (avec Mme.Katz, Mme Bordillon, le Père Derouet, le directeur étant le père Renaud) ; mes études secondaires au collège Ibn Toumert de 1960 à 1964,puis au lycée Lyautey de 1964 au Bac de 1967.

Germaine Bernabeu

Jacques Berteaux

Henri Bertomeu

Michele Bisconte

Gilbert Blatter


Né: 18 04 41 - Lieu Maroc
Domiciles à Casablanca: Im. Romandie (Stade d'Honneur)
Rue du Mt. Blanc - Auvergne (au dessus des ''Meubles Canario'')
Parti du Maroc Août 1966
Domiciles en France: Salon de Provence - Annecy- Albertville
Aujourd'hui : 3 filles - 6 petits enfants
Pratique encore la randonnée pédestre en été / hiver + VTT

Paul Bohi

Notre vie / MAS :
Arrivé au Maroc en 1948 à Khouribga, Maarifien en 1951, à l'âge de 5 ans
Fréquente le patronage, le club de basket MAS avec père AUBERT
Communion privée et solennelle Eglise du Maarif
Avec le père MARTEREL Départ en France en 1961
Retour au Maarif en 1967
Après le service militaire (65 2 B) Départ pour Cabo negro

Danielle Bolgile ép Barcelli

Jean Bologna

né le 08/03/49 à Casablanca
Ma Famille :
Mon lien avec le M.A.S. :
Ma vie actuelle : maintenant je demeure à Antibes
Mes remarques :

Gaspard Bologna

Nadine Bonfratello ép Lopez

Paule Bonnefont

Yvette Bordonado - Ligron

Jean Boronat

Danielle Botella ép Dargent

Michel Botella

Astrid Boulenger

Ma famille : Je vais avoir 63 ans. Je suis née à Agadir. J'ai vécu, jusqu'en septembre 1959, au 86 rue du Mont Ampignani avec toute ma famille, les Boulenger (des "francaouis" comme disaient les gens du quartier), mes parents et mes 3 grands frères : Paul, Alain et Pierre. Les "Boulouj" comme les appelaient les copains d'école ! J'aimerais savoir si notre rue a changé de nom.
Mon lien avec le M.A.S. : Nous étions juste en face de la boulangerie des Casado dont le fils aîné, Germinal, était devenu un grand danseur classique. Je me souviens qu'il se faisait bronzer sur leur terrasse, un peu en contrebas de nos fenêtres, lors de ses retours épisodiques chez ses parents. Il avait un frère plus jeune.
Dans notre immeuble habitaient aussi Madame Luna et son fils "Luisito". Et plusieurs autres familles dont j'ai oublié les noms. Sur le même trottoir, à gauche, à quelques maisons de là, vivaient Marcel Cerdan, sa femme et leur fils.
Mon père travaillait aux TAC. Je me souviens de la première famille du quartier qui a eu un téléviseur (ils habitaient entre les Cerdan et nous). Ils le sortaient sur le trottoir pour que les voisins puissent regarder les émissions. Ça attirait du monde ...
Je me souviens, toute petite, je descendais dans la rue avec ma mère acheter le lait que Monsieur Sué (je n'ai jamais su comment son nom s'écrivait) venait vendre avec sa carriole à cheval. Comme nous avions une voiture, nous allions parfois le dimanche le voir dans sa ferme, sur la route de Mazagan. Je l'ai revu, plus tard, quand il est venu nous rendre visite dans le Val d'Oise. Il parlait toujours de sa participation à la Grande Guerre car il avait fait les Dardanelles, en plein hiver ... avec des températures à crever de froid au sens propre ... les Dardanelles où il avait eu des copains de régiment qui venaient du Nord de la France, région d'origine de mes parents. Cela leur faisait des liens. Je me souviens aussi des curés du Mâarif (nous nous occupions de la kermesse) et du Père Perrot (orthographe ?) que j'ai retrouvé par le plus grand des hasards à Paris, deux ou trois ans après notre rapatriement, quand j'étais interne au Lycée Hélène Boucher (tellement différent du lycée de jeunes filles de Casa ...). Lui aussi était rentré en France et il était arrivé dans une paroisse parisienne.
Sans doute d'autres souvenirs sont prêts à revenir à ma mémoire car je n'ai pas oublié les feux de la Saint-Jean, sur la petite place à côté de chez nous, avec les "grands" qui sautaient au-dessus du feux, et les "concours" pour savoir qui avait le plus grand feu du quartier ... et le bus que nous prenions pour aller à la piscine à Anfa : nous étions des habitués du "Kon Tiki" ...
Mes remarques : Merci de raviver mes souvenirs grâce à votre site. ¡ Hasta luego ! Cordialement. Astrid.

Daniel Bounakoff

Maité Bounakoff née Torres

Yves et Anne Bourely

Angèle Bravo, née Muñoz

Daniel Bravo

Roger Bruel

Je me présente : Roger Bruel, je suis né le 10 / 09/ 1925 j'habitais rue Frédéric Mistral
J'ai fréquenté l'école en bois ainsi que la grande école directeur Mr Gisbelin, instituteurs Mrs Coquelico, Mazzela, Bhertelon etc...
J'ai connu Roger Di Lorenzo, Jo Lenci, René Dies, Pépico Salas,le coiffeur.
Et les familles Escobar, Guttiérez, Marcel Cerdan, Victor café du Palmier, Arénas, le tabac Rodriguez, Martis café de la presse, le marchand de pépites Diaz , Sauveur Casano et les anciens, etc...
Les prêtres, Marius ANFOSSI, Camille VIAL, Pierre PERRO, Benjamin LELE CAER, René RICHER, etc...
J'ai quitté le MAROC en décembre 1959 muté a la SNCF, contrôleur de route gare de PARIS LYON. Mon frère aîné a travaillé chez Matra comme miroitier, aux Lustres en1939, car il y avait l'usine des boucles à ceintures : le chef était PORTUGUES José
Amitiés.
Roger BRUEL

Micheline Buigues ép Medina

Claudine Bulzunce ép Guerit

Nicole Burger ép Cucchiara

Rita Bussardo ép Tapia

Rosario et Nicole Bussardo

Marie_José Buscaino ép Giangreco

Huguette et Christian Buscema

Giovani Buscema

Claude Bussiaux

Bonjour Pierrot,
Depuis plusieurs jours, je me proposais de vous faire un petit courriel de prise de contact pour me faire connaître et dans le but d'échanger des souvenirs du Maarif de ma jeunesse.
Je suis né 14 rue Marceau au MAARIF en 1939.
J'ai suivi m'a scolarité à l'école Gabriel Roch.
J'ai toujours vécu au MAARIF, jusqu'au jour où j'ai quitté le Maroc pour la France, en 1962 mais j'y suis retourné avec plaisir à plusieurs reprises, la dernière fois en 2005 en camping-car.
En 1972 je quittai la France pour la Polynésie, y restai jusqu'en 1974.
La même année ce fut la Côte d'Ivoire, puis le Gabon et en 1992 je rentrais définitivement en France, dans les Pyrénées, à Cauterets.
Et je fréquente le MAS, antenne de Lourdes, depuis plusieurs année....Amicalement
Claude Bussiaux

Carmen Buxo ép Faustino

Rose Marie, Paul et Claudette Cabot

Marie-Christine Caetano ép Martini

Liliane et Jean-Pierre Cagnes

Elisabeth Calvino

Miguel Calvo

Victorine Calvo

Lydia et Alexandre Cano

Anne-Marie et Santo Cantavenera

Hélène et Guy (DCD) Cantavenera

Georges et Françoise Caparros, née Maillard

Ma Famille :
Mon lien avec le M.A.S. : Collège à Ibn Toumert (Petit Lycée)
Ma vie actuelle :

Luis et Jeannine Cardenas

Ma Famille : nous avons habité de nombreuses années au Maarif, mon épouse Jeannine encore célibataire au 28 de la rue d'Auvergne (angle avec la rue du Jura) Moi j'étais Préparateur en Pharmacie à la Pharmacie Universelle bd Brahim Roudani (Mme Fauvergue Pharmacien) ensuite nous avons habité rue d'Annam (pas longtemps) et qqs années rue du Pelvoux
Mon lien avec le M.A.S. :
Ma vie actuelle : nous avons quitté Casablanca en juillet 1978, nous sommes à Marseille

Floreal Casado

Cher Pierrot,
je reviens vers le LIEN pour me présenter d'une façon plus complète : mes parents José CASADO et Carmen LOPEZ sont arrivés en provenance d'ORAN (ALGERIE) où ils vivaient ,en compagnie de leurs familles respectives; ils se sont installés à la FERME BLANCHE et par la suite au MAARIF où mon frère GERMINAL et moi-même y sommes nés!! plus précisément au 89 rue du mont AMPIGNANI.
Que de souvenirs de ces années à jamais perdues!!! mon père étant boulanger, il ouvrit sa propre boulangerie qu'il nomma ":BOULANGERIE DE L'ETOILE DU MAARIF".
Mes soeurs aînées se prénommaient CARMEN et ISABELLE .toutes deux nées à ORAN.
Mon frère GERMINAL a fait une très grande carrière en tant que danseur (17 ans avec MAURICE BEJART) et ensuite comme chorégraphe et directeur de ballet à KARLSRUHE (Allemagne);
En réponse au mail d'Astrid BOULENGER, nos voisins les LUNA, Antoine était un ami et son jeune frère "Louisou"
Il y avait aussi les CODINA, les LO FREDO, je me souviens de cette famille de "patos" qui sont venus vivre dans l'immeuble!!!
Dans un prochain courrier, je continuerai mon bavardage!!!
AMITIES MAARIFIENNE!!!! FLOREAL
PS: j'espère pouvoir me rendre à ROSAS avec mon CAMPING-CAR!! et retrouver des anciens amis!!!!

Mario Casano

Ma Famille : , j'habitais rue du ballon d' Alsace au Maarif, face au clos de boule
Mon lien avec le M.A.S. : Je jouais de la batterie avec les copains. J'ai découvert le site grâce à mon copain Michel Rubio
Ma vie actuelle : Voila, un grand bonjour a tous ceux qui me reconnaîtront .Encore bravo !!!!!!!

Pierre Colombo

Naissance :  né le 02 02 1944 à Cherchell ALGERIE

Ma Famille : Arrivé à Kénitra en 1947avec mes parents.
Mon lien avec le M.A.S. : Je faisais parti de la paroisse du CHRIST-ROI, école primaire à DON BOSCO, ami de longue date avec la famille Aubert ( particulièrement avec HENRI , LUCIEN, et SIMONE).
Ma vie actuelle : Je suis le trésorier de l'AAKPPA, amicale des anciens de Kénitra.

Arlette Clercq, née Mari

Bonjour PIERROT
je me présente
Je m'appelle Arlette CLERCQ née MARI le 30/11/1948 à CASABLANCA
J'ai habité le MAARIF et suis allée à cette école.
J'habitais le 144 rue de l'Esterel angle rue du Mont Ventoux .
J'ai un frère CLAUDE qui est né en 1944.
Il était enfant de coeur remplaçant à l'église SAINT ANTOINE DE PADOUE avec le père RENAUD et allé à l'école Dominique Savio et a fait le patro.
Enfants, nous avons joué avec Manu Munoz, Angèle sa soeur, Jean-Louis Casano, Ghislain Lemarquand, Victor et Marie-Thérèse La Scala etc...
Nous avons quitté le MAARIF en 1958 pour habiter les ROCHES NOIRES.
Papa est né à la rue du MONT BLANC
Ensuite, nous sommes rentrés en FRANCE en JUIN 1964 pour NICE où j'habite.
Je viens de prendre la retraite à compter du 1er DECEMBRE 2008.
j'ai une fille ALEXIA qui est médecin généraliste et nous vivons ensemble.
J'ai été mariée et malheureusement j'ai perdu mon mari.

Luis de Armas : Loulou Canario

Ma Famille :
Mon lien avec le M.A.S. : Les Copains d'abord - Longue vie au Padre et au LIEN, !! 40 ans c'est incroyable !!
Ma vie actuelle :
Mes remarques : Internet c'est extra mais le téléphone arabe c'est encore mieux : Dimanche dernier je reçois un coup de fil de Mario Casano et après avoir papoté un bon moment, il me donne l'adresse du site et ! OH SURPRISE ! Que de photos, quelle joie de revoir tous ses Copains, toutes ses Ados, que de souvenirs. Entre hier et aujourd'hui j'ai fait le tour complet du site avec mon épouse Maguy. Cher Pierre après tellement d'années, nous voici á nouveau en contact et tout ça grâce á l'ingénieuse idée que tu as eu de créer le site du Lien, bravo et merci. Je profite de ce nouveau moyen de contact pour embrasser bien fort á tous ceux qui me reconnaîtront.

Janine Deschene

née Fouassier, née a Casablanca le 19 Février l937

Ma Famille : Je demeurais a La Quenta tout près du Maarif.
Mon lien avec le M.A.S. : Je suis allée à l'école du Maarif puis au Collège Mer Sultan. J'ai travaillé sur la Base de Nouasseur
Ma vie actuelle : Je me suis mariée à Robert Deschene et demeure depuis ce temps à Madawaska dans le Maine. Je passe 6 mois en Floride. Je suis actuellement à Hallandate jusqu'au mois de mai.
Remarques : Je connais Raoul Parra, Julien Correia, Roger Di Lorenzo. J'aimerais retrouver des amis d'enfance si possible. Amitiés.

Jean-François Di Blasi

( 21/06/51 ) né au Maarif extension , au 26 rue des Lilas

Ma famille : J ai un frère : LUCIEN ( dit Lulu ) du ( 17/07/52 ) et j avais une soeur MARIE-CLAIRE ( 24/08/53 hélas DCD en 99 )

Nous avons habités après la rue des Lilas , au 2 rue des Gobelins ( maarif),
ensuite a la rue du Canigou et pour finir : au 15 Bd d ' Anton , a côté du CDI ( cercle des Italiens ) .
Pour mon frangin et moi , départ du Maroc en fin 1973 , ma petite soeur un peu plus tard , et mes parents sont rentrés en 1980 ( Maman dcd en 1995 et Papa en 1996 ).
Mon lien avec le MAS : J ai fréquenté l école primaire du Maarif , le patronage a l' école Dominique SAVIO , ensuite le lycée Technique , rue Eugene Barathon , et pour finir , l' école d'horlogerie de Beauséjour ( 1967-1969 ) . Ensuite je pars bosser sur RABAT , sur le barrage du BOUREGREG , jusque mon départ en 1973 pour la France .
Ma vie actuelle : Nous sommes installés depuis , sur la cote d azur , au Cannet , a 3 kmde CANNES depuis notre départ de Casa ( 11/1973 ) - Je suis dans la pièce détachée auto depuis ! - JEFF

Roger Di.Lorenzo

né au Maarif en 1927, à la rue du Mont Blanc

Ma Famille :

Mon lien avec le M.A.S.

Ma vie actuelle : marié à Paulette Immormino de Khouribga, 3 enfants : Richard, Serge nés au Maarif rue des Pyrenées, et Roger jr.né aux U.S.A.
Mes remarques : Je vous donne mon adresse postale aux U.S.A. Merci et que Dieu vous bénisse. Roger

Gérard Do Souto, 

Ma Famille : Mon lien avec le M.A.S. :

né le 17/08/1958 au 3 rue du Vignemale au Maarif (derrière le marché à côté de PEDEMONTE le disquaire )
Ma vie actuelle : ma femme HELENE est née en France ainsi que mes 2 enfants.
Mes remarques :

Armand et Nicole Duarte

Mon épouse Nicole se joint à moi pour te remercier, et j'en profite pour t'envoyer par insertion la photo de "maintenant" et par la même te présenter Nicole; je suis désolé j'aurai dû le faire avant,
Nicole Purpura, épouse Duarte comme tu l'a deviné, c'est pour qu'il n'y est pas d'équivoque........désolé je "déco..e".
Donc née à Agadir, au décès de sa maman (a 9 ans) elle rejoint les Casablancais, à la Ferme-Blanche puis direction notre Maarif rue du Pelvoux.Elle a Quatre sœurs Joséphine "dit Josée" épouse Salerno Sauveur, Marianne "dit Marie" épouse Agugliaro Guy, Elisabeth "dit Babeth" divorcée avec Delgado Henri, et enfin la dernière Françoise veuve de Joseph "dit Jo"(septembre 2004) Toutes vivent en France. Cousine germaine des trois sœurs et frère Purpura, Marie-Jeanne, Christiane, Hélène épouse Cantavénéra Guy, Jean-Pierre et, également cousine avec la famille Giangréco Antoine "dit Tony", Marianne, et Sauveur. Voilà, c'est fait, j'ai colmaté la brèche.
Sincères salutations - Nicole,Armand

Juan et Maryse Duarte, née Habarou

1 fois/sne quand on est là.
Bravo pour ce site merveilleux et à ceux qui le font vivre c'est un sacré travail merci à tous bises de nous 2
Maryse Juan

Juan Duarte-Martinez

Ma Famille : Hélas mes parents sont décédés ma mère en 1979 et mon père en 1995.
Je suis le frère de Duarte MARTINEZ Lionel décédé le 21/09/2007 Malaga.
Lionel était marié avec Angèle Bravo Mendez, en Avril 1958 à l'église Espagnole au jardin public Casablanca
Mon frère Duarte Mario, son épouse Liliane (3 enfants Mariés) vit à Savigny Le Temple
Ma soeur Mme Davoisne Sylvia son Mari Claude (3 enfants) vit à St Avertin
Mon frère Duarte Armand, et son épouse Nicole (2 enfants) vit à Rognac
Mon lien avec le M.A.S. : Le Père Aubert, le Maarif, le ping pong, notre mariage, messes,
J'ai quitté le Maroc en Septembre 1965 J'habitais 15, rue de Pyrénées une fois Marié avec Maryse Habarou nous habitions 19, rue de Louvain quartier Mers sultan (nous avons eu 3 enfants et maintenant nous avons 2 belles filles et 4 petits enfants)
Ma vie actuelle : Nous sommes retraités tous les 2.
Mes remarques : que l'amour que nous partageons à travers le Lien par l'intermédiaire du Padre, ne s'efface jamais, c'est merveilleux, ainsi que toutes les rencontre. Merci

ELHassani ELAlaoui MLy Driss

Ma Famille : je suis né à Mers sultan le 16 Octobre 1944. au Maarif depuis 1950 j'ai habité 19 rue madame Roland puis au 45 boulevard Camille des moulins puis au19 rue Marceau. (Daoud Ad Dahiri) jusqu'a 2007, actuellement j'habite dans la région de Dar Bouazza .J'ai fréquenté le groupe scolaire du Maarif dans les années 55
Mes parents sont décédés, mon père a exercé la fonction de motard dans la police
Mon lien avec le M.A.S. : j'ai été accueilli par le patronage, le basket au MAS.
Ma vie actuelle : âpres ma retraité dans la sécurité aérienne, je suis consultant (Aéronautique) en Communication, Navigation & Surveillance
Mariée 2 enfants une fille et un garçon et 2 petites filles et un petit garçon. j'ai beaucoup vadrouillé à travers le monde……….
Depuis plusieurs mois, je me proposais de faire un courrier de prise de contact pour me faire connaître et dans le but d'échanger des souvenirs de jeunesse. avec les anciens de ma classe primaire et surtout mon maitre de classe Monsieur Gimenes qui doit habiter les environs d'Aix en province
Amicalement

Isabelle Esteve

ESTEVE MACIAS ISABELLE née le 20 Janvier 1947 à la Ferme Blanche
Mariage avec ESPINAR GUERRA JEANNOT né le 1er Mars 1946 au Maarif à la rue des Pyrénnées.
Nous nous sommes mariés au Maarif le 12 Octobre 1968.
Nous habitions à la Place du Puy de Dôme.
En Espagne depuis 1974 (5 ans à Malaga et depuis 1979 à Séville)
Nous avons 2 filles, 1 petite fille et une autre qui arrivera, in cha allah, en Mars. Besitos a todos.

Jean Espinar

ESPINAR GUERRA JEANNOT né le 1er Mars 1946 au Maarif à la rue des Pyrénnées.
Marié avec ESTEVE MACIAS ISABELLE née le 20 Janvier 1947 à la Ferme Blanche
Nous nous sommes mariés au Maarif le 12 Octobre 1968.
Nous habitions à la Place du Puy de Dôme.
En Espagne depuis 1974 (5 ans à Malaga et depuis 1979 à Séville)
Nous avons 2 filles, 1 petite fille et une autre qui arrivera, in cha allah, en Mars.

Guy Feger

Bonjour,
Je suis surpris d'être arrivé sur le site de ceux qui ont passé leur jeunesse/leur vie au Maroc et plus précisément au Maarif.
Je me présente :
Guy FEGER né en 1952 à Casa – fils de Claude ayant travaillé 40 ans à la préfecture au visa des plans.
Nous avons vécu rue Ampignani, Mt Blanc pour finir au 103 des Pyrénées à côté du Garage de la famille… ?
Suivi ma scolarité à Dominique Savio puis Ch.de Foucauld et terminé mon secondaire à Diderot FOCH, Bd ZERTOUNI (face MEFFRE)
Fréquenté les plages de Mannesmann, David puis Dahomey.
Mon père étant pêcheur, nous avons arpenté tout le moyen-atlas (lacs et rivières)
Je suis retourné à Casa en 2004 puis en 2009 mais sans retrouver de contacts.
(difficile aussi de se repérer dans ce Maarif transformé où le nom des rues à changé.
Si vous aviez la gentillesse de me donner le mode d'emploi pour rentrer sur le lien…
Cordialement,
Guy.

Maria-Angeles Fernandez-Costa

Ma Famille : Ma maman est née à Tetuan et mon papa à Casablanca. Mon grand père paternel avait un studio de photographie "Photo Moderne" à la rue Mazagan - Ancienne Médina - Il est arrivé à Casa en 1910
Mon lien avec le M.A.S. : J'ai vécue au Maarif de 1970 à 1976. J'ai fréquentée l'école espagnole situé à la rue d'Alger et le lycée espagnole au Bd, d'Anfa (prés des Arènes). Beaucoup de maarifiens ont fréquentés ces établissements quelques années avant le "grand et triste départ". J'ai vécue à la rue Mont-Ampignani au numéro 86. Nos voisins : Mr Mayor, Mr et Mme Pédémonte, Famille Dallorto, Famille Vélez, Famille Mérino, Famille Conde, Famille Heredia, Famille Pompas, Famille Rodriguez, Famille Loccicero, Famille Mayo, Famille Sarrio, Famille Lozano, Famille Delgado et un long ect... (la mémoire!).
Ma vie actuelle :
Mes remarques : Je suis à votre disposition ...Amitié à tous les maarifiens. Que Dieu nous bénissent et fassent que notre lien continue pendant des années ...Angèle Fdez Costa

Jeanine Ferrer ép Michelin

Nom_prénom=Ferrer Jeanine ép. Michelin
message=née en 1948 à Casablanca, j'ai fréquenté la paroisse St Antoine de Padoue
J'ai connu le Padre Lucien AUBERT.
Communion privée puis solennelle, je demeurais rue de l'atlas.
Je suis outillée depuis peu en informatique et je découvre le lien.
Je salue chaleureusement tous les fidèles maarifiens.

Jean-François Figari

Je suis né le 13 Mai 1947 à Rabat .
j'habitais 37 rue de l'Esterel au Maarif jusqu'en mars 1968 date de mon départ pour l'armée via Bordeaux
J'étais en Terminale technique au lycée Lyautey.
Je suis marié avec 2 enfants (24 et 20 ans)
Je souhaite à tous les Maarifiens et à leurs Familles tous mes meilleurs voeux pour 2008.
Depuis des années j'espérais retrouver les coordonnées du "lien". Maintenant c'est fait grâce à un ancien exemplaire du "le Lien" de 1992 que j'ai retrouvé dans une malle oubliée dans mon grenier.
J'habite à Hyères dans le VAR; Voici mon Imail: ........ (Voir le site et la photo de la Rue du Jura)
A bientot Jean François.

Cécile Floro née Guerrero

Ma Famille : Je suis née à rue des Alpes au Maarif en 1950. Je suis la soeur de Emilie Corrao et la cousine de Michel et Lydia Rubio
Mon lien avec le M.A.S. :
Ma vie actuelle : j'ai quitté le Maroc (rue du jura) en septembre 1973 pour Paris
Mes remarques : J'ai passé une jeunesse inoubliable, avec pas grand chose on vivait heureux. Mariée avec Jean-Michel Floro 1951 né à casa.
Merci Pierre de faire revivre notre jeunesse à travers ce site

Nanou Franco :

Ma Famille :
Mon lien avec le M.A.S. :
Ma vie actuelle :

Joséphine Galiana

Née au Maarif en 1935 rue du Marché
Ma Famille : J'ai 5 soeurs et un frère. Mon frère Charles et mes soeurs Rosine, Gilda, Silvia, Danielle, et Brigitte.
Mon lien avec le M.A.S. :
Ma vie actuelle :

Roland Galiana

Ma Famille : Je suis le fils de Fiby GALIANA et feu mon père Louis GALIANA
Mon lien avec le M.A.S. :
Ma vie actuelle :
Remarque : Si cela est possible, je désirerais que tous ceux qui ont conu mes parents, puissent aller sur le blog de ma mère (http://slidertarn81.skyrock.com) où des photos sont disponibles ainsi que plusieurs liens.

Josiane Galindo épouse Moder

Ma Famille : Mes Parents, Antoine et Isabelle Galindo (née Rizo), Papa travaillait a l'AIA de 1928-1958... Je suis née au Maarif, 48 rue des Pyrenées, jusqu'au départ pour le Canada en Mai 1958....
Mon lien avec le M.A.S. :Souvenir de ma jeunesse, école du Maarif, le Collège Mers Sultan, sans oublier le Patronage, les Ames Vaillantes, le "Journal LA VIE" que je délivrai aux abonnes..
Ma vie actuelle :Depuis 1965 j'habite en Californie, USA, suis venue chercher le soleil et l'océan...J'ai 2 filles, Nathalie et Michelle et 2 petites filles Jesika et Tatyana.
Mes remarques: Merci - un grand Merci au Pere Aubert et a tout ceux qui participent pour garder ce "LIEN" unique qui comme une chaîne a plusieurs maillons nous tient réunis aux quatre coins du monde,...Longue vie au "LIEN" et amitiés a tous...Josiane

Marie-Thérèse Galindo-Chocron

- Nom et prénoms : Marie-Thérèse (Marinette) Galindo-Chocron
née au Maarif, le 31 Octobre 1933 - numéro deux dans une famille de quatre enfants

  • Adresse : 48 rue des Pyrénées - nos voisins : familles Vinco, Strina, Cicchero.
  • Mes parents : Antoine Galindo (1907-1997) et Isabelle Riso (1909-1999) - se sont connus en Algérie, Oran et se sont retrouvés à Casablanca ; je crois que Papa y est arrivé avec les siens en 1925 et Maman en 1927. Se sont mariés à Saint-Antoine de Padoue (Août 1930).

Je me suis moi-même mariée dans la nouvelle Eglise de St-Antoine, 1er Juin 1955, avec Marc Chocron (1929-1998).
En 1956 nous quittions le Maroc, bref séjour à Paris et en Mars 1957, arrivions à Montréal où nos deux filles sont nées, Marilyn (1/1/58) et Monique (17/12/59). Nous avons quitté Montréal en Mai 1966 pour la Californie, où notre fils Luc est né (11/09/69).
Mes parents, ne voulant pas être séparés de leurs enfants, nous ont suivis et reposent maintenant à Santa Ana.
Mes enfants sont mariés et j'ai une petite-fille de 22 ans, Dannylle.

  • Mon lien avec le MAS : c'est en 1968 que j'ai appris l'existence du "Lien" que Père Aubert avait lancé et auquel je suis toujours très fidèle. Nous avons eu l'occasion de le rencontrer, en 1975 lors de notre passage à Nice. Nous avons assisté à deux rassemblements de Pentecôte aux Bories, en 1994 et 1996 ; nous avons manqué 1998. Je l'ai revu en 1999 à Toulon. Et plus récemment, quelques jours à Samoens en 2003. A ces occasions j'ai eu le plaisir de revoir des amis.

Nous avons eu la grande joie de recevoir Père Aubert pendant quelques jours en 1981.
- Le Maarif : nous y avons été heureux, nous n'avions pas encore affronté les problèmes de la vie d'adultes. Et s'il en reste une certaine nostalgie, c'est que, à mon avis on a tendance à idéaliser ce qui fut notre passé.... et notre jeunesse.
- Mes souvenirs : Tout en vrac :
le dimanche, une voisine adolescente - Thérèse Bertolino (maintenant en Floride) venait me chercher pour aller à la messe (car j'étais "petite" !!).
Le dispensaire où Soeur Françoise prenait soin de nous. Et puis, les "Ames Vaillantes", le catéchisme, Communion, processions, Soeur Michelle, Soeur Louis-Dominique, Soeur Pierre.
Mais aussi les Petites Soeurs de l'Assomption, qui avaient une si jolie petite chapelle où j'assistais parfois à la messe.
Soeur Alix, si dévouée, qui venait soigner ma grand'mère à la maison.
Plus tard, après mes études au Lycée de Jeunes Filles, un an à l'Ecole de la Présentation, de cours commerciaux, comptabilité, dactylo et sténo avec Mademoiselle Ranouille. (1948-1949).
Quelquefois, le samedi après-midi, avec Maman, nous allions sur la Place de l'Eglise admirer les mariages ; nous n'étions pas les seules. Tout le monde connaissait tout le monde, ne serait-ce que de vue

  • Ma vie actuelle : petite routine de retraités ; excursions d'un ou plusieurs jours avec les Centres de Seniors ; nous y faisons aussi des exercices physiques.

Michel, mon compagnon, et moi aimons voyager, surtout en croisière.
Nos enfants (3 pour chacun de nous) nous entourent et, à la maison, notre petit chien Milou nous tient occupés.

  • Mes remarques : il me semble qu'il n'y a pas beaucoup de membres de ma génération dans ce site ; une dizaine d'années d'écart, (il y a aussi ceux qui sont nés après notre départ), plus le fait que certains ont quitté le Maroc bien après nous, et l'ont vu changer, font que nous n'avons pas la même vision du passé.
  • Remarque finale : vous avez entrepris un travail colossal et qui doit prendre bien de votre temps ; je vous admire, vous félicite et vous remercie. Longue vie au site (que je consulte tous les jours).

Sylviane Galindo ép. Froesch, née le 31 Décembre 1941

Ma Famille :
Mon lien avec le M.A.S. : Sur le site, j'y ai reconnu le nom de Jackie Gardey. En effet j'ai été copine de sa soeur Nicole et me souviens bien de la villa ou sa famille habitait puisqu'il fallait passer devant en allant et en revenant de l'école. Nicole est du début 1942 et moi je suis du 31 Décembre 1941 donc très près l'une de l'autre.
Ma vie actuelle : Un petit mot de Californie : J'ai 4 enfants et 8 petits enfants le dernier ayant 4 mois 1/2 et l'aînée bientôt 19 ans. Mon dernier petit fils, qui vient d'avoir 4 mois et qui avait du être opéré d'urgence a sa naissance a coeur ouvert se porte très bien et ne se ressent pas du tout de cette intervention. Grâce à Dieu, il profite bien et nous remplit de joie. Ses frères -il en a 4- et sa soeur aînée qui aura 19 ans en Décembre 2006, eux aussi vont très bien
2ème message du 28/11/07 :
Ma famille s'est agrandie avec l'arrivée d'une autre petite fille, cela me fait 9 petits enfants, 5 garçons et 4 filles. L'aînée va avoir 20 ans en Décembre et la plus jeune a maintenant 3 mois. Toute cette "petite" famille me rend très heureuse d'être grand mère.
Pour ce qui est de mes souvenirs maarifiens, je suis née le 31 décembre 41 et avec mes parents j'ai quitte Casa en 1958 direction Montreal, Canada. J'ai fréquenté comme beaucoup d'entre vous l'école du Maarif, le patronnage, le Collège Mers Sultan. Les noms de Carmen Sanchez, famille Molla ,Gardey, Ocana, Bentivegna, Sylvestre me sont familiers parmi tant d'autres. Les dimanches après la messe j'accompagnais Marie Montois pour la livraison de la Vie Catholique et je me souviens qu'au mois de Mai nous allions porter la statue de la Vierge chez certains voisins.

François Garcia

Ma Famille :
Mon lien avec le M.A.S. : je suis maarifien, colonie de vacances à Immouzer du Kandar. Les Copains : Comito, les Ventura, Manu Muñoz, De Armas, Michel Rubio etc... je les connaissais du quartier et certains un peu plus du foot car je jouais au CAFC
Ma vie actuelle :

Jacqueline Garcia

Bonjour,
Oui, j'habitais 11, place du Puy de Dôme, je suis née en janvier 1946 rue d'Auvergne.
Aujourd'hui à Fréjus dans le Var
après avoir quitté le Maarif depuis plus de 50 ans, je découvre le "Lien" avec beaucoup beaucoup d'émotion.
Equipée depuis peu d'un ordinateur, je visite souvent votre site, grâce à vous, j'ai retrouvé des voisins et amis(es) de cette époque Maarifienne.
Merci
Pierre je vous souhaite une agréable soirée.
Salutations
Jacqueline Garcia
PL : Bienvenue dans notre site

Jackie Gardey

Naissance : née le 06 avril 1947 (le jour de Pâques)

Ma Famille : Nous habitions donc mes parents et mes 4 frères et sœurs, au 5 rue du Mont -Ventoux.
Ma mère était institutrice à l'école du Maarif.
Mon père était tailleur rue de l'Aviation française.
L'ainée, Nicole est née le 07 janvier 1942. Elle est mariée et habite près de Saint-Lo. Elle aussi était institutrice. Elle a 3 enfants et 4 petits enfants.
Jean -Claude est né le 22 janvier 1943. Il est marié . Après avoir travaillé à Genève (chimiste ),il vit dans les Hautes-Pyrénées à Soublecause. Il a 2 enfants.
Monique est née le 30 mars 1944. Elle est séparée de Georges Escoffres qui habitait derrière le boulevard Jean Courtin. Elle travaillait à la BNP. Elle a 2 enfants et bientôt 6 petits enfants (le dernier doit naître le 12 novembre). Moi, je suis née le 06 avril 1947 (le jour de Pâques).
J'ai oublié mon frère Michel, le dernier de la famille, qui est né le 23 juillet 1950. Il habite dans la région parisienne. Il est célibataire et il est Prof de Psychologie à l'Université d'Angers.
Mon lien avec le M.A.S. :
Ma vie actuelle : Nous sommes rentrés en France le 16 juillet 1965 à Pau. Mes parents (85 ans tous les 2) y habitent toujours. Je travaillais également dans une banque, au Crédit Agricole, et serai vraiment à la retraite le 01 mai 2007. Je suis célibataire et j'ai 1 fils et 1 petit fils
2ème mail de Jacky :
Souvenirs de messe
Lorsque nous arrivions légèrement en retard à la messe, nous restions au fond de l'église. A un certain moment, un ou deux prêtres venaient nous chercher pour nous placer devant; les garçons à gauche et les filles à droite.
En parlant de retard, je me souviens que le Padre faisait toujours une réflexion à ceux qui arrivaient au moment du sermon. Il disait par exemple : "Avant de poursuivre, laissons Mme X s'installer.
Par ailleurs, je me souviens qu'à la St-Hubert, patron des chasseurs, ces derniers assistaient à la messe et jouaient avec leurs cors. Certains avaient des arcs et d'autres des fusils de chasse.
Souvenirs de patronage
Le jeudi après-midi, j'allais au patronage. Nous faisions de la couture. Je me souviens avoir fait un porte-serviette. J'avais brodé un petit bateau. Il y avait du théâtre. Petite pièces jouées sur des chansons ( Ne pleures pas Jeannette…, La Marion sous son prunier; il me semble que c'était Marie-Jeanne Cortial qui faisait Marion)
Bref, que de très bons souvenirs.
Souvenirs des Prêtres
Je ne sais plus en quelle année, peut-être 1962 ou 1963, lorsque le Padre a laissé sa soutane pour se vêtir de vêtements civils, ça a été le grand scoop !
Je crois que c'était mon frère Michel qui l'avait vu en premier et il criait : " voilà le Père Aubert, il est en civil ! ", alors vite derrière les rideaux, (comme peut-être d'autres personnes ) nous le regardions passer rue du Canigou.
Ca m'avait fait vraiment drôle de le voir habillé comme çà ! Et oui, même chez les curés, il y a du progrès.
Souvenirs de la kermesse
Nous avions gagné 5 petits lapins, je ne sais plus à quels jeux. Comme nous étions heureux !
Maman restait un peu trop longtemps à mon goût, dans une grande salle où étaient vendus de la lingerie de table ou autre. En fait, elle discutait beaucoup.
Il y a tellement d'autres souvenirs, que l'on pourrait écrire un livre !
Mes rapports avec les autres :
Depuis très peu de temps, je m'implique au MAS puisque je fais partie de l'Antenne des 3B. Etant la petite dernière, la toute nouvelle, je suis très motivée et espère apporter un peu de dynamisme à l'équipe !
Je suis trésorière le la Fondation Raoul Follereau (Lutte contre la lèpre et actions diverses en Afrique pour lutter également contre la misère). La passation des pouvoirs se fera demain, mardi 27 Novembre.
Au printemps prochain, je vais rejoindre l'équipe du Secours Catholique pour tenir une boutique solidaire.
Je fais également partie de l'équipe de la Banque Alimentaire.
Par ailleurs, je fais quelques petites actions très personnelles avec des personnes très démunies.
REMARQUES :
Je trouve que les Maârifiens ne sont pas pressés de répondre à cette nouvelle rubrique. Leur mémoire leur ferait-elle défaut ?
J'espère qu'ils vont se réveiller bien vite !
Pierrot, bravo pour toutes ces nouvelles qui font vivre notre site.
Amitiés

Marie-Anne Giangreco

née le 30 avril 1951 Casablanca (Ferme Blanche)

  • fille de GIANGRECO Nunzio (Nino) et COVATO Angèle (tous deux décédés)
  • 2 Frères ANTOINE (Tony) né en 1949 et SAUVEUR né en 1950

Nous habitions rue Saintonge et ensuite rue des Faucilles .

  • Mariée depuis le 18 Septembre 1971 à Francisco (Paco) IGLESIAS né le 11 Avril 1947 à TANGER. Il était gardien de but de l'équipe de Foot du CDI. Nous avons quitté le Maarif fin 1979 pour la FRANCE (Marignane) et depuis 5 ans nous sommes installés en ESPAGNE près de SANTANDER. (En attendant la retraite en 2008 pour retourner en France).
  • Nous avons 3 enfants , 2 petits enfants et un 3ème prévu fin Mars début Avril 2008.

Merci pour nous faire revivre toutes ces bonnes années inoubliables au sein du Patronage - Basket - colonie.
Amitiés à tous les Maarifiens.

Sauveur Giangreco

Bonjour,
Je me présente ,je m'appelle GIANGRECO SAUVEUR
je suis né au MAROC (CASABLANCA)
J'ai habité au Maarif la rue de Saintonge et ensuite la rue des Faucilles au 81
je suis le frère de Marie Anne Iglésias née Giangreco.
Je serai parmi vous le 13 mai à rosas avec ma femme qui se nomme Marie Josée Giangréco né Buscaïno,qui est née a Tunis en Tunisie.
Elle est rentrée en France alors qu'elle été très jeune.
J'ai fait sa connaissance à Nevers, on s'est marié à Toulon.
Nous avons eu 4 enfants ,2 filles et 2 garçons et nous sommes grand parents de 5 garçons et une fille.
Dans l'attende de vous voir je vous dit à bientôt
SAUVEUR

Raymond Gimilio

Ma Famille : Je suis né à Rabat le 8 juin 1938, fils de Ramon Gimilio Garrote et de Françoise CANO
Mon lien avec le M.A.S. : ancien Cœur Vaillant de la Paroisse salésienne du Christ Roi de Port-Lyautey, j'ai vécu à Casablanca
Ma vie actuelle : retraité du CNRS, oléiculteur à Claret (Hérault) et administrateur-secrétaire bénévole de la Coopérative Oléicole Intercommunale de Pignan, Président d'association.
Mes remarques : merci au Maroc Association Salésienne de s'ouvrir à tous ceux qui ont croisé les Œuvres de Don Bosco et dont le Padre est le Lien.

Jeannot Gaétano Gioia

Bonjour à tous
Je m'appelle Gaétano, Giovanni Gioia (Jeannot) j'habitais au 61 rue du Mont Ampignani
J'ai été à l'école du Maârif de 1946 à 1955, à l'ouverture de l'école Camille Desmoulins j'y suis allé que l'année scolaire1955/56 en CM2 (chez Mr Simonetti le directeur de l'école) , puis je suis retourné à l'école du Maârif pour l'année scolaire 1956/57 pour passer mon certif, chez Mr Jean Saurel, car Camille Desmoulins ne faisait pas le certif.
Actuellement je suis à la retraite dans un petit village des Alpes de Haute Provence à 34 kilomètres de Digne les Bains.
Aujourd'hui, j'ai découvert ce site par hasard et je prends de suite la parole, pour apporter un complément d'information sur la photo de Claudio Ocania, sur la photo de l'année scolaire 1954/55 de Camille Desmoulins :
" Salut Claudio, ne te fâche pas : alors il s'agit de l'année scolaire 1955/56, le n° 7 c'est Auberger son père avait une grosse menuiserie au boulevard d'Anton, celui que tu nommes Costa soit le n° 27 c'est un des 2 jumeaux Jauson, par ailleurs le deuxième jumeau est le 5 ème après lui, il a le n° 32, l'un des deux s'appelait Claude.
Quand à Costa il a le n° 6, il habitait rue d'Annam, le n° 34 c'est le fils Cotter, son père avait un magasin de philatélie, au passage ???? peut-être Ae d'Amade???? en face des galeries Lafayette et du cinémé Vox,
Le n° 35 c'est Patrick Bruel, le n° 17 c'est Alain Viziédo (je ne suis pas sur de l'orthographe) sa mère était directrice de la "Goutte de lait" au bd Camille Desmoulins, le n° 9 c'est Rénato (son nom m'échappe) très, très fort en Math, il habitait rue du mont Ampignani presque en face de Georges (Jojo) Uchéda (il est actuellement en Italie)
Le n° 8, soit Edmond Parra (il dessinait à merveille) on m'a dit cet été qu'il serait mort?????????
Le n° 25 soit Michel Roméro : nous nous fréquentons, cet j'ai réuni chez moi 19 copains et copines (je vais essayer de t'envoyer la coupure du journal) de la rue du Mont-Ampignani : Guido Ingargiola (avec sa femme) qui sont venus expressément du Maârif, Guy Galia avec sa femme(qui sont venu d'Amiens), Michel Roméro avec sa femme (qui sont venu de Bayonne), Ginès Sanchez avec sa femme Pili elle est Maârifienne, il y avait aussi, la soeur de Ginès, Loutchie Sanchez qui est marié avec Sauveur Escudéro il habitait Maârif extension, étaient aussi présent Danielle Lopez avec son copain Gilbert Marino du Maaârif, elle habitait rue du Mt Ampignani dans l'immeuble de Myriam (grande avocate à Casa qui s'est tué en voiture) , Zorra, Slima leur frère Idriss, leur père était marchand de légume au passage Cabazon, étaient également de la fête Robert et Tania (elle Antonietta elle habitait rue des Pyrénées en face de l'épicier Barek angle rue des faucilles et des Pyrénées)
Voilà mon ami
Jeannot

Alain Giroud

86 rue de l'Esterel et Marie Jeanne DUBUC
23 rue d'Annam
Ma Famille :
Mon lien avec le M.A.S. :
Ma vie actuelle :
Mes remarques

Christiane Gonzalez-Casanova, née à la Foncière

Ma Famille : Papa un grand monsieur chauve avait une calèche avant de rentrer à l'O.N.E
Maman femme très discrète s'occupait de ses 5 enfants de ses parents et de sa grand-mère aveugle. Mon frère aîné René travaillait à l'O.N.E. Ma grande soeur Emilie (Mimi) travaillait à l'Agence Havas. Francine travaillait à l'hôpital Militaire avant de rentrer chez Lesieur
Moi j'ai tout bêtement repris la relève à l'Agence Havas puisque ma soeur Mimi partait aprés son mariage à Toulouse. Le petit frère de 2O ans le cadet de mon frère aîné et de 1O de moi n'a jamais travaillé au Maroc. Les trois soeurs nous avons fréquenté l'école de la Présentation
Le petit frère Dominique Savio.
Nous habitions rue de l'Esterel au 129 tout au bout de la rue, pas loin de l'école du Maarif.
Nos voisins étaient les Sanchez, les Casano, les Noto, les Ferrer, ect ....
Mon lien avec le M.A.S. :
Ma vie actuelle :
Remarque : J'avais la chance d'avoir souvent des messages des frères Sanchez pour Robert Youpi ça marche, pour Roger impossible le mail reste toujours en attente dans ma boite d'envoi

Colette Gonzalves, ép. Balicco

bjr je suis la cousine de Pops. Je te donne mes renseignements ;
Balicco Colette née le 12 janvier 1949 à Casablanca, nom de jeune fille Gonzalvez.
J'habitais à Casa 23, rue Reitzer quartier Mers Sultan.
Je fréquentais le Maarif, parce que Pops habitait rue du Mont Blanc au maarif et les sorties étaient avec lui et toute l'equipe du Padre.
Nom de Pops : Giardina Henri, né le 16 janvier 1948

Aline Goudard-Esterini

Ma Famille : je suis la soeur de Sylviane Goudard, j'habitais rue des Alpes.
Mon lien avec le M.A.S. : j'ai eu la maman de Jackie Gardey, comme maîtresse d'école, très gentille, à l'école du Maarif au cp. Je m'en souviens très bien, sa classe était la première après le préau, il y avait des lavabos, je me souviens que l'on remplissait nos encriers avec une bouteille qui avait un "pic" pour pas verser à côté..... Il en est passé des années et je me souviens d'un petit livre de lecture qui racontait l'histoire d'un pingouin, et la couverture était tellement abîmée, que votre maman nous avait demandé de faire un dessin sur du papier "Canson". J'avais dessiné une basse-cour et comme c'était bien fait,...... Madame Gardey avait fait circuler dans les classes du rez de chaussée, car il y avait un premier étage. J'en garde un bon souvenir, je ne sais pas si elle se rappellera de moi, mais vous lui ferez une grosse bise : Vous habitiez une villa, pas loin de Anne Marie Sanchez. On y passait tout le temps en revenant de l'école, j'habitais rue des Alpes
Ma vie actuelle : et J'ai 56 ans actuellement,. J'habite en Haute-Savoie (Annemasse). Je suis maman d'un garçon de bientôt 30ans et mamie d'un petit garçon de 2ans
Je remercie chaque jour 'internet'

Sylviane Goudard ép. Sotto

Je me présente : Sylviane Goudard (ép Sotto). je complète la présentation d'Aline Goudard (ép Esterini). Mes frère et soeurs, Emile, Aline, Denise, Fernande - Mariée en 1970 à l'église du Maarif, j'ai quitté Casa la m^ année, pour habiter Paris (où vivait mon mari, Marc Sotto) mutation du ministère éducation nationale sur Montpellier en 74 (université Paul Valéry) où j'ai rejoint ma famille.
En 72, naissance de ma 1ère fille Stéphanie (actuellement maman de 3 enfant) en 78 de Cécile (maman de noémie, 3 ans).
J'ai eu le plaisir de revoir sur photo l'école rue Fabre d'Eglantine (mes instit, Mme Silaire (ortho phonétique), Mme Tillet, Mlle Cutino..)
Je me souviens aussi très bien de Mme Gardey que maman (88 ans) connaît bien (son instit a été Mme Perbrune que j'ai failli avoir en CP, mais c'était sa dernière année d'instit lorsque j'y entrais..). je garde le contact avec Michèle Martin-Nogues, Marie- Céleste Correia-Barbet, Georgette Bovel-Ferrer... de la rue des Alpes (que j'aimerais revoir, même si elle a changé beaucoup..) je garde les souvenirs de Claudine, Jeannot René, Michel Campos, la famille Blesa, Casado, Méric, Amoros, les Guevarra, les Pedemonte, Jacqueline, Jean, Jacky.. les Serrano, émigrés en Californie. Nous sommes à la retraite depuis 2 ans.
Auriez vous des info. de Christiane Amoros (ép ?) que j'aimerais contacter. Je souhaiterais par ailleurs avoir des renseignements précis pour Nant (rencontre à la mi-mai prochaine).
Bon souvenir à tout ceux que je connais.

Solange Gras, née Paris

Ma Famille : je suis la sœur de Bernard Paris
Mon lien avec le M.A.S. :
Ma vie actuelle : Savez-vous si des personnes comptent se rendre à Casa ? J'aimerais me joindre à eux. Que le seigneur vous garde encore longtemps Padre on a besoin de vous

Jeannot Guerra, le goumier Marocain

Ma Famille :
Mon lien avec le M.A.S. : Juste un mot, pour rappeler au Padre le bon temps du MAARIF où il essayait de faire de nous de bons chrétiens, alors que nous pensions plus à aller faire des cabanes au champs de l' école et mettre des pièges pour attrapez des petits oiseaux, aller à l' Église pour mater les filles accompagnées de leurs mères ou leurs grand-mères. Et bien à mon avis, il a réussi, car quand je vois ce qui se passe ici et je vois le chemin parcouru par tous ces petits MAARIFIENS, partis pour la plupart avec une valise pas toujours en carton, et menaient une vie pleine et pour la majorité réussie, je me dis que quelque part le PERE ROBERT comme on disait la bas n'a pas mal réussi sa mission.
Ma vie actuelle :

Rose-Marie Guillano, née Ruiz

Ma Famille : Je suis mariée à Edouard Guillano qui vient de Casablanca, mais lui n'était pas du Maarif mais du quartier Mers Sultan
Mon lien avec le M.A.S. : Je suis restée à Casablanca de 5ans à 17 ans, j'habitais rue du Canigou au départ, puis rue du Bourbonnais - Je suis une amie d'enfance de Maïté Torres
Ma vie actuelle :

Edouard Guillano

Gilbert Heredia

Nom : Hérédia
Prénom : Gilbert Emanuel
Origine : Né à Aïn Seebaa, rue de la Source
Mes parents arrivent au Maarif en 1953, j'avais 3 ans au 11 rue du Pelvoux.
Ma famille : Marié à Nicole Fourton, née à Saïda (Algérie), 2 filles, l'aînée 33 ans, infirmière à Nanterre, mère un petit garçon de 20 mois, la cadette, 30 ans, Kinée à Diamant en Martinique.
Mon lien avec le MAS : - Cœur vaillant et en parallèle, enfant de chœur sous la coupe du grand Quintalet.
(Padré, je sais, tu penses à un certain jour! La remise du cordon. Quelle honte fut ce jour pour moi!!!)

  • Patro et Colos depuis mon tout jeune âge.
  • Membre des 12 gars, gonflés comme pas deux, créateurs du club des Copains un jour du mois de décembre 1961, dont le premier foyer se trouvait au dessus du bar du MAS, accessible par l'escalier en colimaçon vert. Ce n'est que plus tard, après la dernière séance du Familia "Les révolté du Bouty", que nous avion intégré les locaux sous le Familia.

Désigné Président par les autres et à ma connaissance, qu'on me reprenne si je me trompe, jusqu'au jour de mon départ pour Marseille le 2 septembre 1967.

  • Joueur de Basket au Mas dans les équipes minimes, cadets, juniors,
  • Précision pour Gusano : également membre de l'orchestre "Les charlots" avec Sauveur le chef au Soxo, Robert à la guitare,Corbett solo, Gilbert basse, Batterie Mario??, nous avions gagné le 1er festival d'orchestre du maroc à Kénitra, au répertoire 3 chansons -1ère "Si j'avais un marteau" chanté par Maïté Torres, 2ème ?, la 3ème chanté par toi, Gusano, "Toujours un coin qui...."

Ma vie actuelle : Identique à celle de mon épouse, "à la retraite", avec qui je fêterai nos 37 ans de mariage le 7 Août.
Un petit voyage de temps à autre. Enfin que du bon.
Mes activités : Matin : informatique, - après-midi : bricolage, - soirée : entraînement de basket (non, pas moi, mes équipes quoi que...), après le repas : fin des travaux du matin. Et quand il fait beau je trouve le temps pour faire de la moto.
Mes remarques : Depuis le 10 Juillet, où j'ai appris l'existence du site, tous les jours, Pierrot reçoit un mail de ma part. Au point que mon programme journalier en est bousculé.
Regarder les photos, mettre des noms sur les têtes qui n'en n'ont pas, envoyer mes photos ... et je n'ai pas fini de me surprendre ....

Guido Ingargiola, né en 1942, rue du Mont Ampignanie

Naissance :  né en 1942, rue du Mont Ampignanie

Ma Famille : J'ai 2 frères : Jean-Claude et Richard, ainsi que 2 sœurs : Monique et Marie-Louise
Mon lien avec le M.A.S. :
Ma vie actuelle : Je suis le seul de ma grande famille à être resté à Casa. J'ai toujours mon salon de coiffure, Place de Puy de Dôme et j'habite toujours le Maarif, rue Al Kassar (ex rue Wagram).

Hélène Ivars, neé Giammarinaro

Ma Famille : Je suis née rue du Mt Ampignani au Maarif le 22.07.1945 et j'ai grandi au Maarif jusqu'à mon départ pour la France en 1966. Mariée avec Jean-François
Mon lien avec le M.A.S. : j'ai grandi avec le patronage, la chorale, les copains, les sorties à l'oued Mellah avec le Padré, avec soeur Bernadette et les ados, c'était une époque merveilleuse.
Jean François et moi même avons fait partie des copains, nous étions toujours campés au coin du familia et Jean François avec le basket et moi avec les ados et soeur Bernadette , la chorale du padré. bref on y a bien trempé et c'était la super époque... d'ailleurs nous avons déjà participé à plusieurs réunions d'ados à Sète, il y a plus de 15 ans et 2 fois aux bories, c'est Trapani et Giangreco qui avaient organisé si mes souvenirs sont bons ...
Ma vie actuelle : retraitée, mamie de 4 adorables petites filles , mais aussi en vadrouille car je suis mon époux Jean François (je ne sais qui suit l'autre..)
Mes remarques : avec Jean François nous essayons de faire vivre notre antenne du MAS GRENOBLE et lorsque nous réunissons les anciens du Maarif et de Casa, nous revivons un peu la joie et le plaisir que nous avions dans notre jeunesse.

Jean-François Ivars

Ma Famille :je suis né aux Roches Noires le 22.04.1945 et suis arrivé au maarif en 1958, après le décès de Papa.
Mon lien avec le M.A.S. : j'ai été accueilli par le Padré, avec le patronage, le basket au MAS, la JOC et tous les copains du cercle des jeunes
Ma vie actuelle : retraité en vadrouille entre Grenoble (38) et la Lande les Maures (83)
Mes remarques : aujourd'hui, avec mon épouse Hélène, nous faisons partie de l'antenne du MAS GRENOBLE, en souvenir de notre belle jeunesse

Antonio Jiménez

Ma Famille :
Mon lien avec le M.A.S. : J'étais à la J.O.C à Casa avec ton frère Georges Lacroix
Ma vie actuelle :

Pierre Jaouen

Bonne Année 2011 à toutes et tous, très affectueusement...
Rubrique : Notre Vie / MAS :
Prénoms et Nom : Pierrot F. JAOUEN
Ma Famille : Mes parents Auguste F. JAOUEN et Maria-Dora AÏELLO, habitaient au N° 7 de la Place du Puy de Dôme, au milieu de la rue d'Auvergne (au 12), à mi-chemin de l'Eglise et du Petit Marché !
Mon lien avec le M.A.S. : Membre du Bureau d'Antenne de Toulouse, longtemps au Bureau National du MAS, ex-représentant du MAS auprès des Anciens des Ecoles et Paroisse (St Aubin) Salésiennes de Haute-Garonne, ex-créateur du Journal des Antennes (aujourd'hui disparu)...
Ma vie actuelle : Retraité d'Airbus Industrie, où j'ai travaillé 40 ans pour finir comme Responsable de Production au Département Simulation de Vol, je me partage entre Toulouse (Haute-Garonne) et Mèze (Hérault) -
J'ai deux garçons, Laurent & Olivier, nés en 1968 et 1971 à Toulouse, et un petit-fils, Antony, né également à Toulouse, âgé de 18 ans et se préparant à un métier dans l'astronautique (Inch'Allah !).
Mes remarques : Je suis si malheureux du départ de notre Padre, Lucien Aubert, que je ne sais plus comment lui communiquer, en dehors de mes prières intimes, tout ce que j'avais encore à lui dire. Si je n'y arrive vraiment pas, je le lui dirai de vive voix quand je le reverrai, "là-haut" !
Lors de nos Réunions de Partage, il me disait souvent que j'aurais pu être "Docteur de la Foi", tant je connaissais le dogme chrétien, la liturgie catholique et la Bible ! Je suis certain qu'il "en rajoutait un peu"...
Au Maarif, lorsque j'avais 11 ans environ, que je chantais à la Chorale et fréquentais le Patronage Dominique Savio, j'avais souvent évoqué avec Lucien le fait que j'avais envie de devenir prêtre. Avec lui comme soutien, j'aurais pu y arriver...
Hélas, en Juillet 1959, pour mes parents et mes trois soeurs, Madeleine (Mado), Hélène et Marie-Thérèse (Mitou), sonna l'heure de "rentrer" en France.
Quoique mon Papa n'a pas été "rapatrié", car il travaillait à la Manutention Marocaine, détaché par le Gouvernement Français pour gérer les Comptes de la France dans le système portuaire du Protectorat Marocain. Il avait "atterri" à Casa, car il avait été Sous-Marinier à bord du "Marsouin", sous-marin de vieille génération, qui avait eu une panne de 48 heures, en rade du Port de Casablanca ! Un peu plus, je n'étais pas là pour vous écrire tout cela... mais il s'en est sorti, et épousa Maman, Sicilienne de naissance, lui qui était un vrai Breton bretonnant !

Christiane Krumeich ( née Galiana) née à Casablanca Maroc en 1950

(née Galiana) née à Casablanca Maroc en 1950

Ma Famille : fille de Fiby et Louis du Maroc. Mes parents habitaient au Maarif, je crois rue des Pyrénées (le padré le sait mieux que moi).
Ma vie actuelle : Je vous annonce que ma fille Vanessa, vient d'avoir son 2eme fils Mathis, né le 10 09 2006, 3kl700 et 51 cm

Pierrot Lacroix

Né le 31 Décembre 1948, Rue de Camiran à Casablanca

Ma Famille : Papa Georges (1910-1976) qui était militaire, puis a travaillé à la Miroiterie MATRA, puis professeur à la R.A.M., Royal Air Maroc
Maman : Conan Liliane (1920 - 2013) puéricultrice au Derb Ghalleh, Grand-Mère de 33 petits-enfants et arrières petits-enfants
Frères : Jean-Claude (1939-1941), Michel (1940-1987), Jean (1942) à Paris, Georges (1943) à Rouen.
Mon lien avec le M.A.S. : École primaire Ernest Renan.
Nous habitions Rue Watteau, derrière le Derb Galleh.
Nous faisions partie de la Paroisse de Saint Antoine de Padoue, ainsi que plusieurs familles au quartier du Plateau les Combasson, Pacheu, Leroy, Noto, Roulet, Sicart, Namiech, etc…
La famille Combasson (Enfants : Marcel qui est décédé en 2008, Zazie, Clément) était juste à côté de notre villa, dans la villa " Verte " où la princesse Zazi, attendait son Prince charmant Raymond Gagnepain, qui est venu en Ami 6 de la France lointaine, pour la capturer.
Nous allions bien naturellement au MAARIF, où avec mes frères qui étaient à la J.O.C., nous avons fait les Colos à Immouzzer avec Le Père Louis Matorel , merveilleux bon vivant.
Je me souviens très bien de Soeur Françoise dont le coeur était aussi grand que le ciel et de Soeur Berdanette.
Enfant de cœur avec le Père Richer, (Souvenirs de ces messes où des milliers de personnes se bousculaient pour prier le Seigneur et Notre Dame de Trapani, où les garçons étaient séparés des filles par l'allée centrale, avec les messes de Pâques et de Noël grandioses), les Cœurs Vaillants avec le Padre (Bernard Paris, …) , le Patro à Dominique Savio avec le Père Aubert et la Père Dérouet (Augustin Comito, Canario de Armas, Bernard Paris, Nano Jean Piccione, Chicho Torres, etc…), le Père Renault avec ses kermesses, Propagandiste, les filles du Maarif (je me souviens de la chanson " biche oh ma biche "), Soeur Bernadette qui souriait tout le temps. Et ces les sorties à l'oued Mellah !!
Puis le Basket (non professionnel) au MAS (Maarif Association Sportive avec Gilbert Hérédia, Chicho Torres, Charly Olympe, Leonel Ventura et les autres …). Etudiant au collège Ibn Toumert (Petit Lycée) Rue d'Alger avec Georges Caparros, Michel Gardey, etc..
Ados, grâce au Père Lucien Aubert, notre formidable Padre, nous avons crées le club des " Copains d'Abord ".
N'oublie pas de Partager ta JOIE avec celle des AUTRES .
Nous étions dans le local en dessous du cinéma Le Familia.
Ce temps là, jusqu'en juillet 1965, date de mon départ vers la France, tout a été merveilleux : Avec le Padre, nous étions une équipe soudée, avec notre orchestre, nos sorties, nos boums (Guy Barbara, André Belviso, Eddy Albert Benazeraf, Guy Cantavenera, Christine Caparos, Jean-Louis Casano, Mario Casano, Augustin Comito, Canario Louis de Armas, Pierrette De Armas, Henri Fenech, Claude Frasca, Antoine Gimenez, Jeannot Guarino, Robert Guarino, Fredy Guerit, Jean-Pierre Guerit, Lydia Guerit, Gilbert Heredia, Antoine Hernandez, Jean-François Ivars, Antoine Jimenez, Jean-Pierre Losilla, Jeannine Martin, Monique Moissesson, Nicole Occhipinti-Torres, André Olmo, Bernard Paris, Nano Jean Piccione, Aziz Rafai, Farid Rafai, Michel Rubio, Georges Salas, Chicho Charly Torres, Maïté Torres notre chanteuse, Leonel Ventura et tous les autres …)
Merci Padre d'avoir permis ce rassemblement qui a duré plusieurs années. En peu de mots, c'est difficile de dire toute ma merveilleuse jeunesse.
Ma vie actuelle : J'ai trouvé ma Reine à Bordeaux, Martine Fourcade (1950).
Nous avons eu un garçon, Stéphane en 1974. Stéphane est architecte actuellement à Hong_Kong.
Pour ma part, ma branche est l'informatique depuis 1970 à Paris, Luxembourg, Bruxelles et enfin à Genève.
Mes remarques : Merci aux Salésiens du Maarif, de nous avoir donné une enfance de partage et de joie.

Marie-Thérèse Laurenson

née à Casablanca en 1948 et j'ai vécu rue d'Annam
Ma Famille :
Mon lien avec le M.A.S. : l'église St Antoine de Padoue
Ma vie actuelle : j'ai quitté le Maroc en 1961 et je suis actuellement à Clermont-Ferrand

Andrée Letanneur, née Lopez

Andrée Lopez
Je suis née le 14/10/1945 , j habitais rue de Foix à côté de l Église juste en face de la fleuriste Madame Goussard. (mes parents ont tenu la droguerie qu il y avait boulevard Jean Courtin à côté du fondouk et pas loin de Ray Sport)
(Danièle Bolgile vivait en haut de chez moi.)
Je suis allée à l école de la Présentation de 1951 jusqu à 1958, Après Lycée de Jeunes filles , l Institution Maintenon, et ensuite j ai appris la sténodactylographie chez Madame Collet près de la rue de l Aviation Française, j ai travaillé à la banque Commerciale du Maroc.
Nous allions danser à LAS VEGAS, LA GAMBILLE, LE COQ HARDI, LA ROSE DES VENTS, l ABP (provinces de France)
Mon mari Noël LETANNEUR né le 24/12/1942 habitait rue du Mont Dore juste à côté de chez Mme Bianca qui faisait pension de famille.- (près de la place où se trouvait le photographe BLAS) et fréquentait Albert Martinez, Jean Claude Mugnesi, Gilbert Galvez, Michel Lucido, Antoine Campoy et encore pas mal d autres du même coin)
Il a eu comme professeur Denis Vançon à l école professionnelle du Maarif.
Voilà de tout un peu.....
Juan Duarte-Martinez
Nous envo

Noël Letanneur

Voir le texte dans le paragraphe d'Andrée Lopez, sa femme

Annie Lopez; née Tamborero et Lucien

Ma Famille : Lucien est né au Maarif en 1941 il habitait 100 Rue de l'Esterel
Mon lien avec le M.A.S. : il jouait au basket au MAS. Moi je suis une pièce rapportée espagnole.
Ma vie actuelle :

Autre mail du 9/4/09 d'Annie, épouse de Lucien :
Encore moi, et tu voudras bien m'excuser, tu sais que je suis une pièce rapportée du "Maarif"
Lucien (le mari d'Annie), lui est né au Maarif (1941) et a habité rue de l'Esterel jusqu'en 1959.
Pour moi toutes ces rencontres du MAS, me font remonter très loin dans ma mémoire quand nous retrouvions à la frontière nos familles : mes parents sont des réfugiés politiques espagnols, et au cas, où il y aurait parmi ces nouveaux maarifiens que nous formons maintenant, des catalans, je t'envoie ce joli diaporama que très certainement beaucoup d'entre vous connaissent.
Bisous je voulais le faire, mais aujourd'hui j'ai osé
PL : Bravo, Annie
Voir le pps de MontSerra
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Antoine Lopez

Je m'appelle Antoine Lopez, je suis au maarif en 1947, rue de Ronceveau.
Notre famille est ancienne a Casa, mon père y était né en 1914 ! et avait 7 frères. (il travaillait au TAC, transport bus, place de France)
J'allais à l'Eglise du Maaarif et au patronage Don Bosco!
J'y ai, comme vous, laissé toute mon enfance. (irremplaçable et tellement forte 50 ans après)
Je vous remercie pour votre initiative.

Michel et Roberte Lopez

Bonjour, j'ai eu votre adresse mail sur " le lien " vers qui j'ai été dirigé par un cousin habitant en Suisse et originaire de Casablanca.
Je suis effectivement naît au Maarif, rue du Mont Blanc.
Mais voilà, mon père également naît à Casa à été muté en 1957 pour Marseille;
J'avais dix ans; Je n'est donc que de très rares souvenirs de ma jeunesse au Maroc.
Je suis donc très content d'avoir découvert votre site "le lien" et de lire les différents messages qui y sont portés.
Voilà quelques renseignements me concernant ainsi que les membres de ma famille; peut être que plusieurs de vos adhérents pourront me contacter si des souvenirs leurs reviennent.
Michel LOPEZ né le 21/07/1947 de René LOPEZ dit Diégo ou Narcisse né le 17/05/19 et décédé le 08/2004 et de Lucile LE GUILLOU née le 03/02/23 et décédée le 07/1988.
Un frère Jacques né le 11/05/1950.
J'ai été baptisé à l'église du Maarif.
Après 2 ans à Marseille mon père a été de nouveau muté à Nice
Cette fois où je me suis marié le 13/03/1971; J'ai eu 2 enfants ( Michel et Emmanuel ) et suis maintenant à Juan les Pins avec mon épouse.
Scolarisé à l'école de GABRIEL ROCHE (prononcé de mémoire ROCK) du CP au CM2 (1956/57)ou ma mère était institutrice de CE1 ou 2 avec M. LASCOMBE, autre instituteur.
Mon père a travaillé au "Petit Marocain" pendant sa période à l'opéra de Casablanca où il chanté dans les cœurs ou dans des pièces d'opéra comique sous le nom de René MARVAL; C'est là qu'il a rencontré ma mère qui, soprano, chantée dans différents opéras (Mireille, Lacmé, etc..) sous le nom de LUCILE NANCEY et sous la direction de M. BORDON.
Ayant mis fin à leur carrière, mon père est entré à la Cie Générale TRANSATLANTIQUE, et ma mère comme institutrice à Gabriel Roche.
Je crois qu'elle est allée au Lycée Lyautey.
Mes souvenirs lointains : Nos voisins au Maarif : M et Mme ORTOLA Lucien et leurs 2 garçons: Lucien et Henri
Ma maitresse préférée au CP : Mme FABIN et son mari et ses 2 garçons et sa fille qui nous ont accueillis, mon frère et moi, lorsque ma mère est tombé gravement malade;
Le docteur qui l'a sauvé : Dr PIERSON
Un copain de classe: Le nom seulement reste gravé dans ma mémoire : GLAYE( j'espère que c'est le bon orthographe. ) Voilà, peut être que j'aurai de vos nouvelles; Merci de me donner par messagerie les modalités pour rejoindre votre association et adhérer au lien;
Michel et Roberte LOPEZ

Michèle Lorente

Bonjour Pierrot,
Je suis née au Maarif où j'y ai vécu jusqu'en 1976;
Ma mère est Odette Lorente née Santander de la rue du Forez (où je suis née), elle habite Béziers
Elle a participé à la dernière rencontre de Rosas avec Germaine en 2015.
Mon père était bien Albert Lorente, de Béziers, malheureusement décédé il y a 3 ans.
J'ai envoyé jeudi le chèque pour le financement du site.
Je te remercie pour tout ce que tu fais.
Cordialement
Michèle Lorente

Alain Macia

Bonjour à tous,
Merci de parler de mon quartier La Foncière , j 'ai vécu de 1943 à 1968 et non seulementil y avait l'église St Francois d'Assise où les messes étaient dites par les abbés De Lattre,Van bard et d'autres encore mais il y avait aussi un bon club de Basket L'A S L F ou de bons joueurs sont sortis du lot tels que Bochard, Vilela, Laville qui ont ensuite joués au grand club de L' U S M, Germaine Bernabeu connaît tout ce petit monde et peut témoigner de ce quartier très sportif ( pensée pour Mr Bernabeu grand arbitre national de Basket )
Le cinéma des pères était aussi un lieu de rencontre de cette jeunesse avide de western, de cape et d'épée
Et puis beaucoup de filles Maarifiennes ont succombées aux garçons de La Foncière exemple, Rose c'est normal nous étions si beaux !!!!!!!! mais je ne regrette pas d'avoir connu cette petite et belle Marifienne
Maintenant je comprends pourquoi Pierre a énormément de qualité :c'est parce qu'au départ, il a fréquenté La Foncière !!!!! sans rire Pierre je ne te connaissais pas mais grâce à Rose j'ai fais ta connaissance et je ne le regrette pas, j'apprécie en toi ta générosité, ton dévouement et ton Humour, tu as mon amitié et continue à nous faire rêver
Moi j'habitais rue Dupleix, coté S M D ou R A D , et j' ai fréquenté l' école Layris Vergez puis le collège technique
Il a raison le José je pourrai écrire un roman sur mon quartier tant ma jeunesse a été heureuse comme tout les jeunes j' ai joué à Ticha, aux noyaux, aux pierres, au foot avec Jacques Salerno, Carrasco Antoine,Ceraulo Antoine, les frères Quilichini,Blayat Serge, AlainVeluz Jb Le Calvez et mon ami des roches noires Georges Saramago collègue de classe au collège
La Foncière je l' ai revu en 2011 rien n'a changé sauf que les immeubles sont devenus gris
Les amis de La Foncière ne sont jamais bien loin et nous nous voyons de temps en temps.
Chaque fois c'est la même rigolade, la même émotion et nous nous promettons toujours de nous revoir afin de ne jamais oublier que nous venons de notre cher Maroc, de notre chère ville de Casa, et de notre cher quartier inoubliable
Un salut a vous Marifiens et bises à vous Marifiennes
Alain Macia
PL : Merci Alain
Rose a de la chance de t'avoir : tu es super !
Bonne semaine

Vincente Mancuso, ép Gil

Bonjour à tous les anciens du Maârif . Je m'appelle Vincente Mancuso. Je suis l'une des cousines de Sauveur. Enfant, j'habitais au 56, rue des Faucilles puis rue des Pyrénées.
Comme de nombreux maârifiens, j'ai fréquenté le groupe scolaire du quartier, puis le lycée de jeunes filles Chawqui, jusqu'en 1966.
J'ai une soeur Sylviane.
Mon mari, Daniel GIL, est né aux Roches Noires et est devenu maârifien d'adoption. Il a fréquenté l'école des Roches, puis Jean Jaurès et a fait un passage par Ibn Tofail.
Il a travaillé à Maroc-Aviation et dans la confection, à la CIB. La crise du textile étant passée par là, il nous a fallu rentrer en France en Octobre 2006.
Nous nous sommes installés à Limoges, près de l'un de nos fils; c'est une petite ville que nous apprécions.
Nous avons 2 fils, 2 petits-fils et une petite-fille. Bien sûr, si nous sommes heureux de nous être rapprochés de nos enfants, nous ne pouvons oublier tout ce qui a fait notre vie, à Casa, et encore moins notre enfance et notre jeunesse : en particulier les après-midis patronage, avec une formidable prise en charge de la part des religieuses, je pense à Soeur Noëlle et à Soeur Bernadette, pour ne citer qu'elles. Les kermesses et les sorties étaient de formidables rassemblements, toujours gais et fraternels.
Que de souvenirs dans chaque chaque rue du quartier!
Mes parents, irréductibles maârifiens, sont toujours résidents. J'espère, par ce petit mot, reprendre contact avec d'anciennes connaissances. Amicales salutations à tous.

Robert Mampel-Campos

Bonjour Mr Pierrot Lacroix,
Un ami qui jadis était mon voisin de la Rue d´Annam, 14 du Maarif, et que j´ai par tout hasard re-contacté après une trentaine d´années ou plus, m´a passé les coordonnées du Lien du Père Lucien Aubert (que je connais bien du MAS).
J´ai fait un petit tour dans le site et je me suis entretenu et vous pourrez observer l´heure à laquelle je suis en train d´écrire ..., mais je me suis rappelé qu´il m´avait conseillé de me présenter à vous, je n´avais pas bien compris le pourquoi, mais j´ai l´impression que le but est celui de mon inscription dans le Lien et à partir de là pouvoir y accéder normalement, étant donné que je n´ai pas pu trouvé comment pouvoir y placer un message de présentation...
Ainsi donc veuillez prendre ci-dessous toutes mes coordonnées:
Robert Mampel
(surnommé Rocky par les copains de la bande St Germain de laquelle j´étais le plus jeune)
Barcelona
né le 29-11-45 à Barcelone et exporté au Maroc à l´âge de 22 MOIS dans les bras de ma mère, pour nous retrouver avec mon père à Larache etc...
Au Maarif j´ai atterri à l´âge de 10 ans et demi et je suis rentré en Espagne en 69 à l´âge de 24 ans.
Pardonnez-moi si je vous ai donné tant de détails sur ma personne, mais je me suis demandé si cela pourrait servir pour récupérer le temps perdu et avoir l´énorme plaisir de pouvoir être contacté par quelqu´un d´entre tant de copains ou copines que j´avais....
En effet en rentrant en Espagne, j´ai eu à travailler dur pour refaire me vie et à cet âge là on n´a pas la conscience du mur qu´on laisse derrière nous, vis à vis des amitiés etc
On croît qu´en ayant les principales trois ou quatre adresses importantes, c´est suffisant et après le temps passe et on a laissé échapper le câble qui retient notre passé.
Dans le fond je ne me sens pas tellement coupable, parce qu´à l´époque je suis retourné de mon service militaire à Sidi Ifni (Espagne) et voilà qu´au retour mes parents rentrent en Espagne et je reste seul, malgré leur insistance de les suivre et je déménage au Mers Sultan...
Entre temps je perds un peu la piste de tous les copains du Maarif et autres, car eux aussi avaient déjà commencé à rentrer en France ou ailleurs (c´était l´année féroce pour ceux qui restaient et n´avaient pas de renouvellement du contrat de travail, etc.).
Je vous remercie à l´avance pour la réception que je suis sûr vous porterez à ma présentation et je vous prie de recevoir ma plus sincère et cordiale salutation.
Robert
NOTA: Je m'excuse pour les possibles fautes d´orthographe; mais sachez que je ne pratique pas le Français depuis plus de trente ans.

Marie-France Mareschi

Je résidais au Maarif au 15 bd DANTON ( car mon père tenait le BAR DANTON) près du cercle Italien.
Je suis née le 23/03/1952 à Casablanca - le nom de mon époux est MASIA BERNARD
Et notre adresse : - 13700 MARIGNANE.
Je transmets votre bonjour à JF.
Encore merci pour tout
cordialement
Marie-France

Hélène Martinez- ép Braun

Bonjour Pierre
Je suis née au Maarif le 17 mars 1948, je crois me souvenir "rue de Bourgogne" maman n'étant plus de ce monde je ne suis pas sûre de ça... Je m'appelle Hélène Braun née Martinez, j'habitais à la Cité des Arènes et ai quitté Casa en fin 1957.
Je vis en expatriation à Singapour depuis 4 ans, je suis mon mari qui travaille pour une entreprise française, je ne vis plus en France depuis une vingtaine d'années, mon mari étant toujours affecté à l'étranger, tout d'abord en Suisse, puis nous avons vécu 4 ans en Australie, 4 ans en Malaisie et Singapour, 4 ans et demi à Dubai et à nouveau nous sommes depuis 4 ans à Singapour.
Nous avons un pied à terre en France près d'Aix en Provence où je me rends tous les étés pour profiter de ma famille. En conséquence je ne vous donne pas mon adresse en France n'y étant pas souvent et je ne pense pas que vous enverriez votre journal par la poste à Singapour.
Je n'ai pas de photo de moi ici correspondant aux années 65 tel que demandé dans le document joint mais je vous en envoie une de la semaine dernière..
Encore un grand bravo pour votre site et bonne continuation à toute l'équipe !

Vincent Martini

J'habite Montpellier
Nom et prénom : MARTINI Vincent (Bd Raphaël)
Mon épouse : CAETANO Marie-Christine (Rue de l'Atlas)
Mes quartiers : PALMIER (Domicile, Ecole, Derb Ghalef/Plateau) et MAARIF (Eglise, Cinémas, Emploi, Commerces, Epouse, etc…)
Mon lien avec le M.A.S. :
Dans les années 1946/50. La kermesse sur la place de l'Eglise avec son mat de cocagne, ses stands.
Mon grand-père, ancien forain, apportait sa roue en bois, ce n'était pas celle de la fortune, mais à chaque lancement il y avait un gagnant.
Les sorties, à Sidi Abderhamane, à la piscine du camp militaire d'El Hank. Bien entendu à pied.
Pour Sidi Abderhamane, le rassemblement et la mise en rang, avaient lieu le matin dans la petite cour, côté rue des Alpes. On descendait deux ou trois marches pour arriver rue du Jura en chantant ‘'On descend de la montagne….''. En fin de journée un camion venait nous récupérer.
A chaque retour de sortie, on allait à la sacristie pour prier et remercier Dieu.
Ma vie actuelle : Retraité.

Amina Marouach-Deneufbourg

Ma Famille : j'ai habité la place du Nid d'Iris et ensuite la rue du Ballon d'Alsace en face du club bouliste (Actuellement, c'est une mosquée).
Mon lien avec le M.A.S. : l'École de la Présentation avec Soeur Bernadette que j'ai eue la chance de connaître. Sur les photos, j'ai reconnu aussi Pierrette De Armas et Aïcha Zakani (fille du boulanger). Nous avions comme maîtresses Mme Guigui et Mme Corbieres
Ma vie actuelle :
Remarques : Si quelqu'un se souvient de moi, cela me ferait plaisir de prendre contact.

Hélène Montes née Polizzi

Je suis allée à l'école de la Présentation puis l'école du Maarif.
Je suis née Le 06 janvier 1950, j'habité au maarif extention, mais j'étais souvent au maarif, rue de l'Esterel, puis rue Des Fauçilles chez mes grand-parents maternels,
Ma grand-mère tenait un petit magasin de couture, rue Des Faucilles "Noël couture",

Jean-Pierre Moreno

Bonjour tout le monde.
Aujourd´hui para hasard, en naviguant sur le Web j´ai découvert le site www.le-lien-Maarif.com
J´ai déjà passé plus de cinq heures á le visité et j´en suis ravi.
Mais commençons par le début, selon la maquette proposé :
· Nom et Prénom, année de naissance : Moreno Jean Pierre, 1948, le 21 Novembre, bientôt 63 et très bien conservé, modestie á part.
· Mon quartier le Maarif : 65 rue des Pyrénées et plus tard juste en face, au 41 place du Cantal, au 2º étage, au dessus du docteur Gougeons.
· Ma Famille je vous la présente :

  • Mon père, Florestan, né á Don Benito, Estrémadure, en 1918, réfugié politique, arrivé premièrement á Oran sur le Stanbrook depuis Alicante, le camp de travail á Colon bêchard, la libération et destination final Casablanca, comme beaucoup d´espagnoles républicains. Coiffeur de profession, décédé.
  • Ma mère, Mercedes, né á Larache, décédée á Toulouse, femme au foyer comme on dit, n´est ce pas.
  • Mon frère, Florestan ou Florent comme notre père, maarifien, né en 1951, habite actuellement Bédarieux dans l´Hérault.
  • Ma sœurette, Marie Jeanne, né en 1958, maarifienne, puis toulousaine et maintenant mexicaine, toujours espagnole je veux dire, mais habitant la ville de Mexico, tout comme moi d´ailleurs.
  • Mes voisins et amis? Là, comme dirait Manu Muñoz, il faudrait réveiller mes neurones bien endormies depuis plus de 43 ans….. Quelques bons amies comme Manu Gamez, Tito (Robert) Condé, Mario Casano. Cela fait si longtemps que je n´ai pas eu de contact que cela oublie.
  • Je vis au Mexique et je suis marié avec ma chère Kena, voilà maintenant 36 ans. Nous avons fait deux enfants, Igor qui habite Wilmslow prés de Manchester en Angleterre, 36 ans et Pavel 35 qui habite Hamilton en Virginie, non loin de Washington DC. J`adjoint une photo assez récente de notre famille américaine, Pavel et mon petit fils Mat en bras, le père Noël avec Natalie, Igor et Kena.

· Mon lien avec le MAS : en réalité aucun.
· Mes études, mon travail á Casablanca : La maternelle et la primaire á l´école du Maarif, après cela le collège technique au coin du boulevard de la Résistance et la rue Barathon, puis le déménagement au Lycée Technique, rue de l´Alma au Bourgogne, dans les anciennes casernes converties en Lycée, plusieurs d´entre vous se souviendront, n´est ce pas?
Ne croyez pas que j´ai une excellente mémoire pour le nom des rues, simplement je recours au vieux plan de Casa que j´ai trouvé sur le site.
Je finis le lycée en Juin 68 avec un bac technique en électronique et en Août de la même année, je commençais mes études d´ingénieur mécanicien á Moscou. 6 ans après je retournais á Paris pour un cours séjour dans une entreprise soviétique á Longjumeau et puis le Mexique. Je dois dire que ma femme est mexicaine et je l'ai connue à Moscou.
· Ma vie actuelle : Je suis á la retraite après avoir travaillé plus de 30 ans pour une compagnie américaine au Mexique, acquise par le groupe français, Faurecia. Je vis á Mexico avec ma femme, je me maintient en excellente santé, je fais beaucoup de jogging et d´autres exercices, j´aime lire beaucoup, peut être qu´un de ces jours j´écrirai un livre, je surf le web tout les jours, le temps ne me manque pas en général, j´aime aussi beaucoup aller au cinoche, faire la cuisine et bien manger, je recommande beaucoup á tous les maarifiens et pieds noirs en général le site de cuisine de christophe.certain@cuisine-pied-noir.com.
· Mes remarques: Le site me parait excellent et il me va falloir le visiter au détail, surtout les photos d´école.
Tous mes remerciements á la personne (s) qui a eu l´idée et a su la concréter, c´est un travail magnifique et nous tous nous nous réjouissons de rappeler de si beaux souvenirs.
Félicitations !!!!!!!!!!!
· Une remarque additionnelle : visitez le site de Casablanca Passion, http://www.anciensdecasablanca.com/, fait tout exprès pour nous les Casablancais.
Finalement j´ai une faveur a vous demander : les e-adresses de Mario Casano que j`ai trouvé dans la rubrique « notre vie » et qui habitait au 26 rue du Ballon d' Alsace, face au clos de boule, et de Nany Tore qui habitait aussi dans la Cour Casano.
Bien que loin j´aimerai beaucoup les contacter ou qu´ils me contactent, je ne sais encore comment fonctionne le site, pour avoir de leurs nouvelles et voir si avec leur aide, pouvoir contacter d´autres amis.
Merci de nouveau pour ce régal.
PL : Bienvenu dans notre site :
Je vous transmets par mails les adresses que vous demandez.
Bonne retraite !!!
A la prochaine
Je vous joins l'adresse de notre Présidente du M.A.S. où il faudra lui écrire, afin de recevoir par courrier le journal "Papier" du Lien - MAS :
Germaine Bernabeu,
21, allée Ste Beuve -
Le Baudelaire
F-26000 VALENCE
Tél 06 87 24 75 81

Michel Moreno et Conception Fuentes ép Moreno

Nous habitions au Maarif rue Guebwiller. Mes enfants son nés dans cet maison .
Moi FUENTES Conception je suis née le 14 08 1952, au Bourgogne je suis venue au Maarif a l'âge de 3 ans. J'ai habité rue du Mont Blanc, rue du Poitou et rue des Gobelins. J'allais a l'école du Maarif comme Aline Goudard. Nous avions les mêmes professeurs. J'ai fait le catéchisme avec Soeur Bernadette et nous allions au patronage avec ma soeur Marie Carmen et ma cousine Marie José.
Mon mari Michel est venu au Maarif a l'âge de 12 ans il habitait rue du perche il est né le 24 06 1952. Nous nous sommes mariés le 18 08 1973. Nous avons eux deux beaux enfants Philippe né le 12 06 1974 et Stéphanie le 30 04 1980. Ils nous ont donné de beau petits enfants ( 3 pour mon fils et 2 pour ma fille) : Nous sommes très comblés.
J'espère avoir des nouvelles de personnes qui nous reconnaîtrons. Nous contacter à notre mail (Voir le fichier )
Je vous dit a bientôt et merci pour le Padre le Lien et le M.A.S.
2ème mail de Michel Moreno
Ma Famille : Je suis né le 24 06 52 et mon épouse le 14 08 52 . Je suis venu au Maarif à 12 ans j'habitais rue du Perche. Mon épouse est venue au Maarif à 3 ans. Elle habitait rue du Mont Blanc, rue du Poitou et rue des Gobelins. Nous nous sommes mariés le 18 08 73 et habitions rue Guebwiller face au terrain de boule CDI. Nous avons eu 2 beaus enfants Philippe né le 12 06 74 et Stéphanie née le 30 04 80. Nous sommes rentrés en France le 19 10 81 à Toulouse et avons déménager à ST MATHIEU DE TREVIERS (Montpellier) Nos enfants nous ont fait de beau petits enfants ( 5 ) Nous sommes très comblés. On aimerait bien retrouver des anciens copains du Maarif. J'ai vu mon copain Jean-François Di Blasi, j'aimerais rentrer en contact avec lui. Je pense descendre dans le coin bientôt Mon épouse' Conchita a fréquenté l'école du Maarif de 1956 à 1963 elle était au catéchisme avec soeur Bernadette de 1959 à 1964.
Je vous dit a bientôt et merci pour le Padre le Lien et le M.A.S.

Jose Morido

Ma Famille :
Mon lien avec le M.A.S. :
Ma vie actuelle : Le Livre d'Or de José : http://livredor.quick-web.com/?id=morido2
Mes remarques : Je constate qu'après cinquante ans, l'histoire du protectorat au Maroc réveille encore des passions nostalgiques, entre nous, les rencontres en sont la meilleure preuve, mais qu'en est-il de nos enfants et petits enfants?Ce laps de temps, qui représente deux générations, est suffisant pour que nos descendants, malgré nous avoir entendus toute leur vie parler du Maroc de notre enfance, ne nous comprennent pas. Je dirais même, que pour eux, cette nostalgie est considérée pernicieuse, ils nous disent que nous nous sommes enfermés dans une histoire révolue qui ne les concerne pas. Certains ont une sorte de nihilisme caractérisé par un rejet des valeurs de notre génération et le démonisme qu'ils attribuent au colonialisme d'antan, l'accusant de tous nos maux, jusque nous rendre responsables de ce boomerang que représente, d'après eux, l'émigration incontournable d'aujourd'hui,vers les anciennes métropoles. De plus, dans nos fameuses rencontres plus aucun d'entre nous n'est accompagné par nos enfants depuis bien longtemps, nous sommes dans un cul-de-sac? l'Hidalgo du Maarif

Angèle Munoz épouse Bravo

Ma Famille : soeur de Manu (antenne de Malaga)
Mon lien avec le M.A.S. : j'habitais 39, rue du Marché - Maarif, faisant partie des ados (Nicole, Chicho, Pierrette, Bernard etc.). Mon mari habitait Rond-point Shell-Bd Mohammed V
Ma vie actuelle :
Mes remarques :

Manu Muñoz

Histoire de Manu Muñoz - Noël 1966 envoyée le 4 décembre 2008 au site du Lien.

Cette histoire commença le 25 décembre 1966 à l'occasion du réveillon de Noël, cela se passait à la salle du MAS au Maarif. On nous avait prêté la salle pour cette soirée, et ce soir nous devions être plus de 200.
L ambiance était bonne et surtout très saine, tout le monde dansait au rythme du jerk, danse à la mode à cette époque.
J'étais attablé avec 2 copains, Jean et François, nous étions venus seuls de manière à être libre, ce qui nous permettrait d'être aux aguets en cas de présence de nouvelles filles amenées par les copains.
Comme j'ai dis auparavant, l'ambiance était très bonne, nous dansâmes assez,mais personne ne nous intéressait, la plupart des filles étaient accompagnées,mais il fallait bien faire quelque chose , c était Noël.
Il était 5 h du matin et il faisait chaud surtout après avoir les danses.
J'invitais Jean et François à sortir prendre un peu d air frais.
Cela faisait un moment que nous étions devant la porte d entrée, quand arriva une voiture, c'était une VAUXALL station wagon qui se gara près de nous.
De cette voiture, sortis deux couples, un c'était Leonel et Marie-Claude, deux amis de notre bande, aujourd'hui mari et femme, l autre couple était pour nous des inconnus, jamais vu, lui un garçon grand, mince et élégant, elle également grande de taille, mince au visage bien maquillée, on aurait dit une poupée.
Elle portait un ensemble en vinyle couleur argent, chaussures et sac de la même couleur, sa mini jupe montrait qu'elle avait des jambes superbes, et sous son blouson, un chemisier noir, à part de poupée, on aurait dit un mannequin.
C'était quelque chose hors du courant, de spectaculaire et avec beaucoup d avance dans ce temps là. Ils passèrent devant nous, Leonel et Marie-Claude nous saluèrent et entrèrent dans la salle. Là je profitais pour la "dévisager de dos", je baissai rapidement et discrètement la vue et effectivement, je pu constater qu'elle avait un corps de cinéma.
Ce que je venais de voir était si beau que j'aurai pu aller me coucher satisfait, d'avoir vu quelque chose de merveilleux. Je regardais Jean et François et comme moi, ils étaient figés sur cette fille.
Je leur dis " vous avez vu cet engin, venez, entrons de nouveau cela vaut la peine au moins pour la vue ".
Nous reprîmes notre table qui n'était pas loin du bar et nous terminâmes notre whisky coca, car il fallait bien avaler quelque chose, autre que la salive après avoir vu cette poupée.
Leonel, Marie-Claude et le jeune étaient au bar, elle n'était pas avec eux : j'essayais de voir où elle était, finalement je l'aperçu sur la piste et malgré tous les jeunes qui dansaient, elle le faisait toute seule, car aucun garçon n osait s'approcher d elle tellement elle était magnifique.
Mon sang commençait à se glacer : je fis part aux copains l'envie que j'avais d'aller danser près d elle : ils me découragèrent "mais tu déconnes, tu n as pas vu quelle est avec un mec, tu risques de te faire jeter.
Effectivement ils avaient raison, car un jeune l'accompagnait. Qui était-il ? Un simple copain, son fiancé, je n en savais rien. Ce que je craignais le plus, c'est qu il y ait un jeune assez courageux ou assez saoul pour oser s'approcher d'elle et de perdre cette opportunité de danser avec elle et peut être même de faire sa connaissance.
Heureusement la série de Jerk termina et commença une série de slows.
Elle quitta la piste et rejoignit son groupe qui était encore au bar, c'est à dire à 5 mètres de notre table.
Je ne faisais que la regarder et je la trouvais encore plus parfaite que lorsque je la vis à l'entrée, elle me plaisait de plus en plus.
Mais qui était ce jeune qui était avec elle ?
Une chose qui m encourageait , c'est que je n'avais vu à aucun moment, un moindre geste tendre entre eux, peut-être était-il timide, je n en savais rien.
Ils avaient une conversation assez animée. Car ils ne faisaient que rire et dans un de ces éclats de rire, elle se retourna, car je l'avais de dos et balaya une partie de la salle de son beau regard.

J'eus la chance que notre table faisait partie de son champ de vision, son regard passa par nous et choqua contre le mien, elle resta figée, fixée, assez surprise, son rire disparu peu à peu et pris un air sérieux, mais agréable malgré tout.
Nos regards se soudèrent pendant une dizaine de secondes environ, je me sentais tout drôle, je devais prendre de l'altitude, car je n'entendais plus rien, plus de musique, pas même les copains assis près de moi, je ne voyais personne d'autre que cette merveilleuse fille qui me regardait, puis elle détourna son regard et entra de nouveau dans la discussion avec son groupe.
Cela ne l'empêcha pas de se retourner plusieurs fois et de me regarder, mais plus légèrement ces fois-ci.
Je fis part aux copains ce qui m'arrivait. Ils ne le croyaient pas et me disaient que je me faisais du cinéma, mais je m'en foutais de leur raisonnement, moi j'étais le seul a savoir ce qu il se passait.
Je commençais à avoir les mains moites et une pression nerveuse au creux de l'estomac, car je continuais a avoir deux craintes, la première qui était le jeune qui l'accompagnait et la deuxième que quelqu'un me passe devant et que je reste avec l'eau a la bouche, malgré que celle-ci était peu probable car si personne s'était approché d'elle.
Lorsqu'elle dansait, ce n'est pas maintenant qu'ils allaient le faire alors qu'elle était avec son groupe.
Une série de slows se mit en marche et je me dis c'est le moment ou jamais, si je laissais passer cette opportuniste, je m'en voudrais c est sûr.
Je fis part à Jean et François que ça y est, j'étais décidé d'aller vers elle, et de nouveau, ils essayèrent de m'en dissuader, toute juste s'ils ne m'engeulaient pas, tu t imagines le " jaleo " que tu vas monter si le gars se met en travers de toi.
Je m'en foutais : ce regard qui avait percé le mien, m'avait marqué, et puis j'étais assez grand pour m'en sortir.
Tout d un coup, je me trouvais debout marchant vers elle, sous le regard des copains, je ne sais pas s ils n'arrivèrent pas a se cacher sous la table en prévoyant ce qui pouvait arriver, et de nouveau je devais planer car je n'entendais plus rien, je n'étais pas sûr que mes jambes flageolantes, allaient tenir le coup jusqu'à elle.
Je ne mis jamais autant de temps pour parcourir 5 mètres, la distance qui séparait notre table du bar, c est sûr, je devais zigzaguer, je pensais même faire demi-tour ou passer à côté, mais non j'eus la chance d'arriver jusqu'a elle et essaya de sortir mon meilleur ton de voix pour lui demander de danser avec moi.
Elle me regarda, souria et accepta.
Du coup je perdis même ma galanterie, car j'aurais dû la laisser passer devant moi et la suivre, mais non je passai le premier en essayant de pas emporter avec moi chaises et tables, heureusement j arrivais sain et sauf sur la piste : je me retournais : elle était là.
Je la pris par la taille et nous commençâmes à danser.
Elle tremblait, elle disait qu'elle avait froid, cela me paraissait bizarre, car malgré que nous étions en décembre, il faisait très bon.
Moi, je me serenais comme je pus et essayais de mettre en marche mon baratin qui d'après les copines était sympa.
Elle commença à sourire, puis à rire, elle était plus décontractée.
Je lui demandais son nom, elle s'appelait Sylviane. Je lui dis, c'est au cas où ce soir je rêve d'elle, que je sache au moins comment l'appeler, cela la fit beaucoup rire. Tout allait très bien, elle me dit que cela faisait peu de temps qu'elle habitait le Maarif, car elle venait de Dar Bouzza où ses parents avaient un bar.
Moi, je parlais un peu de tout, mais sans approfondir, car malgré que je l avais dans mes bras, je n y croyais pas trop, pour moi c'était peu être un hasard qu'elle danse avec moi, car j'avais été le seul courageux à m'approcher d elle, et aussi le plus culotté, vu qu'elle était accompagnée.
Pour essayer de meubler un peu notre conversation, je lui lançai comme ça que le lendemain, j'irais avec les copains danser sur la côte, au " RORA ", et je le fis sans aucun stratège, car pour moi c'était la première fois que je la voyais et peut être, la dernière.
La série de slows termina, je me séparais d elle sans même essayer de lui demander si l'on pouvait se revoir, cela ne passa à aucun moment dans mon esprit, malgré ce regard que peut-être je m'étais imaginé.
J avais obtenu ce que je voulais et qui était de danser avec cette beauté.

Il se faisait tard, nous décidâmes de rentrer chez nous.
Ce soir là, je dormis normalement, comme d habitude, car pour moi j'avais vu une étoile filante, d'ailleurs, je lui demandai son nom pour rien car je ne rêvai même pas d elle.
Le lendemain comme prévu, nous nous rendîmes à la discothèque avec trois copines, nous partîmes en BUS c'était plus pratique, car on roulait encore en SOLEX et MOBILETTE.
Une fois à l'intérieur, nous choisîmes une table vers le fond, non loin des escaliers qui menaient à la piste. Les filles qui étaient avec nous Isabel, Monique et Pili, étaient de belles filles, mais sans plus : nous étions venus danser, mais bien sûr, si quelque chose se pressentait, on aurait foncé.
Et heureusement que nous n'étions pas encore décidé à nous partager le gâteau au cas où, on aurait eu à le faire, car Jean me tapa sur l'épaule et me dit "Manu, regarde qui descend, je me retournais car j'étais de dos aux escaliers.
Ce n'était pas possible, c'était la fille d hier soir, elle se mit au bord de la piste et semblait chercher quelqu'un, d'un coup, je me rappelai qu'hier soir, je lui avais lancé comme ça, que je viendrais aujourd'hui à cette discothèque avec les copains.
Je fis un bond et me dirigeai vers elle, cette fois-ci, je ne zigzaguais pas, je fonçais.
J'arrivai à sa hauteur et la pris par le bras, elle se retourna, surprise et surtout contente de me voir, me fit un beau sourire et me dit "bonjour je vous cherchais".
Alors là, ce fut moi le surpris, je ne le croyais pas, c'était trop beau, cette belle fille avec qui j'avais dansé hier soir et qui m avait tant impressionné, elle était venue pour essayer de me revoir, incroyable.
Et puis, elle ajouta "je monte une seconde chercher mon frère. Son frère ??
La purée de moi, le gars d'hier soir était son frangin. Je rigolais en moi-même, car après tout ce que j avais hésité pour m approcher d elle !!!!
Je me félicitais d avoir eu ce courage et d'avoir choisi une bonne décision.
Ils nous rejoignirent à notre table, je fis des présentations assez rapides, car moi-même, je les connaissais à peine.
Elle s'assit près de moi et nous eûmes tout juste le temps de parler du réveillon, quand une série de slows commença. Je l'invitai et me trouvai comme hier soir avec cette beauté dans mes bras, cette fois-ci, elle ne tremblait pas et était plus près de moi.
Je fis les choses doucement car je ne voulais pas qu elle me prenne pour un profiteur que d'ailleurs je n'étais pas, de nouveau je la fis rire, et au bout d un grand moment je lui fis savoir qu elle ne m'avait pas souhaiter un joyeux Noël.
Elle s approcha un peu plus de moi ,car malgré que c'était un slow, il y avait quand même du courant d air qui circulait entre nous, et m'embrassa sur les joues.
Je pus sentir le parfum de son fond de teint car elle était comme la veille, très bien maquillée. Et puis se passa ce qui devait se passer, je ne sais pas comment cela arriva, mais nous nous confondîmes dans un premier vrai baiser, un baiser de reconnaissance, timide, léger, tendre et qui en disait beaucoup et que je ne pourrais jamais oublier.
Les quelques secondes que cela dura, j'eus le temps de penser à hier soir, à l'entrée du M.A.S. lorsque je la vis entrer.
Qui allait me dire ce qui m arrivait, que cette fille qui m avait tant émerveillée et que j'avais comparé à un terrain inaccessible, tellement elle était splendide, était là, dans mes bras, serrée contre moi.
J avais peur de me réveiller et me trouver en pyjama sur la piste.
Nous passâmes un très bon après-midi, et malheureusement arriva le moment de partir que je craignais.
Pourquoi? Et bien, parce qu'il fallait que je lui dise que nous étions venu en BUS.
J'en avais presque honte, mais n'avait pas le choix. Peut-être serait-elle déçue, car les filles en ce temps là, étaient folles pour sortir avec un garçon qui avait une voiture et raison de plus si c'était une fille comme elle.
Heureusement, elle le prit très bien et nous fîmes notre premier déplacement ensemble, main dans la main, avec de temps en temps un léger baiser furtif, car il fallait penser que le frangin était avec nous
Arrivé dans notre quartier, nous les accompagnâmes jusqu a chez eux : ils habitaient à 100 mètres de chez moi.

On se donna rendez-vous pour le lendemain, si lendemain il y avait pour moi bien sûr, car le fait de n'être pas motorisé et d'utiliser le BUS, pour se déplacer, me tracassait assez, peut-être que dans la nuit, elle y penserait.
Je lui dis que ce soir, j'allais avec les copains au cinéma, je me souviens c'était au Mondial, voir je ne sais plus quel film : je l'embrassai et nous nous quittâmes.
Apres avoir dîné, nous nous rendîmes au ciné.
A l'entracte, nous étions les trois en pleins commentaires, quand on entendit siffler derrière nous, mais bien sur on n y faisait cas, et les sifflements continuaient, donc je me retournai et en esquivant quelques têtes qui gênaient ma vue, ,je pus apercevoir Sylviane avec son frère qui me souriaient, elle savait que je venais à ce cinéma et voulut encore me revoir, même si cela faisait à peine une heure qu'on venait de se quitter, moi j en étais également ravi, : j'aurai pu l inviter à venir avec nous, mais je ne voulais pas dès le début paraître trop accablant.
Je les rejoignis et restais avec eux toute la durée de l entracte, ensuite je rejoignis mes copains, chose qu'un jour elle me reprocha mais gentiment, car elle était si douce en parlant qu'il n y eut jamais un mot plus haut que l'autre, une dispute, une mauvaise humeur, rien : un ange, quoi ! Et j eus la chance de tomber sur elle et je m'en félicitais, fini toutes ces filles volages, instables, intéressées.
Le film termina, franchement je ne savais même pas de quoi cela parlait, j'avais plutôt ma pensée quelques rangées en arrière, je n arrivais à m'imaginer ce qui m'arrivait avec cette fille, que je venais à peine de connaître
On les accompagna chez eux, en lui rappelant l'heure de notre rendez vous, de nouveau je l'embrassai et nous nous quittâmes.
Voila comment commença une belle histoire d amour, entre deux jeunes de 20 ans, grâce à ce coup de foudre.
Les premiers jours de notre romance, lorsque j'allais la chercher, il m'arrivait de m'arrêter à mi-parcours et me dire "ou vas tu imbécile, tu vois pas que tu as rêvé" et c est que lorsque je la voyais sortir de sa villa que je revenais à la réalité et que vraiment j'y croyais.
Les premiers soirs c'était la même chose, je me réveillais en pleine nuit et me demandais si j avais rêvé.
Un jour en allant la chercher avec mon solex, j arrivai devant chez elle et me trouvai avec une bande de garçons et filles qui parlaient avec elle, accompagnés de voitures de grosses cylindrées déjà à cette époque, je restais en face et l'attendis, cela dura 2 minutes, elle les embrassa et me rejoignit et monta derrière moi, je pédalais un peu pour démarrer, car ce petit vélomoteur à deux n'était pas facile à l'élancer, surtout avec deux coeurs gonflés à bloc de belles choses.
Je lui demandais qui étaient-ce, elle me dit que c'était des copains de son ancienne bande qui étaient venus l'inviter à un anniversaire sur la côte, et elle leur répondit que non cela ne l'intéressait pas car elle allait sortir avec Manu.
Qui est Manu demandèrent-ils? C'est le garçon qui est en face, répondit-elle.
J'aurais bien voulu voir la tête qu'ils faisaient lorsqu ils m'ont vu démarrer avec elle derrière.
Elle avait laisse tombe sa bande qui était les grands fils à papa de Casablanca, que tout le monde connaissait et dont je ne citerais pas les noms, rien que des jeunes à pognon, pour sortir avec moi et mon moyen de transport qu'était mon solex, difficile a y croire.
On se voyait quatre fois par jour,a midi : elle m'attendait devant chez elle, qui était mon passage de retour du boulot, on restait un moment puis j'allais déjeuner à 13 h elle venait me rejoindre chez moi ou on restait jusqu'à 14 h, l'heure où je partais au boulot, après mon boulot à 19 h, j'arrivais chez moi, elle m'attendait devant la porte, on restait ensemble jusqu a 20 h puis je l'accompagnais chez elle : je ne la laissais pas faire un pas toute seule, c'était un plaisir de marcher avec elle, main dans la main.
Puis ensuite on se revoyait à 21h et là on partait en ville et on rentrait que vers 1h du matin.
Nous sortions que rarement avec ma bande, nous allions de temps en temps camper avec eux à " Paloma " où on arrivait à se réunir une trentaine et la vraie déconnade était, surtout au moment de dormir à 30 dans une tente pour 8 personnes.
Qu'elles étaient belles ces promenades romantiques le soir sur le rivage.
Les copains râlaient après moi, car peu à peu, je m'éloignais d'eux, ils me reprochaient qu'à cause de cette fille, je les laissais tomber et c'était vrai.
C'était la première fois que je n introduisais pas une fille dans la bande, au contraire moi-même, je voulais en sortir, car je ne supportais plus ces ambiances, j'étais si bien seul avec le cadeau que m'apporta le Père Noël.

On s'échappait souvent a la plage, au " km 13 " qui était pas trop loin, car au pauvre solex c'était trop lui demander, mais il résista ce brave engin.
Peu de temps après je passais mon permis, je me souviens le jour de l examen, elle m'attendait devant chez elle, moi j'arrivais avec mon vélomoteur et de loin, lui fis signe, elle comprit que je l avais eu et me répondit également par des signes.
Peu après j'achetais ma première voiture : c'était une Dauphine.
Nous allâmes la chercher, pour ça, nous primes un taxi, car on savait qu'on allait revenir avec elle. Je signai les papiers et le vendeur m'expliqua son fonctionnement, mais il ne faisait que regarder Sylviane quand c'était moi l'intéressé, jusqu'à que j'en eus marre et lui dis que c'était moi l'acheteur et non elle.
Je lui lançai ça si sèchement que le pauvre s'excusa et tout.
J'étais fier dans ma petite voiture avec mon grand amour à mes cotés.
Nous nous rendîmes chez elle et on commença à la décorer et adieu a mon solex malgré qu'il ait beaucoup participé à nos joies avec ses lents déplacements, mais il avait tenu le coup.
Sylviane passa une mauvaise période lorsqu'elle fut opérée de son ménisque droit, elle dut restée alitée et plâtrée durant un mois, j'allais la voir qu'une seule fois par jour, il fallait oublier pendant un certain temps, ces 4 fois qu'on se voyait durant la journée et c'était très dur pour tous les deux. Mes visites lui faisaient beaucoup de bien et à moi aussi.
Pendant cette période j'eus même droit à un savon de sa mère qui me culpabilisait de ces quelques kilos qu avait perdu sa fille.
Pour mon anniversaire, elle me fit cadeau d une grosse gourmette et un disque introuvable à Casa et qu'elle fit venir d'Espagne.
Elle m'écrivit de nombreuses lettres, la plupart en vers, dont une était assez spéciale, car elle contait les premiers jours de notre rencontre y compris le soir du réveillon, et c'était exactement la même chose que j'avais ressenti, notre premier regard, la peur que ce soit un rêve et se réveiller, peur du lendemain, de ne pas y croire.
D'elle, je retiens tous ces noms comme bandit, brigand, voyou, bijou, c'était tellement agréable, les écouter dit par elle.
Elle me dit que j'étais son père Noël et son plus beau cadeau a la fois, enfin la même chose que j'avais pense.
Durant cette période, il y eut un seul jour où l'on resta sans se voir, cela nous parut une éternité.
Le lendemain, lorsque je la revis, cela me parut comme le premier jour, une drôle de sensation que j'avais ressenti le soir où je la connus, on dirait que cela faisait une longue période que je ne la voyais pas : elle eut la même sensation que moi et nous nous jurâmes de ne plus rester un jour sans se voir.
Cette fille, cet amour fut pour moi le plus beau de ma jeunesse, j'eus vraiment la chance de connaître cette merveilleuse fille qu'était Sylviane.

La logique s il y en a une, veut que toute belle histoire amoureuse, ne termine pas ou termine très mal et c'est cette dernière qui nous tomba dessus.
Ce fut la catastrophe et ce n'est pas nous qui le voulions, loin de la, il n'avait jamais été question de se séparer ni même y penser, au contraire notre amour se soudait chaque fois plus.
Les problèmes arrivèrent d un autre côté, exactement de sa mère en commençant à s'interposer entre nous, elle commençait à voir que cela durait trop et que c'était parti pour aller très loin, donc cela devenait très dangereux
Je n'avais jamais eu de problèmes avec elle, au contraire, ses parents m'amenaient quelques fois à la campagne, parlaient avec moi lorsque j'allais chez eux, mais voila ça durait trop, au début, elle me considérait comme un copain de sa fille, un flirt de jeunesse, mais jamais elle alla penser que ça irait si loin donc je devenais dangereux, car pour sa fille, elle aurait préféré un garçon du genre de ceux de son ancienne bande, des fils de …, enfin des mecs avec futur économique et comme moi je n'étais qu'un petit mécanicien, qui venait à peine de commencer à travailler pour aider ma mère , vu que mon Père décéda très jeune, donc pauvre bagage que c'était..
De notre amour, elle s'en foutait, elle voulait à tout prix nous séparer, détruire cette belle histoire entre deux jeunes qui s'adoraient.
Elle commença à l'interdire de me voir et ne la laissait sortir qu'accompagnée, mais il fallait à tout prix qu'elle me voit, que je la vois, qu'on se voit, nous étions restés un jour sans le faire et on faillit en faire une maladie, et pour cela elle s inventa une astuce qui était de sortir LAK, son grand chien loup que personne n'avait jamais sorti et qui était toujours à la terrasse. C'était une idée sans grande conviction car la mère doutait de quelque chose : " comment tu ne la jamais fait et maintenant, tu veux le sortir
Elle n'était pas bête pour ça, mais bête de vouloir nous séparer, donc à peine Sylviane, sortait de chez elle, elle montait sur la terrasse, qui avait vue sur mon immeuble, car nous étions sépares que par quelques maisons basses et un terrain vague, pour voir la direction que prendrait sa fille.
Moi comme je n'avais plus de contact direct avec elle, car en ce temps là, nous n'avions pas encore le téléphone, je restais des heures derrière les rideaux de ma fenêtre à surveiller lorsqu'elle sortirait.
Quelle joie de la revoir, lorsque elle apparaissait avec son chien, sa silhouette, sa démarche tout cela m'appartenait et je ne pouvais m'en approcher. Son chien était si fort pour elle, qu'elle avait des risques de tomber, mais elle tenait bien, car ce n'était pas le moment de faire une chute, car sinon adieu à la possibilité de le sortir.
Elle passait en face de chez moi; j attendais un instant, vu que la mère était toujours à son poste, et partais en sens opposé et c'est derrière ma rue, que l on se rencontrait.
On arrivait l'un vers l'autre, au fur et mesure nos pas se faisaient plus grands, car on était pressé de s'enlacer, les larmes aux yeux, les gens nous regardaient surpris, le chien tirait de son côté, mais il n'était pas assez fort pour nous séparer : je pense que même un éléphant n'aurait pas pu nous déraciner une fois enlacés !!!
Puis nous marchions un peu, car elle ne pouvait pas tarder de peur que sa mère lui interdise de sortir le chien.
On avait quand même le temps de se remonter le moral mutuellement, notre principale conversation était qu on y croyait pas a ce qui nous arrivait, au mal qu'on était en train de nous faire et notre souhait était que sa mère revienne sur sa décision et nous laisse continuer avec notre amour.
Mais malgré tous ces encouragements qu'on se donnait, nous étions sûr qu elle voulait à tout prix nous séparer définitivement.
Je l'accompagnai à proximité de chez elle tout en passant par la rue de derrière où sa mère ne pouvait nous voir, là, on s'embrassait longuement, car on ne savait pas si on allait pouvoir le refaire, puis elle partait.
Elle marchait tout en se retournant plusieurs fois jusqu à ce qu'elle arrivait chez elle, et avant de rentrer se retournait une dernière fois, me faisait un signe puis disparaissait, mais moi je ne bougeais tant que je la voyais.

Je me sentais tout drôle, c'était comme si l'autre moitié de mon corps se détachait de moi, c'était triste car c'était peut-être la dernière fois qu'on se voyait, et oui on était devenu pessimiste à ce point là.
Et maintenant que fais-je? Où vais-je aller à l'heure qu'il est tout seul sans elle?
M'enfermer chez moi, tourner avec ma voiture dans les rues de Casa sans elle à mes côtés, aller revoir les copains qui sachant les mauvais moments que j'étais en train de passer, voulaient à tout prix me coller une fille et que je redevienne celui de la bande que j'étais avant de connaître Sylviane.
C'était loin d'être le moment, car malgré que quelqu'un voulait à tout prix me sortir de ce rêve, j'en étais encore tout imprégné et cela dura très longtemps.
Finalement, j optais pour rentrer chez moi, me consoler en relisant les lettres et revoyant les photos et bien sûr regarder vers sa terrasse en espérant qu'elle apparaisse.
Elle se trouva une autre manière pour qu on puisse se voir ou du moins s apercevoir, et c'était de monter sur sa terrasse entre midi et deux heures pour prendre du soleil, heures qu elle savait que j étais chez moi.
Moi pour mieux la voir, je montais sur ma terrasse qui surplombait la sienne et malgré qu une cinquantaine de mètres nous séparaient, nos regards arrivaient a se toucher.
Je devinais ces yeux tristes de se sentir prisonnière et de pouvoir nous voir qu'au lointain. Mais comme l'idée du chien dura peu, celle-ci aussi fracassa, car un jour qu'on était à nos postes, je vis monter sa mère, discuter avec elle, il y eut même des gestes puis Sylviane se leva, regarda longuement une dernière fois vers moi et descendit.
Je ne la revis plus sur sa terrasse pour "bronzer"; la corde qui nous rattachait se faisait de plus en plus longue.

Je repris contact avec mes copains et le soir a peine rentré chez moi, je me mettais derrière la fenêtre regardant vers sa villa, je ne sais pas ce que j'espérais, mais un soir, cette idée fut récompense, car je pus apercevoir une ombre qui se mouvait sur la terrasse, et ça grâce a une maison blanche placée derrière la sienne qui me servait d'écran : elle savait l'heure à laquelle j'étais à la maison et voulait me voir à travers ma fenêtre malgré l'obscurité et l'éloignement.
Cela dura que quelques soirs, car je ne revis plus cette ombre, une ombre fantôme, une ombre qui cachait un trésor dans son intérieur, sûrement sa mère devait être agacée qu'elle monta tous les soirs à la terrasse et sachant très bien la raison, lui avait sûrement interdit de le faire.
Des fois de ma fenêtre, je la voyais passer avec sa mère, on aurait même dit qu elle avait peur de regarder vers mon balcon, on aurait dit qu'il se passait quelque chose de bizarre, je savais qu'elle était influencée par la mère qui avait quand même du mal à nous déraciner.
J'étais découragé et si je ressortais avec les copains, ce n'était pas pour oublier cette merveilleuse fille, mais mes problèmes qu'une personne s'était inventée.
Un jour que j'étais en voiture, je la vis par hasard toute seule, je l'accostais mais ne sortis même pas de la voiture, elle dut se pencher pour me parler.
Je lui parlais avec un autre ton de voix que celui que j avais employé durant ces 16 mois que nous fûmes ensemble.
Notre conversation était froide surtout de mon coté parce que je savais que cette séparation m empêchait d'écouter, ce qu elle me disait très souvent au sujet de notre amour et avec tout ce qui se passait.
Je commençais à en douter, pas d'elle mais des circonstances qui nous entouraient.
De son côté, je ne savais pas comment elle se sentait intérieurement, et j'en avais aucune idée, vu que cela faisait longtemps qu on ne se parlait plus ensemble.
Vu mon comportement, elle décida de m'annoncer une bonne nouvelle : c'est qu'elle partait avec ses parents en France et qu'elle attendait juste un mot de ma part pour les laisser et revenir vers moi.
Malgré le grand amour que j'avais pour elle, je ne lui disais pas ce mot qu'elle attendait, et je fus assez dur en lui disant qu'à cause de tout cela mon amour, pour elle, s'était refroidi, que je ne pensais presque plus à elle.
Quand je disais que je fus dur, je parlais contre moi car bien sûr, je m'inventais tout ça, tout cela était faux, je ne pouvais oublier ces 16 mois passés avec elle en quelques jours car ce fut trop beau : c'était impossible.

Ce que je fis, c'est avoir ce satané courage de nous sacrifier, parce que je préférais qu'elle me perde, qu'on se perde, qu'elle perde ses parents, et oui j'avais 20 ans et je raisonnais déjà comme ça, parce que les parents, on en a toujours besoin, avec moi cela aurait été possible qu'un jour cela ne marche plus et se retrouve sans ses parents, finalement un raisonnement dont je m'en suis voulu durant assez de temps.
Elle était très intelligente et respecta ma décision et avant de se quitter, me dit qu'elle n aimera jamais quelqu'un d'autre comme moi.
Maintenant, il fallait que je digère la décision que j avais prise et pour cela je fréquentais tous ces endroits que nous avions connus ensemble surtout à la plage.
Il ne me restait que ses lettres et ses photos pour oublier cette merde d'idée que j'avais eu en lui refusant de lui dire ce mot qu elle attendait.
Ces lettres et photos qui peu à peu, disparurent, car ma mère voyant le mauvais moment que je passais, voulu m'enlever tout ce qui me rappellerait cette fille, elle ne le fit pas contre elle, car elle l'aimait bien, mais pour moi.
Je me rappelle un jour, je prêtai un livre à une voisine, et je ne sais comment, mais une de ces lettres était à l'intérieur, lorsqu elle me rendit ce livre, elle me dit "et bien , mon vieux cette fille, elle vous aimait vraiment"
Il m'arrivait souvent de passer devant chez elle avec ma voiture en faisant ronfler le moteur juste à la hauteur de sa villa, bruit qu'elle connaissait très bien, pour qu'elle n oublie pas un garçon qu'elle avait fréquenté durant 16 mois et qui avait perdu des plumes dans cette belle histoire d amour, était toujours là, malgré sa décision.
Je repris contact avec les copains, copines fofolles, instables, intéressées, les surprises parties, les week-ends à la plage, tout cela était bien beau, mais la blessure était là et personne ne fut capable de la cicatriser.
FIN

Hélène Murcia

Bonsoir,
Je vous remercie de votre réponse.
Je me présente : Je m'appelle Hélène Murcia, je suis née en décembre 1940.
Ma soeur Yvonne qui est née en novembre 1938 ( Vonette ) et moi même demeurions au Maarif 42 Bd Danton ( angle Rue
du Poitou) Villa La Goélette.
Nous avons fait nos communions à l'Eglise St Antoine de Padoue et le Pére AUBERT a marié ma soeur en Février 1958.
Aujourd'hui je vis dans les Pyrénées Orientales à Bourg-Madame et ma soeur Vonette vit à Marseille.
Nous avons connu votre site par hasard et nous ne connaissons pas le journal du Lien.
Pourriez vous nous indiquer comment fonctionne votre site, si nous pouvons y ajouter des photos ou des commentaires?
Merci d'avance.
Hélène

Jean-Pierre Navarro, né a Mers Sultan

Ma Famille : mais je suis ou j'ai vécu jusqu'a l'age de 12 ans date a laquelle je suis parti habiter au Belvédére en même temps que je rentrais au collège technique , rue E. Barathon
Mon lien avec le M.A.S. :
Ma vie actuelle :
Remarques : Mais j'ai une partie de ma famille qui était du Maarif , rue du Marché , la famille Lobello

Andrée Noto

Ma Famille :
Mon lien avec le M.A.S. : Ecole Ernest Renan. Concernant Casablanca, quartier Le Plateau : en face de ma villa , c'était les SICART : ma copine s'appelait Martine, je crois je ne me souviens plus bien de son prénom ; son Papa, Monsieur SICART était prof de français au Lycée Lyautey, dans le centre-ville.
comme il s'y rendait tous les matins avec ses enfants, en voiture (c'était une Frégate), il klaxonnait afin que mon frère ROBERT et ma soeur. L'aînée de cette famille, MARYVONNE, était très sympa. haute en couleurs ; elle fréquentait la fille ROULET, et aussi , le club des : " PROVINCES DE FRANCE " de Casablanca . Mais, nos fenêtres de chambre à coucher étaient face à face, juste séparées par la fameuse rue WATTEAU prolongée.
Ma vie actuelle :

Bob Oliver

Ma vie au maarif: OLIVER Robert né le 2 Janvier 1946 au 138 rue du Mont blanc "Garage FRUTOSO".Je suis le frere de Danielle MENCHON.
J'ai quitté le Maroc en 60 pour le nord de la France.
Comme pas mal de Maarifiens j'ai pratiqué Le basket au MAS,le foot(bien évidement),le patronage et les colos.
 Depuis 99 Je suis en retraite. J'ai eu le plaisir d'avoir à la maison ,avec son épouse, Fernand SANCHEZ dit " el Gusano ". 
Mon épouse Annie c'est une "patos" Qui est née à Paris en 45. Voila je pense que les renseignements te satisferons.

Roger Orquera

Bonjour Pierre,
J'aime beaucoup votre site car il est un lieu où chacun vient apporter par sa présence un témoignage de son attachement à une collectivité qui a grandi au Maarif à Casablanca.
La chaleur de cette diversité consignée ici depuis plusieurs années est la preuve de notre attachement à des vertus puisées dans le souvenir si puissant de notre enfance.
Mon message aussi, se veut comme la nouvelle petite pierre ajoutée à ce bel édifice.
Merci à vous par avance si vous vouliez bien le publier.

Mon nom est Roger Orquéra.
Je suis né à Settat, région de la Chaouia, près de Casablanca, puis ma famille a vite migré à Safi où j'ai passé mes 14 premières années.
Etudes primaires à l'Ecole du Plateau où sévissaient Mr Pillot, directeur d'école et Mr Balayssac, directeur d'internat.
Casablanca m'a vu ensuite à l'école Indus, en apprentissage dans une imprimerie du Maarif ( bvd Danton) et ensuite ce fut le service militaire avec affectation à l'Etat Major de Fès, comme secrétaire.
Un poste au contentieux à la CPIM – CAISSE DE PRETS IMMOBILIERS DU MAROC - rue Blaise Pascal à Casa ( aujourd'hui, rue du Prince Moulay Abdallah ) .
Départ du Maroc en 1964 pour la région parisienne où une banque m'accueille dans son service juridique, une autre voie dans l'immobilier jusqu'à la retraite.
…………………….
Depuis plusieurs années, du temps, beaucoup de temps en partage avec la France et le Maroc, terre de nos aïeux qui nous tient tant.
Du temps aussi donné à une écriture, intitulée, pour la mémoire : tempête dans mes racines, mon autobiographie que vous pouvez consulter en allant sur :

http://www.tempête-dans-mes-racines.com
ou
http://www.librairie-pied-noir.com/maroc/822-tempete-dans-mes-racines.html

ou saisissez sur Internet (moteur de recherche) :
"tempête dans mes racines"

Vous goûterez-là à quelques souvenirs parfumés, totalement ancrés en moi.
Vous serez happé (e) par la mélodie, l'authenticité et la vie d'un Français sous le Protectorat et après l'Indépendance et dont la deuxième langue est l'arabe dialectal ( Darrija ). Une vie enrichie de plusieurs cultures, parcelle de notre histoire dans la grande Histoire.
Et si ensuite , vous étiez tenté (e) de m'écrire, n'hésitez pas ! Adressez-moi votre message soit ici sur le site soit à mon adresse e-mail rmorquera@wanadoo.fr
Amitiés à tous.

Bernard Paris

Ma Famille : Ma sœur Solange Gras
Mon lien avec le M.A.S. : j'ai fait partie des copains mais le groupe des plus jeunes a époque. 200% du Maarif : Cœur Vaillant, Ecole de Savio, Mas, Basket
Ma vie actuelle : .J'habite Marseille
Mes remarques : Super d'avoir créer ce site !!! Bravo à tous. Amitiés

Vera Panattoni, née Battaglini, au Maarif (Casablanca) le 24 avril 1932

Ma Famille : Mes parents: Vieri et Alice Battaglini 1 frère: Giuseppe Battaglini, né le 18 février 1936 au Maarif, 1 soeur: Giulietta Battaglini ( Bagneschi), née le 21 novembre 1941 au Maarif. Nous habitions: 20 Rue du Jura.
Mon lien avec le M.A.S. :
Ma vie actuelle : Nous avons quitté le Maroc en juin 1942 et nous sommes rentrés en Italie. Mon mari: Umberto Panattoni, né le 1er mars 1930 en Italie. Nous nous sommes mariés à Lucca (Italie) le 28 février 1953. Nous avons 3 enfants: Diana, née le 23 août 1954 à San Francisco, Aldo, né le 1er juin 1958, à San Francisco, Marco, né le 9 août 1965 à San Francisco. Mon adresse: USA Daly City
Mes remarques :

José Pastor

Naissance : 1 Janvier 1951, aux Crêtes

Ma famille : depuis 1959 au MAARIF . Je suis le beau-frère de Dédé MONTIEL, famille née au Maârif dont le Père Tenait la gérance de la BSM pétanque. Famille très connue au Maârif. Mon adresse, rue des Alpes, ensuite Rue des Flandres pour terminer Rue d'Annam.
Mon lien avec le M.A.S. : (Ecole Dominique Savio, colonies de vacances à Immouzer, etc...)
J'ai joué au MAS Basket pendant 2 ans à l'époque de la fameuse équipe Benjamin, dont l'équipe A est devenue championne du Maroc. (avec Les Sune, Fenech, Alvarez !!!) J'ai fréquenté l'école Dominique Savio jusqu'à la classe CM2, après avoir quitté le Maroc et le Maarif en 1972. Mes repères sont : j'ai habité Rue des Alpes, Rue des Flandres pour finir Rue d'Annam. J'étais footeux, jouant avec les équipes de Beauséjour, Casa d'Espina et Inter Wagram, participant au fameux tournoi du CAFC avec le légendaire Titi.
Ma vie actuelle : J'ai quitté le Maroc en 1972 pour la France.
Remarques : Toutes mes amitiés sincère au Padre et tous mes remerciements pour ces années passées ensemble.
Si des Maarifiens me reconnaissent, qu'ils me contactent : Je serais très heureux.

Josiane Penaranda

Je m'appelle Josiane Penaranda, mariée avec Pierre Bordenave, un Béarnais, "nul est parfait"...je plaisante, c'est le plus gentil et généreux de tous les hommes!
Avec mes parents, nous avons quitté le Maroc. Nous étions jeunes, mais eux, ils avaient laissé "là-bas un morceau de leur coeur...
Jamais, mon père n'a pu s'habituer à leur vie, en métropole. J'ai entendu mon père pleurer et soupirer en pensant à son Pays !
Alors, lorsque nous entendions parler de là-bas, nous nous bouchions les oreilles...c'était un trop grand chagrin....
Mes parents ne sont plus là.
J'ai voulu leur rendre un hommage, afin que l'on se souvienne du courage et de leur volonté, pour "réussir", ainsi que de l'histoire de ces pieds-noirs !
J'ai écrit, j'ai fouillé, j'ai été très émue, j'ai essuyé quelques larmes...
J'ai retrouvé mon Maarif et j'ai envie de vous le faire partager! Je vais faire imprimer mon " bouquin" dans quelques jours, si cela vous intéresse, alors,je reste à votre disposition.
Amitiés: Josiane Penaranda-Bordenave
PS: est-ce que des personnes se souviennent de Moi ?

J'ai oublié hier de donner mes coordonnées les voilà:
Josiane Penaranda épouse Bordenave.j'habitais, 32, rue du Pelvoux- au Maarif-Casablanca-Maroc
Mes parents, avaient une boulangerie-pâtisserie, rue du Pelvoux.
J'ai fréquenté l'école du Maarif, puis le Lycée de Jeunes Filles de Casablanca...
Je suis une grande "nana" de 1m79.
J'enverrai des photos bientôt...(jen dois me faire aider, je ne sais pas faire)
Ah, j'oubliais, j'ai 40 ans de plus!!! comme les copains....
A bientôt d'avoir de vos nouvelles amitiés
Josiane Penaranda

Père Jean-Baptiste Beraud

Ma Famille :
Mon lien avec le M.A.S. : A Yaoundé, les. préoccupations du Conseil Provincial de l'ATE en ce moment sont plus spécialement de trois ordres. Le premier est l'achèvement de notre nouveau scolasticat de théologie à Yaoundé. Le deuxième effort est l'amélioration d'une maison d'accueil pour Sessions, Colonies et Camps de vacances. Notre troisième recherche urgente est de prévoir des bourses pour de jeunes étudiants
Ma vie actuelle : Au mois d'août, je suis allé à New Delhi, en Inde, où j'ai été invité par la Congrégation à participer au Conseil Mondial des Salésiens pour la Communication. J'y ai revu de vieux amis de plusieurs continents. Nous nous sommes retrouvés quelques-uns des 18 salésiens qui s'étaient rendus à Rome en 1992, pour lancer l'Agence Internationale Salésienne d'Information, " ANS ", qui rayonne aujourd'hui dans les 138 pays où se trouvent les fils de Don Bosco. Nous avons préparé des propositions pour le prochain Chapitre Général.

Père Henri Derouet

Ma Famille :
Mon lien avec le M.A.S. : Prêtre au Maarif du …
Ma vie actuelle : Le site de mon école http://www.giel-don-bosco.org/

Pére Cristóbal López

Ma Famille :
Mon lien avec le M.A.S. : J'aimerais que dans la page des liaisons web puisse être aussi la page de l'école Don Bosco et de la JUK de Kénitra - Visitez nos sites: www.donbosco-kenitra.org et www.association-juk.org
Ma vie actuelle : Je profite pour remercier encore une fois tous les amis du MAS et les lecteurs de "Le Lien" pour l'aide que nous accordent pour l'école JUK-SPEL, l'école salésienne de formation professionnelle où nous continuons à former des jeunes marocains en détresse

Père José Luis Mena

Ma Famille :
Mon lien avec le M.A.S. : Prêtre à Madrid
Ma vie actuelle

Georges et Carmen Plazza, née Segura

Bonjour
Je suis Carmen Segura, épouse Plaza. Je suis née le 8 septembre 1947 à la rue de l'Esterel n° 47.
Ma grand mère Mme Ballester, habitait à cette adresse.
Ma grand mère paternelle habitait rue du Canigou puis rue des Faucilles.
Après ma naissance, je suis partie vivre à OUED ZEM et je suis revenue ensuite finir mes études au Collège du Palmier.
J'ai habité la rue Bussang, puis la rue des Alpes au n° 40.
J'avais comme voisins les Belviso, Ortiz, De Cozar.
Actuellement je suis en région Parisienne.
Mon époux Georges Plaza, est né à Oran (Algérie) le 15 Aout 1949 puis est arrivé à Casablanca.
Il a demeuré près du Stade Cerdan et ensuite Rue G Sand au Val Fleuri.
Il est allé à l'École Dominique Savio, puis G. Bizet et enfin l'Ecole de l'Ambassade de France.
Comme vous le savez mon mari a un cancer et doit subir des cycles de chimio avec tous les inconvénients que cela comporte.
Je me tiens à votre disposition pour d'autres renseignements.
Amicalement
Georges et Carmen Plaz

Josiane Portallier-Tarrago

Ma Famille : rue Pétion
Mon lien avec le M.A.S. : Au niveau copains je ne me rappelle que de quelques noms dont Jeannot Piccionne, Francis Navarro, Guy Rombi, Jean Pierre Gomez, Joachim Gonzales. Pour les filles ma meilleure amie est Suzy el Fassy , sa mère était vendeuse à la pâtisserie la Couronne. Autrement j'ai des cartes de communion. Sur le site les copains d'avant j'ai pris contact avec Anne Marie Heredia dite Nena qui vit à Malaga elle est plus âgée que moi, de ma classe je n'ai retrouvé personne à ce jour. On ne sortait pas beaucoup car un père très sévère nous empêchait de mettre le nez dehors mon échappatoire a été les colos de sœur Bernadette à Immouzer, le patronage du jeudi après midi et les journées de détentes dite maintenant centre social des petites vacances scolaires à Tamaris avec le Padre
Ma vie actuelle : j'habite Roanne dans le 42

Marinette Portallier

NOM :Portallier
PRENOM: Marinette, Martine
Née au coteau en France en 1954 et adoptée par les maarifiens en 1955,déracinée en août 1969, j'habitais rue Petion au Maarif extension
MON LIEN AVEC LE MAS : l'école de la Présentation
MA VIE ACTUELLE: 1 ere fois séparée après 18 ans de vie commune, 2 garçons, je me suis mariée. Divorcée au bout de 9 ans pour incompatibilité entre époux et enfants, et oui cela arrive. A présent au chômage, je suis à la recherche d'un emploi et ne perds pas espoir. J'aime organiser des repas entre amis, tous les ans j'organise la fête du Magrheb et oui il ne faut pas renier ses origines.
MES REMARQUES: merci de raviver les souvenirs mais n'attendez pas 10 ans car les années passent. Gros bisous au Padre et merci à tous même si je ne suis pas de votre génération.

Emilie Puccini, née Gonzales Casanova

Ma famille : je suis la soeur de Christiane GONZALES CASANOVA de Perpignan,
Mon lien avec le M.A.S. : vous connaissez déjà une grande partie de ma vie Maarifienne
Ma vie actuelle : je suis arrivée a TOULOUSE après mon mariage, en 1958.
J' ai eu la plaisir et le grand bonheur de
retrouver le MAS, qui m'a aidé d une façon extraordinaire après la mort de mon mari. Je continue a les retrouver régulièrement , toujours avec beaucoup de joie et de chaleur.

Michelle Puyuelo (née Riso)

Je suis nouvellement inscrite au lien, grâce à ma cousine Josiane Galindo de Californie, avec laquelle j'ai assisté à la réunion du 18 Mai 2008, à PARIS. J'ai fait la connaissance du père AUBERT pour lequel une vive sympathie se dégage aussitôt. Josie m'a donc envoyé les coordonnées du site et j'ai pu me connecter. Tout d'abord toutes mes félicitations pour ce site qui est remarquablement réalisé, ainsi que pour l'organisation de la journée du 18 Mai qui était chaleureuse et très conviviale.
Je suis née à Casablanca, avenue de l'aviation Française en 1948, puis mes parents ont habité au Maarif - 42 rue d'Auvergne - ; ils sont partis du Maroc dès les premiers évènements en Juillet 1956 ; j'allais avoir 8 ans. J'ai fait ma première communion à l'église du Maarif et j'allais à l'école religieuse de la Présentation. En parcourant le lien, dans la rubrique " photos " " établissements scolaires " j'ai eu l'agréable surprise de voir une photo de classe (Ecole Maternelle 52-53 ) sur laquelle je me trouve (j'ai le numéro 19). Évidemment je ne reconnais plus personne et les noms qui figurent n'évoquent rien pour moi.
Pourriez-vous demander à la personne qui a mis cette photo dans le lien (il s'agit apparemment de Jackie GARDEY) d'inscrire mon nom : Michèle RISO face au n° 19.
Peut-être également a-t-elle connu Michelle BELLEMIN qui était à cette époque dans cette même école et nous étions toujours ensemble, d'autant que nous habitions à la même adresse. Je ne pense pas qu'elle soit sur la photo du lien, je l'aurais reconnue. J'aimerais tant avoir de ses nouvelles si cela est possible. Elle avait une sœur (de mémoire 14 - 15 ans en 1956) qui s'appelait Evelyne.
Je vais me plonger dans ces années lointaines et retrouver quelques photos, que je ne manquerai pas de vous scanner ; certains se retrouveront peut-être
(Notamment deux spectacles enfantins que nous avions fait dans une salle qui donnait derrière l'église : Le Marmiton et Le Vert Luisant).
Je suis retournée à CASABLANCA en 2001 avec mon mari et mon père qui était encore de ce monde. Je me suis bien reconnue dans le Maarif, là où j'avais l'habitude d'aller et notamment le marché qui a gardé la même structure ainsi que le passage CABEZON.
Je vous transmets toutes mes amitiés et à très bientôt sur le LIEN.

Christiane Quatravaux

Cher monsieur,
Je viens de trouver votre site et de reconnaître Jackie Gardey dont j'ai été la voisine (ma famille habitait au 6 rue du Mont-Ventoux) et l'amie de sa soeur Monique.
Nous étions 3 enfants Christiane (c'est moi, l'ainée, née le 13/11/1945), Philippe (née le 6 décembre 1949 à la clinique des Orangers) et Catherine (née le 30 septembre 1954, toujours à la clinique des Orangers).
Mon père Michel, aujourdhui décédé depuis 2 ans, faisait de la prospection minière et ma mère Noelle s'occupait de nous.
Nous habitions en face, au 6 rue du Mont-Ventoux, l'appartement avec terrasse ; je me souviens de moments mémorables avec les 5 enfants de la famille Gardey et des chutes de l'arbre qui trônait dans leur jardin.
Ayant débuté une scolarité maternelle à l'école des soeurs, je suis ensuite allée à l'école primaire du Mâarif avec les enfants Gardey d'âge voisin.
Nous avons ensuite déménagé en 1955, bd d'Alsace Lorraine (?) aux orangers, au moment où je rentrai en sixième et sommes ensuite parti pour Rabat de 1958 à 1965, où j'ai passé mon bac (1ère math' élem mixte du lycée Gouraud- photo de terminale M1 1963, sur le site du lycée Gouraud).
Aujourd'hui, les 3 enfants habitent Paris et mes parents habitent Pau, bd des Pyrénées.
Ma mère y est toujours et si les parents de Jackie y sont encore, nous serions heureux de les inviter.
Bravo pour ce site qui recrée et entretient les liens noués pendant l'enfance.... merci de me dire comment m'inscrire sur votre site.....et merci de bien vouloir transmettre ce message à Jackie Gardey dont je n'ai pas su trouver l'adresse électronique.
Avec mes remerciements renouvelés et mon admiration pour la vie de ce site,
Christiane Quatravaux

2ème mail :
Bonsoir, Pierre,
Un grand merci pour cette réponse rapide, ces informations, et le transfert du message à Jackie Gardey......qui m'a aussitôt répondu en me donnant des nouvelles de sa famille et des photos prises lors de la communion de Monique.
Par le plus grand des hasards, il se trouve que nos deux familles habitent Pau et qu'ainsi, j'espère que nous allons pouvoir nous rencontrer très vite, plus de 50 ans après.
Mon père Michel Quatravaux est aujourd'hui décédé et ma mère Noelle reste seule à Pau. Ils sont de 1921, de la même année que les parents de Jackie et Michel.
Moi, Christiane Quatravaux, suis la fille ainée, née le 13/11/1945 à Bagnères de Bigorre, arrivée à neuf mois à Kénitra avec mon père qui travaillait à la Géophysique et ma mère qui l'accompagnait, avant de rejoindre Casablanca et le 8 rue du Mont-Ventoux, en 1948 et jusqu'en 1955 où nous nous sommes installés 22 rue Claude Lorrain (erreur sur le 1er mel adressé, j'ai retrouvé une carte avec cette adresse depuis) dans le quartier des orangers, me semble t-il.
Mon frère Philippe Quatravaux (né le 6 décembre 1949) et ma soeur Catherine, (née le 30 septembre 1954) sont nés à Casablanca lorsque nous étions 8 rue du Mont-Ventoux. Toute la famille se joint à moi pour recueillir plus de données.
Merci de m'accueillir parmi vous, dans cette grande famille reconstituée, c'est un grand honneur de vous rejoindre.
Je me lance à la recherche de photos de cette période et de périodes plus récentes pour plus d'informations.
En vous renouvelant mes remerciements et mon admiration pour ce lien, je vous dis à plus tard,
Bien cordialement,
Christiane Quatravaux

Eliane et Aziz Rafai

Ma Famille : Ma femme, Eliane Mancuso (malheureusement de Mers-Sultan) !!! et Aziz Rafaï (102 rue du Mont Blanc, face Auto-Maarif).
Mon lien avec le M.A.S. :
Ma vie actuelle : nous venons d'emménager dans une maison que nous avons fait construire à Sidi Rahal à 3Okm de Casa après Tamaris

Jean et Christiane Raposo, née Espinosa

Comme complément, je désire vous indiquer que :
Christiane est partie de Casablanca à Toulouse jeune puisqu´elle avait 12 ans.
Ces frères, plus âgées qu´elle, étaient assez connus à Casa
Moi j´habitais le Maarif, je suis allé à l´école du Palmier, et au Lycée technique jusqu'en terminal, après je suis rentrée à Madrid pour poursuivre mes études d´ingénieur.
Je jouais au Basket au CSC où j´ai gagné le championnat du Maroc, minime, cadet, junior. J´ai joué avec Lionel Ventura, Gilbert Heredia, etc...
Par courrier à part je vous enverrais des photos de ces équipes, mais vous en avez déjà une de l´équipe Junior, publiée par Gilbert où je suis le premier après l´entraîneur avec le nº 7.
Au Maarif, je sortais avec la bande de François Garcia (frère de Rose), Rafael Ramirez Andres Vasquez etc..
Je fréquentais, également les amis du MAS avec les sorties a la campagne (la cascade), et à la plage.
Egalement j´étais souvent avec Tito (+) et Tita, Nani, Manu, René, etc ....
Je vous envoie les photos demandées, l´actuel nous sommes avec notre petite fille .
Essayez de m´envoyer les coordonnées de Gilbert Heredia pour lui envoyer les photos que je puisse trouvées.
SALUDOS JUAN

Yves Richard

Je suis né le 1er AVRIL 1950 , 105 rue du mont blanc et j'y est vécu jusqu'a notre départ pour la France le 10 Janvier 1964,j'ai fréquenté l'école Dominique Savio de 1955 à 1962 , ensuite une année à Georges BIZET 1962/63 , et 3 mois au lycée technique
J'ai fais de la lutte gréco Romaine en 1961/62 , au gymnase de l'école Dominique Savio (proffesseur Michel BUXO) qui habitait en face de chez nous
Mon père Marcel 1919 - 1984 , muté à TOULOUSE , à travaillé à l'AIA,jusqu'à que l'on quitte le Maroc
Je suis marié 2 enfants , 2 petits enfants , et je vis en banlieue Parisienne 94
Bonjour à tous et j'espère que des personnes me reconnaitront (photo de l'école Dominique Savio 1960 No 20)

Maïthé Roa

Naissance : 1953

Ma Famille :
Mon lien avec le M.A.S. : j´ai habité au Maârif à la rue du marché, à la rue des Pyrénées, à la rue des Alpes,,, un peu partout
Ma vie actuelle : j'habite en Espagne donc j´ai gardé mon nom de jeune fille

Rombi Georges

Naissance : 9/10/1949

DCD : 2010

J'ai habité rue des Causses, rue de l'Esterel, rue de Bussang et pour finir bd Brahim Roudani (angle bd Danton)
Ecole: Camille Desmoulins, Lycée Technique.
Mon frère Jean Jacques (1942), ma soeur Marie Thérése (1958)
Marié à Françoise Perrier qui habitait Beauséjour
Nous avons 3 garçons.
Mes liens avec le MAS : le patronage, le basket, les sorties aux Tamaris
Les copains: Augustins Comito, Jean Piccione, Georges Caparos, Pierre Pérez et surtout le foot au CAFC
Ma vie actuelle: depuis décembre 73 je vis dans la région lyonnaise.
Je travaille comme responsable commercial pour un groupe de transports internationaux, avec pour le but...de développer le Maroc.
De ce fait je suis souvent à Casablanca, je ne manque pas de faire à chaque fois un tour au Maarif et au CAFC
Mes remarques: Vous faites un boulot formidable. On reconnaît la patte du Padre

Lydia Rubio ép Rite

Ma Famille : Je suis la soeur aînée de Michel Rubio
Mon lien avec le M.A.S. :
Ma vie actuelle :

Michel Rubio

Ma Famille : Ma sœur est Lydia Rubio
Mon lien avec le M.A.S. : Les Copains d'abord
Ma vie actuelle :

Nicole Ruglio née Agosta

Ma Famille : marié avec Réne Ruglio, décédé
Mon lien avec le M.A.S. :
Ma vie actuelle :

André Ruiz

Naissance : 10 Novembre 1952 en Front de Mer

Ma Famille : Mon père, Joseph né le 25 février 1922 à Mekhnès (Maroc). Il était transporteur et travaillait souvent pour les Américains à la base de Nouaceur (Maroc), aujourd'hui c'est l'aéroport de CASABLANCA. Ma Mère, née Maceiras Pestonit Maria Del Carmen, née le 4janvier 1932 à Noya à côté de Saint Jacques de Compostelle (Espagne). Mes parents on eu trois enfants que des garçons, le premier il s'agit Roger Alain né le 14 août 1950 à Casa, le second c'est moi et le troisième c'est le Patos de la famille Dominique,Jean Jacques né le 2 mars 1961 à Toulouse.
Nous avons habité rue Émile Augier, les quartiers étaient Cuba et Bourgogne. Dernier Domicile à Casa : rue du Canigou derrière le cinéma REX
Mon lien avec le M.A.S. :
Ma vie actuelle : Mon épouse : Preciado Marie Christine, née le 27 mars 1954 à Gaillac (81).
Nos enfants: Sébastien, Richard, Benjamin, né le : 11 septembre 1977 à Toulouse. Puis Laëtitia, Marie José, née le 22 mars 1980 à Toulouse. Elle nous a fait le plaisir de devenir Grand Parent (Titre Honorifique), d'une petite fille qui se prénomme Loréna son nom Bardet. Le compagnon de ma fille se nomme Jean François Bardet. Un garçon très agréable et sympathique. Notre domicile: 31750 Escalquens.
Sébastien vit encore chez nous (il est Trisomique 21), sûrement pour pas bien longtemps car il a demandé son autonomie.
Remarques : Les GALLIANA sont de notre famille, la grand mère paternel GALLIANA et mon grand père paternel étaient Frère et Sœur. Nos amis: Les famille GARCIA GALDON, CANCATTI, GIMENEZ, ESCOBAR, et tant d'autres

Vincent Salemi

Bonjour Pierre
Je vous remercie pour votre participation à mes recherches.
J'habitais à La Foncière, avec mes parents nos rendions visite chaque semaine à notre famille qui résidait au Maârif.
Ma grand-mère VINCO Filippa , mon oncle Jean ( 52 rue des Pyrénées)
Mes oncles et tantes GIACALONE Rosario et Thérèse, responsables de l'antenne MAS de Lourdes, LUCIDO Joseph et Françoise
Maman et ses 6 sœurs sont allées à l'école primaire chez les Sœurs de la Présentation, au patronage, et ont fait partie de la chorale de la paroisse.
J'ai connu à la paroisse St François d'Assise dans ma jeunesse, un responsable cœur vaillant qui s'appelait "Jojo Lacroix", il était à la J O C avec le père GARCIA Julien
Est- ce un membre de votre famille, ou la personne qui recherche ses témoins de mariage dans la rubrique "avis de recherches" ?
Je vous transmets une autre photo sur laquelle il y a les noms de toutes les personnes retrouvées
Pourriez vous insérer mon premier message dans la rubrique "avis de recherches"
Par avance merci,
Je vous souhaite une bonne fin de semaine,
Je salue la grande famille du MAS, sans oublier le Padre
Cordialement
Vincent

Jacques Salerno

PL : J'avais envoyé à Jacques un mail pour lui dire : "Peux-tu me recadrer par rapport à ta vie à Casa, au Maarif et ta famille STP
Merci Jacques"
Voici sa réponse :

Pierrot,
Mon grand-père sicilien né en 1888 à Tunis
Ma grand-mère née en 1890 à Partinico (Palermo).
Ils se sont mariés en 1911 ou 12 à Tunis.
leurs enfants:

  • Mon oncle Mario né en 1913 à Tunis
  • Mon père Armand né en 1919 à Casablanca
  • Ma tante Sylvia née en 1924(?) à Casablanca.

Ma mère est native de Cherbourg et est arrivée au Maroc en 1946.
Mes parents se sont mariés en 1948.
Je suis né en 1950 et ma soeur Christine est née en 1952.
Mon père n'avait pas d'autre famille à Casablanca. (je sais qu'il y avait d'autres Salerno notamment au Mâarif mais nous n'avons pas de liens de parenté).
Mon père est né rue de Briey ( croise l'Aviation Française)Quartier Liberté et/ou Mers-Sultan.
Je suis né et ai habité jusqu'à l'âge de 14 ans dans le quartier La Foncière
Puis en centre ville rue Clémenceau à l'angle rue Guynemer (Immeuble de la Banque Commerciale du Maroc).
J'ai fréquenté l'école primaire de la rue Dupleix puis le Lycée Lyautey jusqu'en 1966 notre départ pour la France.
Je suis arrivé en France à Belley 01.
Puis je suis allé à Cholet 49 où je réside toujours.
Voilà résumée la chronologie de ma famille
Bien amicalement
PL : Merci Jacques

Philippe Salerno

Bonsoir,
Je m'appelle Salerno Pphilippe je suis né à Casablanca.
J'ai habité au Maarif rue de Normandie , puis rue des Pyrénées , j'ai été à Dominque Savio, j'avais comme Maîtresse Madame Balbois puis Madame Bordillion . J'ai 48 ans.
André Adamandiadis est le parrain de mon fils , Madame Bernabeu ( la maman de Marie Ange ) me connait bien !!!!
J'ai continué mes études a Charles de Foucauld : Je vie actuellement à Agadir
J'ai lu sur le site le programme 2010 et travaillant dans le tourisme je proposait de vous mettre en contact avec des gens qui pouvait aider vu l'importance du groupe.
Si vous avez besoin de plus d'infos me concernant , n'hésitez pas
bonne soirée - Philippe Salerno

Claude Sanchez

Bonjour,
je me présente : M. SANCHEZ Claude, né le 29/06/1944 au Maârif, 26 rue de l'Esterel, jusqu'en 1952 puis rue du Mont Blanc jusqu'en 1960.
J'ai parcouru le site avec avidité, et bien sûr, il n'y a pas une seule rubrique qui n'ait pas retenu mon attention.
Ayant fait 16 ans de ma scolarité à CASA ( écoles du Maârif rue Fabre d'Eglantine et au lycée LYAUTEY ), je n'ai pu me priver de lorgner toutes ces photos où fort heureusement j'ai pu nous localiser, mon frère ELOY SANCHEZ né le 21/09/1942 (hélas décédé ce 19/02/2010), ma soeur CARMEN SANCHEZ née le 5/04/1949 (également décédée le 23/11/2005) et moi-même.
Tous les 3 nous sommes nés rue de l'Esterel.

Claude Sanchez

Claude, un Maârifien de la rue du MtBlanc, dans le même tronçon où habitait les ARENAS, ALVAREZ, TRUJILLO le droguiste... remplacé par le cordonnier , GALI, CARRILLO, GALLEGO dans la cour duquel on entreposait les chardons pour le soir de la St jean, VECCHIA, PEREZ et DARMON, puis le carrossier, puis SIOCCA le dentiste LINARES, MONTECATINO le boxeur, PANTALLACCI, MIRATI la charcutière ... et en allant vers l'école, TAHAR le cycliste, BOSC le policier etc etc...

Fernand Sanchez Gusano

SANCHEZ FERNAND
Ma famille ,je suis frère de Charly , de Carmen; de Marguerite et de Raphël.
Nous habitions au 95 puis au 128 rue du Mont dore,MAARIF.,
Mon lien avec le M.A.S. : tout d'abord,le Patro et à partir de 8-9 ans le basket, plus tard le hand-Ball, la musique avec LES CHARIOTS, notre chef sauveur MANCUSO décédé très rapidement, j'en suis encore triste un bon copain, nous étions champions du MAROC, d'orchestre en 1965, à RABAT. Des souvenirs ,la veille de mon départ pour la FRANCE. Je passe sur toutes les victoires que nous avons eu en cadet et junior BASKET, les copains se souviennent certainement.
Ma vie actuelle,retraité de POLICE NATIONALE,comme mon ami BOB OLIVER et non Olivier, le frère de DANIELLE OLIVER.
Marié avec Liliane SANCHEZ ,nous avons eu 3 filles et 4 petits enfants,la plus agée en ALSACE (infirmière-pueri) la seconde à FRONTIGNAN (agent administratif CHU MONTPELLIER) la troisième (dans le voyage tour opérateur avec son époux en AFRIQUE DU SUD Johannesburg) alors 4 petits enfants et bientôt 5.
Mes remarques : je suis fier de ma petite famille, de ma descendance, content d'avoir connu tout ce que j'ai connu sur le plan pro et autre ,voila que je parle en vieux.
Excusez-moi encore si j'ai oublié de remercier ou de zaper certaines personnes, c'est ma nature (dure) enfin je le pense ,me pardonner non, dieu seul le fait. Bref ,pour vous dires à tous très fort ,je pense à mon frangin qui avait fait la première couverture "la feuille de chou" en 65, le lien . Bon un peu ancien combattants non?? grosses bises à tous et poignées de mains aux hommes (et oui).. FERNAND dit Gusano pour la petite histoire,c'est Claude PEDEMONTE qui m'a baptisé ainsi, car mince et passe partout (à l'époque) il nous entraînait au BASKET .

Guy Sanchez

Bonsoir Pierrot,
Tu m'avais demandé de te donner quelques informations sur ce qu'aura été ma vie jusqu'à ce jour :
Très brièvement, né en 1943 au Maarif, j'ai fais mes études primaires à l'école du Palmier, puis au Lycée Lyautey que j'ai quitté en décembre 1958 ( j'avais 15 ans tout juste ) pour rentrer définitivement en France, à Paris, où j'ai poursuivi mes études au Lycée de Meaux.
Pendant mon adolescence à Casa je fréquentais fréquemment la rue du Jura, avec ses 4 cinémas, son cacahuetéro, ses glaces, ses jux-box et ses baby-foot,comme la plupart des jeunes de cette inoubliable époque.
Bill Haley, Elvis Presley, Les Platters, Fats Domino étaient notre drogue quotidienne.
J'étais encore trop jeune pour espérer me balader en Rumi, le long de la Corniche, alors, j'allais au Patronage tous les jeudis après-midi où je rencontrai une foule de copains qui pour la plupart ne doivent plus se souvenir de moi.
Je me souviens de Guy Escobar, de Gaëtan Piccione, Poderoso, de Roger et Charly Sanchez, Nené Solers et bien d'autres encore.
"A coeur Vaillant, rien d'impossible" disions-nous dans cette cour d'école " Dominique Savio".
En France, après mon service militaire effectué dans l'infanterie de Marine, je me suis marié et je suis maintenant père de 2 garçons.
J'avais auparavant intégré la compagnie des Machines Bull, où j'ai appris la mécanographie (traitement des Cartes perforées); ce qui m'a permis de devenir Informaticien par la suite.
J'ai fini ma carrière en qualité de Directeur informatique dans des sociétés comme Orangina ( Soda orange ) et Atic ( Importation de Charbon).
Aujourd'hui retraité depuis début 2004, j'essaie de partager mon temps entre Ordinateur, bricole à la maison, bons restos, perfectionnement à la guitare ( flamenco, plus particulièrement), pétanque.
Bref, je n'ai pas le temps de tout faire !!
A Gilbert et à toi, je vous adresse une franche poignée de main et je vous dis à très bientôt.
Très cordialement,
Guy.
PL : Merci Guy de cette présentation
Viva El Maarif !!!
L'informatique mène à tout !

Georges Saubaux

Naissance : 1948 à Casablanca

Ma Famille : Mon père travaillait déjà à la CTM (responsable de gare routière). Jusqu'en 1962 date de son décès, nous avons habité successivement à Meknes, Fez, Casablanca (ouverture de la gare routière CTM actuelle) et Marrakech. Au décès de mon père, nous sommes revenus, ma mère (institutrice) et moi à Casablanca, rue Jules César aux Roches Noires
Rue de Vouziers et boulevard Emile ZOLA. J'ai terminé ma scolarité en passant le bac au Lycée Lyautey. Puis je suis revenu en 1972 à Casablanca pour enseigner à la Mission Culturelle, pour me marier à la cathédrale Notre Dame de Lourdes
Mon lien avec le M.A.S. : J'ai enseigné successivement à l'école Claude Bernard, Jean Jaurès (Roches Noires), Victor Hugo (Aïn Sebaa ) où j'ai côtoyé une jeune maarifienne qui entrait dans l'enseignement : Micheline Jauson, Lycée Lyautey 4 ex orphelinat d'Aïn Sebaa.
Ma vie actuelle : C'est pendant cette période que sont nées deux filles, Caroline (31 ans)et Anne Cécile (25 ans). L'aînée attend une deuxième fille qui naîtra en février 2007. De retour en France sur la Côte d'Azur,je viens de terminer ma carrière de pédagogue ,et réside à Cannes
Mon militantisme au sein des associations para-scolaires a été intense pendant 30 ans en passant par la FOL? La Ligue de l'Enseignement, l'OCCE (coopératives scolaires) sans avoir d'à priori politique.
Remarques : Aujourd'hui, je tente, avec un peu de réussite, de regrouper mes anciens élèves d'Aïn Sebaa et ils sont contents de pouvoir se contacter. Pour mon plaisir, je renoue les contacts avec mes anciens camarades de Lycée

Violette Hayek-Saubin

Bonjour Pierre,
Et un bonjour élargi à toutes celles et tous ceux dont j'ai lu tous les messages échangés en me promenant sur le site que j'ai totalement visité et que j'ai quitté il y a 15 minutes !
C'est fantastique d'établir de tels liens entre tous !
Merci de nous offrir cette possibilité d'expression !
Si je suis du Palmier, je n'en traversais pas moins le Mâarif, comme l'avait fait avant moi, ma grande soeur de 6 ans mon aînée (Rose-Michèle) tant pour aller à l'école de la Présentation que pour aller à notre Eglise St-Antoine-de-Padoue, et partager les temps forts des "Ames Vaillantes", les rencontres des propagandistes de la foi (vente du journal "La Vie Catholique"), participer aux kermesses annuelles qui se déroulaient dans la grande cour de l'école Dominique Savio (si ma mémoire est encore bonne...) et pour aller vers mes amies !
Que de souvenirs précieusement gardés dans le coeur !
Et depuis que j'ai quitté Casablanca le 14 mars 1969 à presque 30 ans, je suis arrivée le même jour à Ste Foy-Lès-Lyon (à 15 minutes à peine de la place Bellecour de Lyon) où je demeure toujours ; et j'ai eu le bonheur d'intégrer la grande famille salésienne avec le M.A.S. en retrouvant le Padré ... hélas en 1989 seulement... mais heureusement ...grâce à une amie du Mâarif retrouvée, Françoise Montois (appelée aussi Marie, au choix) !
Plein de pensées amicalement mâarifiennes !
Violette Hayek-Saubin
..(remariée avec Marius Saubin)

2ème présentation de Violette du 21/6/10 :
Violette Saubin
Merci Pierrot !
Je suis très heureuse que tu m'offres la possibilité du "tu" qui est bien plus beau en effet !
Bien que toujours fidèles aux rencontres du MAS sur Grenoble, je ne supportais plus d'être privée de cette rencontre générale de Pentecôte ! Nous n'avions plus partagé de rencontre annuelle depuis toutes ces dernières années du fait de trop d'engagement associatif dans un poste de responsable au sein de mon association sur Lyon - (ce qui a "mangé" aussi de notre temps lors des WE de Pentecôte, vites retenus en général par les structures associatives) -
Et cette année, j'ai réussi à ralentir, non pas le rythme, mais le processus de l'engagement excessif, et il n'était plus question cette fois d'être privée de la joie et des bienfaits de l'Amitié de coeur qui se dégage de nos amis du Maârif et de cette grande famille salésienne à laquelle nous rattache l'esprit du LIEN qui nous réunit les uns les autres à travers ses pages !
Donc, toute heureuse d'avoir participé à celle de Lacanau où nous avons eu tellement de bonheur à revoir nos amis !
Ce Maarif dont j'arpentais les rues reste si cher à mon coeur ! Faisant partie de celles et ceux qui habitaient de l'autre côté du " Bd Jean Courtin", je partais, depuis ma sortie du primaire, vers l'école des Soeurs de la Présentation, et comme tant d'autres, j'ai été "Ame Vaillante", "Enfant de Marie" et "Propagandiste de la Foi" en vendant le journal "la Vie catholique" ! Et le frère Joseph qui avait réussi à me faire vaincre ma timidité pour aller le proposer aux familles de mon quartier du Palmier !, Ces souvenirs sont imprenables, ils sont le bastion de mes souvenirs en même temps qu'ils sont un solide trait d'union entre beaucoup d'entre nous.
Ces quelques lignes pour me faire et nous faire connaître un peu ; et Marius aussi, bien que né à Lyon, fait partie intégrante - depuis juin 1986 que nous sommes unis - de notre Maârif ! Il a perçu son ambiance à travers mes souvenirs et connaît même les anciens noms de ses rues, bien avant 2006 où nous l'avons emmené les enfants et moi à la découverte de notre pays et de Casa !
Nous sommes unis en prières pour le rétablissement du Padre.
Nous serons vraiment heureux de te et vous connaître enfin ! Vive Pentecôte 2011 à venir, et, oui, comme tu l'écris si bien ...vive internet grâce auquel nous y sommes inscrits !
Gros bisous Maârifiens,
Violette et Marius Saubin

Marie Ségaud

à Rose Macia :
Bonsoir Rose,
C'est avec beaucoup d'émotions que je viens de lire le message des Amis où j'ai eu le plaisir de reconnaitre quelques amies de l'école et du patronage.
Je me permets d'écrire ma petite histoire vécue au Maarif.
Si tu peux passer ce petit message, cela me ferai grand plaisir.
J'ai pu aussi joindre ma photo qui date de septembre 2010 : Merci
Et oui, moi aussi j'ai vécue au Maarif : je vous confie avec émotion mon secret j'essaie de vivre à Lyon, mais mon coeur fonctionne toujours à Casa.
Je m appelle Francoise Marie Montois Segaud
Toute ma famille est née au Liban nous sommes arrivée en Aoît 1946 au Maarif : j'avais donc 5 ans.
J'ai fréquenté le patronage avec Soeur Marcelle, Soeur Michèle, le dispensaire Soeur Francoise, le Père le Caer, le Père Perrot, les âmes vaillantes, aussi la distribution du journal " la Vie ", sans oublier Joseph.
" Pour l'âme vaillante pure et conquérante, le Cri de Victoire et le Chant de Gloire, etc.. "
Je suis allée à l'école du Maarif avec Sylviane et Danielle Galindo + Vita Piccionne + Georgette, Bovelle +Elisabeth Bentivegna + Jacqueline Bartoli +Arlette Gonzales + Christiane Navarro + Madeleine Placenti etc . . . Bien sur Violette Saubin Hahek dont je suis restée en relation.
Les processions les Messes.
A 17 ans je fréquentais les Jeunes des Provinces de France nous vivions dans une ambiance chaleureuse avec beaucoup de camaraderie. Alors les Bals les Piques niques, les Mages (manesman) : Toutes les provinces avaient un programme bien chargé. Surtout lors de la Kermesse qui se passait au Parc Liautey.
Le père RICHER nous a marié le 14 juillet puis mon fils Patrick est né par le docteur PAPALARDO clinique du Palmier.
Mon mari Jean travaillé chez les Mohaznis : le 1er avril nous avions une
affreuse mutation Joigny dans Yonne. Quel désastre dépression ; j'en passe alors bien sur il faut tout avaler sans rien dire surtout.
Dans les années 80 je retrouve le Padre Lucien Aubert : Super, le moral reprend en force. Avec Violette Saubin nous nous occupions de l'antenne de Lyon. Nous avions retrouvé l'ambiance de là-bas.
Quelle convivialité même la messe du Padré me faisait revivre.
En 1993 je me trouve au chômage : tout le temps pour retrouver mes amis de Jeunes des Provinces. Donc par un travail obstiné de fourmi et de patience avec mon mari nous avons retrouvé plus de 85 amis.
Je ne peux vous d'écrire la joie et la bonne humeur qui régné ce week-end du 11 septembre 1993. Nous nous sommes difficilement reconnus après tant d'années. Par ailleurs, certains sont partis d'autres, d'autres introuvables.
Mon mari est parti au ciel, en 2003. Et depuis je vis avec la solitude mais heureusement ma fille m'a fait 2 petits bonheurs qui combles mon coeur.
Je clos ici mon bavardage je ne peux continuer à Rosas.
Slama mes amis
Marie

Carmen Tomaz

Je me rappelle comme si c'était hier de toutes les filles qui était avec moi. J'ai vue sur les photos Helene Polizzi qui travaillait avec moi à L O.N.I et Josiane Portallier, quand j habitais à la rue de Ronceveaux au Maarif.
Je suis rentrée en France en 1978 je suis à Perpignan. J'ai revue Cécile Guerrero, ça ma fait très plaisir. si vous voulait me contacter : Voir mon adresse email sur le fichier du site.
Bien le bonjour à tous ce qui se rappelle de moi.

Jean-Pierre Tomas

BONJOUR, ci joint une photo de l école DU MAARIF DES ANNEES 1962 DE JEAN PIERRE TOMAZ.
J'habite sur Toulouse.
MES COPAINS D'AVANT SONT ABDE DE CASA ARMAND MARTOS QUI EST SUR BORDEAUX ET ANTONIO QUI EST A MALAGA.
BIEN LE BONJOUR A TOUS CE QUI ME CONNAISSE JE SUIS LE SEUL AVEC DES LUNETTES sur la photo scolaire.

Nany Tore

Naissance : 6 Décembre 1948, à Casablanca

Ma Famille : A Casa, j'habitais dans ce qu'on l'on appelait la Cour Casano au 26 rue du Ballon d'Alsace en face du Clos de Boules là où l'on a construit aujourd'hui la mosquée du Maarif.
Mon lien avec le M.A.S. : Club des " Copains " - c'est Mario Casano qui m'a donné l'adresse du site et c'est comme ça que je viens de replonger dans mes années "copains-copines" - il ' y plein de têtes et de noms qui me reviennent mais comment les associer aux photos je n'ai aucun lien - dans la rubrique les copains il y a une liste de noms : Nanou Franco ma soeur, ne faisait pas partie de la bande -je reconnais sur la photo 3 à côté de Claude Frasca, sa cousine Lulu Mezzadri, blondinette aux yeux bleus qui est ensuite partie en Suisse avec son amoureux qui est à côté de Belviso ou Guarino (je les confonds peut être ?), sur la photo 4 en haut de l'échelle il me semble que c'est Lionel Ventura, à côté de Michel Rubio, on reconnaît Canario (loulou de armas) (celui-là si un jour je le rencontre il va entendre parler du pays ! je n'arrive jamais à reprendre contact avec lui et avec Maguy que j'aimais tant !j'ai tant de souvenirs avec eux deux !) La ligne en bas : à partir du 2ème Aziz, Gilbert, Mario et Belviso et le copain de Lulu Mezzadri dont j'ai perdu le nom (il jouait de la guitare !) Sur la photo 23 à côté de Nicole Occhipinti c'est Maguy, la femme de Loulou (Canario) et sur la 24 c'est Chicho (Charlie Torrès), Nicole, Maguy et un bout de Canario. Sur la 25 je reconnais, Lulu Mezzadri, Claude Frasca, Françoise..., Isabelle Toré, Pierrette De Armas (la soeur de loulou). Bon voilà pour les reconnaissances en tout cas merci pour tous ces souvenirs à bientôt. J'embrasse très fort tous ceux qui me reconnaîtront et même les autres après tout.... Nany
Ma vie actuelle : mon conjoint Jean Marie Revailler, Kinésithérapeute, 09-03-1947 à Asnières
Mes remarques : Salut Pierrot, un grand merci d'avoir transmis mon mail à Canario - il vient de m'écrire et WAOUH !!!!!! si tu continues à faire ce travail de Liens on va t'appeler Padre et plus Pierrot !

Nicole Occhipinti - Torres

Je suis née le 6/2/1950.
Ma famille : ma mère Marie FIENGO qui a eu la chance d'être prise en charge par les Soeurs de la Présentation dès son jeune âge avec Soeur Françoise du dispensaire. Sa scolarité puis la broderie avec Soeur Claude de l'ouvroir.
Ma soeur : Marie José Tortosa, mon ainée, née le 19/3/1948.
J'habitais 60 rue du Mont d'Or, à 2 pas de l'Eglise. Je suis donc tombée littéralement dans la marmite dès ma naissance. Ecole de la Présentation, le patronage, les Ames Vaillantes, les colos à Immouzer, cheftaine à mon tour et le club des Ados, rue du Jura. Tout ça avec Soeur Bernadette qu'on appelait Soeur Sourire et mes copines : Angèle MUNOZ, Pilou DE ARMAS, Claude FRASCA, Lucienne MEZZADRI, Nelly AMANCIO, Danielle GIUDICE, Isabelle TORRE, Marie Pili GARCIA, Annette GUERIT (et non Lydie, sous la photo), Carmen POSTIGO, Carmen LOPEZ, puis Nany TORRE et Maguie ABAD et tant d'autres. Mes cheftaines : Michèle MARTIN, Micheline VANNES, Maïté TORRES, Marie France et Evelyne PACHEUX, Hélène GIAMMARINARO, Monique MOISSESSON.
Je me rappelle la rue du Jura, les cinémas surtout le Familial, la séance à 1dh, l'agua limon à l'Alicantina, près du Mondial. Les Messes de minuit pour Noêl et Pâques avec la chorale dont je faisais partie, la Procession du 15 Août dans les rues du Maarif et qui finissait par un feu d'artifice. Les cars, le lundi de Pâques via l'oued NIFIFIK. La plage des TAMMARIS. Les rendez-vous, au coin, chez LADDOUCHE où nous prenions toutes "les grandes décisions". Pas de téléphones et encore moins de portables à cette époque!!!
Trop à dire. L'émotion me submerge. Que dire, sinon MERCI à Soeur Bernadette et au Padre de nous avoir tant donner. De nous avoir permis de vivre ce pan de nôtre vie qui restera à jamais graver dans nos coeurs et nos mémoires.
Ma vie : mon fils Johann, né en 1977. Je suis secrétaire dans une grande Clinique.
Nous espérons, ma soeur et moi, être présentes en Mai. A qui faudra-t-il envoyer le chèque?
Et merci à toi, Pierrot, d'avoir mis en place ce site.
Toute mon amitié. Nicole OCCHIPINT/TORRES.

René Valette

René Valette
Ma Famille : Ma mère et mon frère Roger habitaient rue du Jura au dessus du Sphinx " la papeterie" maman travaillait au tribunal, moi ,j'ai été élevé par mes grands parents Mr et Mme MUNOZ rue du ballon d'Alsace en face de la BSM le club de boule
Nous étions peut-être des renégats avec mon Frère, nous allions à l'école Gabriel Roch et en plus nous faisions partie de la BUS en Basket, ce qui n'empêchait pas mon frère de servir la messe tout les Dimanche et souvent 2 fois à la 1er et à 11h 30 dans la famille ils le surnommaient "le curé" et un peu plus tard le maire du Maarif
Il partait en déplacement et lorsqu'il était de retour il savait tout se qui c'était passé.
Ma vie actuelle : Je suis actuellement retraité de l'Aéronautique je suis marié avec une Toulousaine j'ai deux filles une de 34 ans mariée 2 enfants Manon 8 ans Valentin 7 ans et ma seconde qui se trouve actuellement en Afrique du sud ce qui m'a un peu obligé à me mettre sur Internet pour avoir des nouvelles" elle travaille dans l'Aéronautique "
Pour conclure je vous remercie beaucoup à tous pour le temps que vous nous consacrez
Amicalement rené
PS : Je revoie Elise TORRES et son Frère CHARLY qui habitaient rue du ballon d'Alsace aussi. Encore merci Pierrot @+

Denis Vançon

né le 23 mai 1941 à Fougerolles le Château en Haute Saône 

(eh oui je suis un patos ) arrivé au Maroc à Merchouch ferme Fabre en octobre 1947
Ma Famille : mon père travaillait au Paysanat de Camp Marchand (aujourd'hui Roumani ) et je me retrouve interne en octobre 1951 à l'École Industrielle de Casa avec pour correspondants les parents de Laurent Lopez. Mon diplôme de radio-électricien en poche en juin 1959, je travaille quatre mois aux Phosphates de Khouribga puis je prends un poste de Maître de Travaux Manuels à l'École Professionnelle du Maârif
Mon lien avec le M.A.S. : C'est la rencontre avec Alain Falconnier (je logeais chez sa grand-mère ), le Padre et les Jocistes.
Ma vie actuelle : Départ pour un service militaire de 22 mois en février 1961 à Istres puis Lyon Bron. Rendu à la vie civile je travaille à Lyon puis à Nancy, Paris, et enfin Toul en Meurthe et Moselle où je crée une boutique de dépannage et vente de télévision.
Je rencontre Jacqueline Harquin née à Commercy le 29 juin 1951 qui ne connaît rien du Maroc, je l'épouse le 26 juin 1971. De notre union naîtront à Toul, deux garçons, Eric le 12 aout 1972 et Yann le 5 mars 1978 qui sera lui même papa d'un petit Lucas né le 29 septembre 2003 à Nancy, mais que la mésentente sépare de la maman...
C'est en 1994 que je retrouve par miracle les traces du Padre, première rencontre à Strasbourg, puis la rencontre des Bories, grosses émotions, l'amitié est intacte, ils sont tous là, retrouvailles fantastiques.
Remarque : Depuis on garde le cap et même si la vie nous reprend dans son tourbillon, on n'oublie pas les copains comme le chantait si bien Brassens.

Leonel Ventura

Ma Famille : marié à Claude Frasca.
Mon lien avec le M.A.S. : Patronage - Basket au MAS - Club des " Copains d'abord
Ma vie actuelle :
Remarques : voilà nous voulons te remercier pour les nouvelles que nous pouvons lire sur le site Internet du LIEN - MAARIF. Encore bravo il fallait le faire. Peux-tu passer un grand bonjour de nous deux au Padre et aussi à tous les copains, ados , anciens du MAS, etc

Marguerite Walch née Sanchez

Ma Famille : la soeur de Carmen Sanchez-Cuny, et sœur de Fernand
Mon lien avec le M.A.S. :
Ma vie actuelle :
Mes remarques : Je pense que je suis sur la photo "les copains 1965 -C" j'ai un bandeau, je suis à côté de Carmen Postigo (si ma mémoire est bonne) et de Angèle Munoz-Bravo, j'ai aussi des photos avec les ados après une sortie à Rabat.